Salle d'entraînement

Une journée comme les autres se déroulait tranquillement, les élèves étaient dans les salles de classes à écouter les professeurs faire leur cours, les directeurs des maisons vaquaient à leur occupation habituelle, rien de bien folichon la dedans. Le concierge faisait les tours des différents couloirs et pièces vides afin de prendre en faute les élèves qui ne respecteraient pas le règlement. Zhadrryen Black observa sa montre sorcier, un rendez vous l'attendez au septième étage, il avait fait parvenir à la directrice de la maison Gryffondor, une note l'invitant à se trouver dans la salle sur demande. La raison était assez courante pour l'entrée des nouveaux membres de l'ordre du phénix, il fallait les former au combat afin qu'ils soient prêt pour affronter les mangemorts.

C'est mouni qui avait fait la commission, il avait accepté avec joie, surtout que depuis quelques temps déjà, on ne voyait plus Mione, l'elfe commençait à s'inquiéter, tout comme le concierge, il faudrait qu'il fasse quelque chose, mais pour le moment il ne savait vraiment pas quoi faire.

Zhadrryen se dirigea vers le septième étage, et arriva devant une porte qui ne devait pas s'y trouvait sauf si on cherchait une pièce en particulier. Les deux membres de l'ordre seraient tranquille lors de l'entrainement de la jeune femme. La porte était resté entrebâillé, Zhadrryen se faufila à l'intérieur, et referma la porte derrière lui afin qu'ils ne soient pas dérangé.

Il y avait deux nouvelles recrues chez les phénix, Kirla qui devait faire son entrainement avec la directrice de Poudlard, et Chrystabel, Zhadrryen s'était porté volontaire pour la former, il avait été un ancien auror et avait formé plusieurs de ses anciens collègues. Il pourrait juger ainsi si la demoiselle serait apte à participer aux combats contre les cagoulés.

Zhadrryen se retourna et trouva une jeune femme habillé d'un petit haut moulant laissant son nombril à l'air et d'un pantalon qui lui collait au corps, si elle voulait déstabiliser son adversaire, il ne lui manquait pas grand chose. Il secoua la tête et revint sur terre, il toussota et s'exprima d'une voix qu'il voulait claire :

- Bonjour Mademoiselle Katainen, je vois que vous avez bien reçu mon message, je suppose que vous comprenez ce que nous allons faire ici, je vais vous former pour répondre aux besoins de l'ordre. Avez vous été au Qg pour prêter serment?

Zhadrryen se tenait prêt, sa baguette en main dès que la jeune femme répondrait, il lancerait ses premières attaques dans sa direction, et pourrait observer comment elle allait riposter.

Chrystabel s'échauffait tranquillement lorsqu'il entendit un bruit derrière elle. Se retournant, elle put voir qu'elle était tombe juste, Zhadrryen Black étit bel et bien le concierge de l'école. Pour elle qui en général était en guerre avec les prénoms, c'était un petit exploit dont elle était fière.

Elle l'écouta attentivement, fronçant un peu plus les sourcils a chaque secondes. Il était marrant lui, on ne lui avait même pas dit où se trouvait le QG de l'Ordre alors de l'a à s'y rendre... Se plantant face à son entraineur elle replia un de ses bras derrière sa tête pour en étirer le muscle.

- Je veux bien, j'attend même que ça de pouvoir aller au QG mais... Il est où le QG ?

L'expression de son visage prouvait qu'elle n'avait sincèrement aucune idée de où il se situait. A vrai dire, elle ne savais pas encore grand chose tout court. Les choses étaient allaée très vite au départ mais depuis, elle était restée dans l'attente de savoir ce qu'elle devait faire et il était plutôt difficile de contacter les membres de l'Ordre quand on ignorait qui en était ou pas.

Rabaissant son bras, elle resta debout devant Zhad, l'air plutôt confiante.

- Et appelez moi Chrystabel, ou même simplement Chrys, ce sera plus simple que Mademoiselle Katainen. Et moins démoralisant.

Chrys était en effet arrivée à l'âge fatidique auquel sa propre mère c'était mariée alors qu'elle même en était encore très loin, petite déprime typiquement féminine qui passerait comme elle était venue une fois l'âge fatidique passé.

La jeune femme s'était rapproché du concierge, tout en s'étirant les muscles, bonne initiative, mais elle ne pourrait pas le faire lors d'un combat non prévu. Toute fois Zhadrryen préféra garder ça pour lui pour le moment. Il donnera ses conseils à la fin de l'entrainement. La jeune femme expliqua qu'elle attendait ça avec impatience, mais elle demanda alors où se trouvait le QG. Zhadrryen la regarda avec de grands yeux étonnés.

