Voldevie se releva d'un coup, guettant une présence probable. Il venait de percevoir un bruit. Il sentit que son cerveau n'arrivait plus à sortir de sa nostalgie. Une jeune fille blondinette, parraissant éclairer le cimetière par sa chevelure et son sourire, eu soudain un regard effrayé et dit à l'adresse de Voldevie : "- Désolé, je me demandais juste qui vous étiez, je ne vous espionnais pas n'ayez crainte moi aussi je suis venue voir quelqu'un." Voldevie regarda la jeune fille dans les yeux, sauf qu'il était toujours concentré sur le visage des ses Grands-Parents, sur les images de sa petite enfance, sur celles de son village Maghrébin. Il n'avait rien compris à ce qu'elle venait de lui dire, tellement il était perturbé par ses pensées : "Il ne me reste personne. Il reste plus que moi et mes frères. Que vas-on faire, nous qui devons faire honneur à notre famille ? Que dois-je faire ?", mais surtout : "Qu'est-ce que je deviens ?". Voldevie essaya tant bien que mal de fixer ses yeux, qui ne cessaient de ne plus vouloir observer une scène quelconque, sur la jeune élève de Poufsouffle. Il perçut sur son petit visage timide un air sincère et désolé. Voldevie regarda la terre glaise qu'il avait passé inconsciemment sur les tombes de pierre grise. "Rien de grave... Je n'ai rien à cacher..." dit-il d'une voix rauque et pourtant à peine audible. Puis il se ralongea sur la tombe, épuisé par les sentiments de la vie. C'est là qu'il sentit qu'il devait être ridicule, et qu'après tout il voulais devenir quelqu'un de puissant. Il se releva alors. Il regarda autour de lui, plus personne. La jeune fille était partie rapidement, elle avait dû avoir peur. Ce n'était pas étonnant, vu l'état de Voldevie. Il avait le cerveau totalement engourdi. Il regarda une dernière fois les deux tombes, assez modestes. Il récita quelques paroles en Arabe, murmura pour lui même : "A bientôt, je repasserai dans la semaine, Inch'Allah...". Puis il se dirigea vers la sortie. Il s'arrêta entre deux tombes. Une fleur d'Iris était par terre, à l'endroit où la jeune fille s'était arrêtée, il n'y avait pas très longtemps. Voldevie regarda la tombe la plus proche, et vit inscrit : Suki Londubat Lovegood ~ laisse derrière elle sa fille Moona et son mari Cédrik. Voldevie, bien qu'ayant les pensées peu claires, pris la fleur d'Iris par politesse, et la déposa sur la tombe, à côté d'autres fleur de la même sorte. Il murmura "Veuillez m'excuser", car il savait très bien que la jeune fille était partie sous un coup de frayeur, avant de rejoindre une bonne fois pour toute le chemin menant au château, aidé par l'éclairage de sa baguette.

Le lendemain soir, Moona revint encore à l'endroit ou elle était venue le soir avant. Elle venais voir sa mère qui étais surment entrain de faire le ménage de sa tombe. Après avoir tout fait pour que Rusard ne la voie pas sortir à une heure aussi tardive, La jolie Poufsouffle était enfin arriver devant la jolie pierre tombal de Suki Londubat Lovegood. Aucune larme ne coula de ses yeux et elle pensais à ce qu'elle avait entendue sans le vouloir la veille.
- Maman pourquoi je ne pleure plus ? On dirait que si les gens vois quelqu'un qui ne pleure pas la mort de quelqu'un il n'a pas de coeur. Mais maman, moi je t'aime et je suis tellement triste que j'aurais aimé pleurer juste pour le dire à quelqu'un. J'ai rencontrer un garçons et maintenant je sais que ce que tu disais étais vrai, le plus beau et le plus mauvais sentiment étais l'amour, Surtout le premier. J'aime un garçon mais je ne croie plus qu'il épprouve la même chose pour moi.
La blondinette parla toute la nuit et s'endormie au pied de la tombe de sa mère. Le destin étais plus fort que tout, sa vie étais déja toute tracer et elle ne pouvais pas le changer. Ce qu'il lui fesais le plus mal c'était d'aimer quelqu'un qui devais surement l'aimé.