- Ah ok, je vois, Nathalie, ne t'as pas encore fourni les informations nécessaires. Bon je te propose qu'une fois l'entrainement fini, je t'accompagne au QG, comme ça tu verras le QG par toi même, et tu pourras passer le serment nécessaire.

Zhadrryen en profita pour retirer sa cape et la posa à même le sol. La pièce était vide sans meuble, aujourd'hui ils ne s'affronteraient qu'avec leur baguette et aucun élément extérieur. Zhadrryen sourit quand Chrystabel proposa qu'il la nomme Chrys, afin de rendre la conversation plus simple.

- Ok va pour Chrys alors, tu peux m'appeler Zhad, c'est beaucoup plus simple aussi. Bon si nous commencions l'entrainement, plus vite commencé plus fini. Généralement ceux sont les mangemorts qui lancent les premières attaques, et comme je vais jouer ce rôle, tu devras pour te protéger et inverser la situation à ton avantage. Est ce que tu as tout compris? Pas de question. Alors en place.

Zhadrryen s'éloigna un peu de la jeune femme, prit sa baguette dans sa main droite, inspira calmement, et lança deux sortilèges d'attaque :

- Bombarda maxima, electrocorpus.

Puis quelques secondes après, un sortilège de défense en prévision d'une contre attaque de la jeune directrice de Gryffondor. * Ragnarok *, un mur invisible se place de suite entre les deux adversaires. Le prochain sortilège qui viendra percuter le mur retourna à son envoyeur.

[PV Antonia Adamovitch]

Perceval n'avait rien à faire, mais vraiment rien à faire. Il n'avait pas non plus envie d'aller se balader, que ce soit à pied ou en vol. Il désirait juste passer du bon temps. Seulement, il ne pourrait se prélasser dans sa bicoque circulaire, plus connu sous la Cabane du Garde-Chasse.
En effet, il avait promit à la jeune russe, Antonia Adamovitch, qu'il l'aiderait à apprendre des sortilèges, "version anglaise". Et en y repensant, il n'avait pas tellement rien à faire... Il se rappela avoir envoyé à la Serpentard un courrier lui demandant de se rendre au septième étage, devant la tapisserie de Barnabas le Follet -stupide sorcier qui tentait, sur cette représentation, d'apprendre la danse à des trolls-.

Perceval se tira de son lit -trop dur comparé à celui à Loutry-, enfila un pantalon de jogging et parti en direction de sa salle d'eau. Il laissa couler pendant quelques minutes l'eau chaude en diffuse sur sa peau puis enfila un jean et tout ce qui va avec une fois qu'il fut sortit et séché. Il enfila par la suite un sweat-shirt à fermeture éclair, rangea ses baguettes dans les différents recoins qui peuplaient ses vêtements -parfois des sangles à mécanismes- et s'en alla en direction du château.

Bientôt, il fut arrivé devant la tapisserie et donc l'entrée de la Salle sur Demande. Il ne manquait plus que Antonia le trouve pour qu'ils puissent discuter tranquillement.

[Nul :P]

Le garde-chasse lui avait donné rendez-vous devant la tapisserie de Bamabas-le-follet, au 7ème étage.
30 minutes avant, Antonia se préparait. Elle ne voulait pas être en retard encore une fois. Elle avait attaché ses cheveux en queue de cheval. Laissant une frange qu'elle glissait derrière son oreille dépasser. Elle portait l'uniforme réglementaire de Poudlard. À cause de sa taille fine, la couturière avait eu beaucoup de mal à arranger une jupe plissée pour elle. Si bien qu'elle avait du lui donner la taille pour les 1ères et 2èmes années. Sa jupe était donc un peu plus courtes que les autres, et lui montaient au-dessus du genou, plutot à mi-cuisse.
Sa jupe noire contrastait fortement avec sa chemise blanche immaculée. Elle avait toujours su prendre soin de ses affaires. Et par dessus un chandail sans manches noir aussi, portant l'insigne de sa maison. Les chaussettes, noires aussi, venaient jusqu'au dessus du genou, et ses chaussures, n'étaient autre que des bottes. Des doc martens. Elle n'avait jamais été compliquée en vêtements. Bien qu'elle avait un sens très interessant de la mode.

Elle attrapa son sac ou elle fourra son parchemin de sorts, une plume et une bouteille d'encre. Passa dans sa salle de bain se laver les dents. Et en profita pour mettre du mascara. Ce qui lui aggrandissait les yeux.