La jeune Poufsouffle de première année venait à peine de s'endormir qu'elle sentit quelque chose trébucher tout près d'elle. Elle ouvrit les yeux avec difficulté, ses paupières étaient lourdes mais toute traces de larmes étais[avait] disparu. La jolie élève de Poudlard, l'école de magie, devait être de Serpentard à en juger par son uniforme. Celle-ci parut étonnée que Moona Lovegood dorme dans le cimetière.

- J'ai dû m'assoupir, répondit-elle calmement, je suis souvent ici c'est temps-ci... Désolée de t'avoir fait tomber.

Elle cligna quelques fois les yeux et se leva en défroissant sa robe de sorcière. Puis elle montra du doigt la tombe de sa mère.

- Je viens souvent lui parler. Toi que fais-tu ici à une heure aussi tardive ? dit-elle en consultant sa montre.

Edit by Ohenneim: Fais attention à ton orthographe

Bako descendit dans le parc au crépuscule a grand pas,sa cape qui flottait legerement deriere lui. Quand il arriva devant les grilles du cimetieres, il entendit des voix .*Rho on peux jamais etre tranquille dans un cimetiere la nuit c est fou ça !", il entra en silence et pointa sa baguette sur lui meme , il ne voulait pas etre vu, il ne voulait parler a personne, ce soir il devait experimenté quelques petites choses. Le sort de desilusion le rendit completement invisible et il disparut de devant les grilles n apercevant meme plus ces propres pieds. Il entra dans le cimetiere, la nuit devorait le jour a une vitesse halucinante si bien que l obscurité masqué certain endroit, une brume habituelle envellopa les tombes dans un chales blanc inquietant. Il contourna les premiere tombes et decida de faire le tour, evitant certain eleves de Poudlard qui était venu la pour se recueillir sur la tombe de leur defunte famille ou amis. Il entendit des murmures et de voix mais rien de trés alarmant, il continua de marcher, remontant le cimetiere qui s étirait sur de long metre , l obscurité l envellopait a présent, les rayons de soleil avait disparu et le noir se fit pesant .*parfait* pensa t il c était exactement ce qu il fallait . Le cimetiere remontait en pente douce et de grand caveau funeraire s elevait vers le ciel, deriere une des pierre tombale se trouvait la grande pierre funeraire en marbre blanc. En fils d'or il y avait des inscriptions "Albus Dumbledore, directeur de Poudlard" . Bako y jeta un coup d oeil puis il passa devant et arriva vers les cavités qu il avait en tete depuis la premiere fois ou il était venu ici . Aprés la tombe de Dumbledore, la pente redescendait legerement dans l autre sens, et il y avait quelques tombe de ci de la . Le serpentard trouva l endroit qui était toujours tel qu il avait vu, en effet les tombe formait un cercle, elle était plus ou moins face a face . Il attendit un instant, les voix s était évanouie et la nuit avançait lentement, il brandit alors sa baguette vers lui meme , il réaparut . Il attrapa un long baton qui se trouvait sur le coté et commença a tracer dans la terre de longue lignes reliant les tombes entre elle , puis finissant par des inscriptions qui ressemblait a des runes anciennes. Le serpentard oeuvra pendant au moins une demis heure, ue fois qu il eut finit de tracer les symboles il se plaça au centre du cercle de tombes . Il ferma les yeux et se concentra, il avait apprit par coeur mais n était trés sur du resultat, il se concentra un peu plus pour etre sur de reussir .Il decrivit des moulinets de baguette dans le vide et commença a fredonner lentement dans une langue trés ancienne :



A la fin de sa phrase, il eut un cercle de lumiere qui s éléva de Bako et de sa baguette et qui atterit sur les tombes . Du sang coulait des mains du serpentard et il se sentit legerement affaiblit ....Il ne se sentait pas trés bien et une nausé horrible le prit a l 'estomac ...Il aurait mieux valu que personne ne le trouve a cet endroit, au milieu d' inscriptions douteuse...Il rassembla ses derniere forces et alors qu il tombait a genoux des fil argenté sortit de sa baguette, il y avait mit ses derniere forces et alors qui se sentait de plus en plus faible, sentant le sortilege malefique lui prendre tout ses pouvoirs il murmura a la panthere argenté qui venait de sortir de sa baguette .

"va la chercher elle ....seulement elle ..personne d autre ne doit etre au courrant ....dis lui d etre discrete ."

La nausé revint a grand galop et il ne put la retenir, son estomac chavirait, alors que la panthere s en allait trés vite, le cimetiere était toujours aussi sombre et desert...Il valait mieux pour lui, du sang continuait de couler radicalement des ses mains et il ne pouvait rien faire pour l arreter . bako était toujours a genoux sur la terre humide et sa tete ne cessait de tourner ..."vite depeche toi" dit il plus a lui meme que ce monde de silence qui l encerclait .

L'eau brulante ruisselait sur les longs cheveux de Fani, provoquant une sensation de bien être incroyable. Rien de tel qu'une bonne douche chaude pour vous relaxer après une journée passée à aménager un nouvel appartement! Fani éteignit finalement l'eau, après plusieurs minutes, et sortit de la douche, s'enroulant dans une serviette chaude. La pièce était emplie de buée, et la jeune femme passa sa main sur le miroir afin de voir son reflet. Alors qu'elle s'observait dans la glace, une panthère argentée fit irruption par la fenetre entrouverte, la fesant sursauter violement. Le patronus était celui de Bako, et lui fit signe de le suivre. La jeune femme s'habilla le plus rapidement possible, encore à moitié trempée, s'attacha les cheveux et enfila sa vieille cape violette dont elle rabattit la capuche.

Fani s'approcha enfin, le coeur battant, des grilles du cimetière. Qu'est ce que Bako venait faire ici? Et surtout pourquoi l'avoir appelée ainsi en toute urgence? La jeune femme serpenta entre les tombes à la recherche de son bien aimé et finit par le trouver, au milieu d'un cercle de tombes à moitié brisées. Le serpentard était au centre d'un cercle gravé de runes anciennes, et il saignait abondament des mains. Il semblait plus pale que jamais et était à demi-inconscient. Fani leva sa baguette allumée au dessus de sa tête pour mieux jauger la situation et observa un moment autour d'elle...un piège? Non c'était bien le patronus de Bako, il n'y avait pas de doute là dessus. Mais que foutait il ici par le caleçon de Merlin?

La jeune femme pénétra à son tour dans le cercle, les muscles tendus, prête à lancer un sort et se pencha doucement sur Bako, toujours aux aguets. Posant sa main sur l'épaule du jeune homme elle murmura:

-Qu'est ce qu'il s'est passé? Je ne peux pas te sortir d'ici avant de savoir ce que c'est que ce cercle et ce qui t'arrive. Transplaner maintenant pourrait être dangereux si tu as utilisé de la magie noire ancienne!

On pouvait percevoir une pointe d'agacement ou de nervosité dans sa voix. Si quelqu'un les trouvauit au milieu de ce genre de cercle, ils pourraient avoir de gros ennuis. Mais pourquoi? pourquoi ne lui avait il rien dit avant? pourquoi avait-il fait ça tout seul? Un rayon de lune vint frapper une des tombes qui les entouraient, révélant une tache de sang en son centre... Le regard de Fani tomba alors sur les mains ensanglantées du serpentard et elle comprit que la situation était sans doute encore pire que ce qu'elle imaginait. Se ressaisissant, elle secoua légèrement Bako et lui demanda de nouveau:

-Qu'est ce qui se passe? Qu'est ce que t'as fait? Ne m'oblige pas à utiliser la légilimancie s'il te plait, dis le moi maintenant!