D'un pas tranquille, elle arriva à l'heure devant le lieu convenu du rendez-vous. Le garde-chasse était dos à elle. Et Antonia sentit son ventre se serrer. Il était bien habillé. Ses cheveux semblaient doux, et ils se promenaient sur ses épaules qu'on devinait musclées à travers son tee shirt.
Peut être ne faisait-elle pas de bruit lorsqu'elle marchait, ou peut être avait-il décidé de ne pas se retourner, trop perdu dans ses rêveries. Mais en tout cas, il ne lui faisait toujours pas face lorsqu'elle n'était qu'à quelques centimètres. Il était nettement plus grand que lui, et le haut de sa tête, lui arrivait aux épaules. Elle mourrait d'envie qu'il se retourne et la serre dans ses bras. Contre son torse. Elle s'imaginait qu'il était chaud et confortable. Et elle aimait son odeur, indescriptible.
Toujours est-il, qu'elle posa sa main l'espace de quelques centièmes de secondes, sur son épaule, afin qu'il se retourne.
Ses cheveux avaient caréssé les doigts d'Antonia, et elle savait maintenant qu'il étaient réellement doux.

''Bonjour'' lança-t-elle d'une voix timide, mais résolue.

Perceval avait le regard dans le vide et les pensées dans le lointain, attendant patiemment l'arrivée de la jeune Antonia. Le jeune homme se prit à penser à son "ancienne" vie, vie dont lui seul avait le secret pour ainsi dire. La Bulgarie lui manquait énormément...

Une brève sensation de contact avec une main inconnue s'étant posée sur son épaule pour très vite se retirer. Il n'y avait pas grand monde qui fréquentait le septième étage; pas comme certaines autres parties du château en tout cas. Ce ne pouvait qu'être elle...

Le jeune sorcier se retourna et fit face à la jeune fille aux longs cheveux blonds et bouclés qui se trouvait étonnement proche, très proche même, faisant virevolter ses long cheveux noirs. Il lui lança un "bonjour" très cordial, sourire aux lèvres, la détaillant de haut en bas. Très "blanc et noir" cette fille, comme lui apparemment. Il s'avança jusqu'à la "porte" de la salle secrète et pensa à une salle d'entrainement, spacieuse, décorée aux couleurs de Serpentard, bien éclairée. Quelques secondes lui suffirent pour voir le mur face à la tapisserie de Barnabas s'effacer pour laisser place à une porte en bois sculpté à l'ancienne.

Bienvenue à la Salle sur Demande, Antonia, dit-il en se retournant et lui adressant un sourire en coin. Aujourd'hui, je ne suis rien d'autre que Actarius, un ami, et cette pièce sera notre salle d'entrainement.

Il s'avança jusqu'aux portes, les poussa et laissa entrer la jeune demoiselle avant de la suivre. Derrière lui, le mur reprit sa place -à l'extérieur- tandis que la porte restait porte, vue de l'intérieur. Perceval s'avança jusqu'au centre de la pièce sobrement décorée, avec des fanions dignes de Serpentard, et fit un subreptice signe de tête à Antonia, accompagnant d'un mot...

Viens donc. Je vais pas te dévorer...

*...Ou pas*

Sa voix était chaude et accueuillante. antonia trouvait que ce personnage était tout à fait attractif, et elle n'avait jamais été du genre à résister aux belles choses. La tapisserie hideuse qui ornait le mur disparut pour laisser place à une immense porte de bois.
Il présenta cette pièce comme :''la salle sur demande''
Donc quoi il suffisait de demander?
Le jeune homme la laissa poliment passer devant, et en guise de remerciement elle lui adressa un sourire en coin, qui fit apparaitre une de ses faucette. Puis elle avança d'un pas décidé dans la pidce, sa queue de cheval se balançait, et elle se demandait ce que dirait le garde chasse si il voyait son tatouage dans la nuque. Prise de panique à l'idée qu'il désaprouve totalement ce genre de choses, Antonia agita ses doigts et la petite plume vint se nicher au creu de son coude, bien au chaud. Elle ne savait pas ce qu'il lui arrivait de vouloir plaire autant.

Il lui disait qu'aujourd'hui, il était un ami, juste Actarius, et Antonia sentait déjà qu'elle aimerait passer du temps avec lui. Peut être même ferait-elle semblant d'être lente pour passer plus de temps en sa compagnie.

La salle état aux couleurs de Serpentard. antonia était un peu ailleurs, quand le garde-chasse prétendit qu'il n'allait pas la dévorer si elle entrait. ''Bien dommage'' pensa-t-elle.