Alors que le serpentard était a demis inconscient et qu une force maléfique continuait de puiser dans ses reserves, il entendit des bruit de pas, il esperait de tout coeur que ce soit la jeune fille . Un rayon de baguette pointait vers lui, Fani entra dans le cercle, sa tete était embrumé et il se sentait encore prit de nausé, il n arriva pas a articuler quoi que ce soit. Il fut rassuré, il sentit le parfum de la gryffondors, ces paumes de mains continuaient de saigner, éclaboussant le sol, le rayon de lune qui passa montra que le sang était comme aspiré par la terre a l endroit ou se dressait les pierres tombales . Fani secoua un peu plus Bako, ce qui eut pour effet de capter son attention.

Qu'est ce qui se passe? Qu'est ce que t'as fait? Ne m'oblige pas à utiliser la légilimancie s'il te plait, dis le moi maintenant!

Bako qui ne s était jamais sentit aussi faible reussir a marmoner

"des inferis . . . de classe deux "

dit dans un sourire, mais a peine avait il dit ça qu'il sentit ses forces qui diminuait encore de moitié, les inscriptions brillerent anormalement sur la terre. Et du sang continuait de couler le long de la paume de ses mains. Dans un grattement lugubre une main surgit d une pierre tombale devant eux . Une main pas humaine, une main horrible . Fani était toujours penché au dessu du serpentard la baguette brandit attendant de voir la suite . Un corp informe sortit de la terre, des yeux rouges brillaient dans des orbites vide, l inferi avait quelque chose d inhumain, et de beaucoup plus bestial que d habitude . Un deuxieme sortit de la terre, devant la deuxieme pierre tombale, on entendait un grattement continu, jusqu' a ce qu ils sortent des 7 tombes qui se dressaient autour du cercle . Le cercle gravé cessa de briller, et Bako tomba a plat ventre.

Un des inferius se releva de toute sa hauteur et s avança vers Fani les 7 autres faisait de meme, un des leur attrapa une des jambes de Bako et un autre s approcha de la gryffondor, une lueur pas rationelle dans le regard .

Des inféri? A ces mots, Fani lacha brutalement Bako, qui se retrouva du coup allongé au sol, et elle ser eleva de toute sa taille. Mais qu'est ce que cet abruti voulait faire avec des inferi? La jeune femme était hors d'elle, totalement incontrolable, si bien qu'elle aurait elle même collé une tarte au jeune homme à ses pieds si un de ces créatures de l'enfer n'avait décidé qu'elle serait un bon joujou. D'un geste de la baguette, la gryffondor envoya valser la "chose" à plusieurs mètres, mais c'était peine perdue, les autres arrivaient, et de toutes façons ces créatures n'avaient d'autre but que de servir leur maitre sans aucun sentiment de douleur ou de...leur maitre? Mais alors pourquoi ces crétins s'en prenaient à elle? POurquoi Bako ne les fesait pas reculer? Dans une crise de paranoia aigue, Fani songea soudain que tout ceci était un piège, crée par elle ne savait qui, sans doute de très puissant, peut être un test qui sait? Soit Bako en fesait partie, soit il était soumis à un sortilège qui l'empéchait d'agir librement.

D'un bond, la gryffondor évita un second inferi qui avait voulu l'attrapper par le bras et sauta sur Bako. Il fallait qu'elle le sache, il fallait qu'elle se concentre et pénètre ses pensées. Fani s'en voulait à mort de faire cela, de ne pas le croire à 100%, mais s'il s'agissait d'un piège et qu'elle tombait aussi bêtement dedans, elle s'en voudrait toute sa vie...Si vie il lui restait! La jeune femme n'hésita pas plus de quelques secondes et attrapa le bras de Bako, puis transplana immédiatement à quelques dizaines de mètres, le temps d'utiliser la légilimancie sur le serpentard à moitié évanoui et qui souriait toujours bêtement...*Mais c'est pas vrai ça! Il a bu du whisky pur feu et bouffé des cachets aux droles de formes ou quoi?*