Si c'était une salle sur demande, peut être fallait-il juste demander pour avoir ce que nous voulions. Si Antonia le faisait à haute voix, celà la rendrait ridicule, et elle n'était pas sure du résultat. Mais formuler cela dans sa tête lui garantissait de garder pour elle son possible échec.
Elle pensa très fort à une table de bois noir, ou les pieds seraient gracieusement sculptés, et avec d'un coté un gros fauteuil noir aussi, de même que la table, sculpté, mais avec du rambourrage d'un blanc vif. Ce qui apparut sur le champs.

Assez fière d'elle, elle continua, en ajoutant une chaise de bois noir, plus simple que le fauteuil puisuqe sans rambourrage pour sa propre personne, deux tasses très sobres, et une cruche en argent de chocolat chaud, qu'elle imaginait délicieux.
Puis dans le coin de la pièce un sonophone, avec à coté une étagère entière de 35 tours, avec les morceaux les plus connus de musique classique. Elle jeta un regard amusé à Actarius:
''J'aime beaucoup cette salle!!''

Et elle partit mettre une valse de Chostakovitch.

Perceval et Antonia se retrouvaient seules dans cette gigantesque salle vraiment spacieuse. Alors que le Serpentard élaborait un plan de travail dans sa tête à toute vitesse, la jeune fille s'était apparemment mise à tester les capacités de la salle magique puisqu'une table en bois sculpté fit son apparition; toujours aussi étonnant... S'en suivit une chaise avec rembourrage blanc, certainement très confortable, une autre chaise, simple cette fois et une cruche remplie d'une mixture dont le parfum emplie la pièce... du chocolat chaud. Pour couronner le tout, la jeune demoiselle fit apparaître ton un ensemble musical.

Il restait sans voix devant l'initiative qu'elle avait prise. Bien entendu, il aurait put demander à la salle de nettoyer tout cela mais il lui avait dit qu'ils étaient entres amis; ce ne serait pas très correct. De la valse, très bon gout la damoiselle... ~~Elle montait un peu plus encore dans l'estime du jeune Garde-Chasse.~~

Toutefois, Perceval conservait un esprit très artistique en matière de musique et des musiques, il en connaissait un bon grand rayon, surtout du classique. Il s'approcha de la demoiselle et interrompit sa valse avant même qu'ils aient puent entendre grand chose, demandant néanmoins à la salle magique de lui trouver un piano à queue convenablement accordé.

Écoute ça... C'est mieux en live je dis.

Il s'installa sur la banquette, la régla à sa taille et échauffa ses doigts, balançant quelques notes musicales dans le vide.

*Mozart...? Beethoven? Chopin...? Pourquoi pas du Pachelbel?!*

Il opta finalement pour le premier, décidant de jouer l'un de ses titres certainement parmi les plus connus : La Marche Turque. S'en suivi une série de mouvements -sans doute dignes des plus grands pianistes- qu'il n'avait pas acquis en un coup de baguette, mais suite à de nombreuses années d'entrainement; depuis son plus très jeune âge pour être plus précis. Et oui, Perceval était un passionné de piano... Plus qu'un passionné même! Alors que ses doigts glissaient allégrement sur les touches du clavier, il espérait que son jeu serait au goût de la belle et charmante jeune russe. Cependant, son jeu ne s'arrêta pas là. Il eut achevé la mélodie "Mozarienne", qu'il enchaina aussitôt avec le célébrissime Canon du très talentueux Pachelbel. Il aurait voulu ne jamais s'arrêter...

______________

[Marche turque]

[Canon - Pachelbel (piano) ou Canon (version très classique)]

Écoute ça... C'est mieux en live je dis.

Il venait de faire sortir un piano à queue dans la salle sur demande, ou ils étaient à présents depuis une bonne dizaine de minutes.
Elle battait le rythme avec son pied, très discrètement. C'était même invisible. Elle se tenait debout, de sorte à ce qu'elle puisse voir les doigts d'Actarius danser sur le piano.
Ses cheveux bruns retombaient toujours sur ses épaules, et son visage restait impassible. Il était vraiment bel homme elle devait l'avouer.

Elle attendit poliment qu'il ait finit, et lui sourit tout simplement. Elle se sentait à présent détendue en présence de son professeur particulier.
Ah oui tiens d'ailleurs ces cours.

Je ne voudrais pas paraître malpolie, c'était une très belle interprétation, cependant il me semble que nous devions nous mettre au travail. J'ai l'ambition de devenir aussi grande sorcière que vous!