Se penchant pour être bien en face du jeune homme, Fani lui saisit le menton entre les mains et plongea son regard dans celui de Bako:

-Je suis désolée de ce que je vais te faire, mais il faut que je sache si tu ne me mens pas. J'espère que tu pourras comprendre...Légilimens

Le sort fut plus qu'efficace, le jeune homme n'avait aucune défense mentale, surtout dans son état d'affaiblissement, et Fani pénétra aussitot ses pensées embrouillées. Elle se détestait de lui faire subir ça, surtout s'il avait raison, les inferi étaient lachés en libertés dans un cimetière dans lequel beaucoup d'élèves de Poudlard avaient l'habitude de se promener. Fani chassa les pensées parasites de Bako, ne voulant pas en savoir plus qu'elle n'avait besoin, l'urgence de la situation rendait l'expérience plus difficile pour elle, mais aussi plus douloureuse pour Bako puisqu'elle forçait pour accéder aux informations rapidement. *Qu'est ce que tu as voulu faire? Pourquoi tu ne les controle pas? Qui te l'a demandé?* Et elle comprit, elle ressentit toute l'amertume de Bako, toute sa rage d'avoir été rejetté, son désir de faire ses preuves, et voilà, voilà ce qui l'avait conduit à faire cette chose stupide! Et si le sort avait foiré? Si les inferi étaient incontrolables? Fani quitta l'esprit de Bako et le laissa retomber au sol. Le serpentard se tenait la tête en gémissant mais Fani n'y fit pas attention. Ils devaient retourner auprès des inferi et voir si Bako une fois sur pieds serait capable de les maitriser. La gryffondor était hors d'elle et se dit que Bako aurait le droit à un sacré savon, si du moins ils s'en sortaient vivants.

Se penchant de nouveau sur lui, Fani examina ses plaies aux mains et jetta un sort: Episkey. cela devrait permettre au moins au sang d'arrêter de couler, car même si c'était un sortilège puissant, les blessures causées par magie noire n'étaient pas toujours soignables, et Fani n'était pas une experte en soins. Elle aida Bako à se relever, il semblait aller un peu mieux et les saignements s'étaient calmés. Fani transplana de nouveau sur le cercle créé quelques instants plus tot. Seuls 4 inferi sur les 7 étaient visible de là, les autres semblant s'être éloignés en quète d'aventure... D'un ton froid et plein de colère maitrisée, Fani intima à Bako:

-Bien, controle les maintenant que tu les as créés!

Son ton ne souffrait auncune remarque, et signifiait clairement au serpentard qu'il n'avait pas intéret à foirer son coup...

Bako resta évanouit, il ne comprenait plus rien de ce qu il se passait .Tout était complètement noir autour de lui, il semblait avoir perdu le total contrôle de la situation . Quelqu 'un pénétra dans son esprit et il le sentit . Il ne pouvait dresser aucun barrière mentale, cela lui était impossible, mais la legellimens semblait avoir trouver ce qu elle désirait, comme une flamme qui ne cessait de brûler, il y avait ce pouvoir auquel il rêvait d accéder, celui qui le faisait vivre, le but de sa vie sa seule ambition. Quand Fani remua cela, une colère profonde anima le Serpentard, une boule au ventre, une partie de lui incontrôlable. Quelque chose qu il enfouissait au fond de lui-même en temps normal , sa rage explosa, trop longtemps gardé , trop longtemps ignoré de tout le monde . C était comme si un flamme de fureur et de rage avait explosé en lui, ne contrôlant plus la situation, il sentit ses mains qui s arrêtait de saigner, mais la douleur n était plus rien comparé a ce qui se propagé en lui. Bako essaya de résister luttant contre lui-même, pensa a toutes ces choses heureuse…a Fani . Mais la haine l envahissait comme un poison mortel, il ne put résister contre toutes cette rage accumulé pendant de longue année . Le vidage du Serpentard changea, il était devenu encore plus blanc et livide, a présent il était presque méconnaissable; Il se releva aussi vite qu il ne se sentit plus du tout affaiblit, au contraire le pacte était scellé, et la haine et la violence lui redonnait un regain d énergie . Il entendit a peine l ordre que venait de lui hurler Fani a coté de lui,

Bien, controle les maintenant que tu les as créés!

Elle paraissait hors d elle, et son ton déplu totalement au jeune homme. Personne ne se devait de lui donner des ordres, pas même celle-ci, le Bako que la jeune fille connaissait était encore évanouit, lui elle ne le connaissait pas . Il leva les yeux vers elle et d un regard flamboyant il lança

Je n ai d ordre a recevoir de personne !

Dit il d une voix différente de l ordinaire, elle était plus grave, plus sinistre aussi . Il leva sa baguette et sentit la force affluée en lui comme jamais elle ne l avait fait, il la pointa sur la jeune fille prit d un accé de fureur , il voulut tester ses nouveaux pouvoirs tout de suite. Alors qu il allait prononcer un sortilège impardonnable, sa baguette s abaissa aussi vite qu elle s était levé, et le jeune homme fut repris par la nausée , *noooooon je t interdit de faire ça !!!*, Bako se prit la tête. « Tais toi " vociféra-t-il a lui-même, son cri troublant le silence du cimetière .*jamais tu t en prendra a elle !!!!* Bako se ressentit affaiblit, « tu es faible » ….dit un voix doucereuse qui n était pas la sienne .*stop !!!!!*….

Bako chancela , Fani devait se demander ce qu il fabriquait, il ne put rien dire, rien prononcer, un combat féroce se déroulait autre part, en lui-même, et a force que la haine se calmait, il se sentait de plus en plus mal .Il retomba a genoux, se tenant toujours la tête ...»crétin » murmura-t-il …
Il leva sa baguette et prononça des paroles inaudibles. .

Les 7 inferis revinrent vers lui, marchant doucement, pantelant tel de somnambule, Fani se dressa prete a se défendre ou a attaquer, mais ceux-ci passèrent a coté d elle toujours avec leur démarche monotones. Ils s assirent chacun face a leur tombes et regardèrent Bako d un air triste, esperant qu un jour il les rappellerait, il se souviendrait de leur maître . Leurs yeux rouges disparurent sous terre et le cercle magique s effaça.. Les insignes étranges restèrent gravé sur la paume de Bako comme des cicatrices …Alors que celui ci tomba inerte sur le sol .

La soirée venait de commencer et la jeune Poufsouffle savait qu'elle ne réussirait pas à s'endormir. Pas une once de fatigue ne se dégageait d'elle et au lieu de rester dans son lit, allongée sans pouvoir dormir, elle était sortit dans le parc où elle avait longtemps marché puis, contourné le lac et à présent, elle longeait le mur du cimetière. Elle savait qu'elle n'avait aucune envie d'y rentrer, elle n'y rentrerait sans doute pas mais, quoiqu'il en soit, elle le longeait. Profondément plongée dans ses pensées et inquiète, elle se promenait à allure lente. La nuit était claire cette nuit-là et par conséquent, le chemin était bien éclairé. Il n'y avait donc aucun problème quant à se prendre les pieds dans une racine ou autre -ce qui avec la chance qu'elle avait, aurait pu très bien se passer si le cas adverse s'était produit-. Arrivée au coin du mur, après avoir longé tout le pan de mur entourant le cimetière, Eurora s'arrêta un instant à l'endroit où elle se trouvait et, levant la tête vers le ciel, elle resta un instant à l'observer, espérant pour qu'une chouette blanche qui serait la sienne apparaîtrait soudain dans le lointain et descendrait vers elle, de retour avec des nouvelles... Enfin !... Pourtant, elle ne voyait rien... si ce n'est, que ses oreilles crurent percevoir au loin, des pas se rapprocher...