Elle avait ajouté la dernière phrase en un sourire étincelant, et était revenue se positionner près du siège simple qu'elle avait fait apparaitre. Elle prit place en prenant soin de lisser sa jupe, et attendit, patiemment, que le professeur vienne à elle.
Elle ne le quittait pas des yeux, car elle adorait l'élégance de son pas, lorsqu'il marchait.

Pour ainsi dire, le jeune homme s'était perdu dans son jeu, l'alignement symphonique qui était diffusé dans la pièce et en avait oublié le but premier de sa venue en ce lieu. Heureusement qu'Antonia l'avait rappelé à l'ordre. Quelque chose néanmoins faisait tâche mais il n'en dit rien. Il fit d'abord disparaître le piano d'un coup de baguette puis retourna près de la Serpentard, la fixant, l'air boudeur.

Je croyais t'avoir dis que je suis ni suis que ton ami et rien d'autre. Cela induit donc qu'il te faut me tutoyer et non me vouvoyer comme tu viens de le faire durant tout le temps que nous passerons ici ensemble à travailler. Et en passant, je suis loin d'être un grand sorcier. Je ne suis qu'un aspirant, comme toi.

Il s'installa sur le siège qu'elle avait eut la gentillesse de demander à la salle sur demande pour lui, posant sa baguette sur la table, face à lui. Il posa ses coudes sur la table, croisa les doigts et posa sa tête sur eux. Il la regarda un long moment avant de reprendre la parole...

Bon, commençons par des choses simples. Tu auras à me répondre à chaque question que je te poserai le plus précisément possible et lorsque tu auras juste, nous ferons un essai pour voir si tu en cernes l'utilisation pratique aussi bien que son apprentissage théorique. Alors, basique... Quels sont les deux sortilèges, utilisés soit pour attirer un objet, soit pour le repousser?

Si à cela, elle ne trouvait pas réponse, il serait quelque peu déçu dirons nous mais au moins, il saurait que faire et verrait l'ampleur de la tâche qu'il avait acceptée.

Tu peux t'aider ici pour trouver la majorité des sortilèges.

Alors qu'elle affichait un grand sourire, il avait une tête d'enfant un peu boudeur. Elle avait trouvé ça adorable, et n'en souriait que de plus belle.
Elle aimait travailler dans la bonne humeur. C'était plus agréable. Quoi que de toute façon être en tête à tête avec Actarius Bright était absolument agréable.

Je croyais t'avoir dis que je suis ni suis que ton ami et rien d'autre. Cela induit donc qu'il te faut me tutoyer et non me vouvoyer comme tu viens de le faire durant tout le temps que nous passerons ici ensemble à travailler. Et en passant, je suis loin d'être un grand sorcier. Je ne suis qu'un aspirant, comme toi.

Elle pinça les lèvres et baissa la tête, sans pour autant le quitter du regard. Elle aurait voulu paraitre amusante, mais elle savait que l'humour ne l'avait jamais réussit. Elle repris un visage normal, avec une bouche accentuée d'un sourire. Et remis sa mèche derrière son oreille, bien qu'elle n'ait pas bougé.
Il ne parlait plus, il ne faisait que la regarder. Elle ne voulait pas se détacher du visage de son interlocuteur, mais il la rendait un peu nerveuse, et assez timide, alors ses yeux papillonnaient ridiculement entre la table et le visage du garde-chasse. Elle était génée, sans savoir pourquoi. Enfin si elle savait. Mais même à elle même elle n'osait pas vraiment s'avouer les choses. Comme quoi elle le trouvait attirant, et surtout gentil, qu'il avait l'air intelligent et tout ça. Ses pensées bouillonnaient, jusqu'à ce qu'il prenne la parole.

Bon, commençons par des choses simples. Tu auras à me répondre à chaque question que je te poserai le plus précisément possible et lorsque tu auras juste, nous ferons un essai pour voir si tu en cernes l'utilisation pratique aussi bien que son apprentissage théorique. Alors, basique... Quels sont les deux sortilèges, utilisés soit pour attirer un objet, soit pour le repousser?

Elle s'éclaircît doucement la gorge avant de répondre.

Et bien accio je présume.

Et en joignant le geste à sa parole, elle avait levé sa baguette au même instant, et un disque était venu de l'étagère. Elle fit tournoyer le disque autour de sa main qui tenait sa baguette, et le renvoya sur l'étagère.

En un sourire gêné elle répondit:

Je me suis entrainée depuis la dernière fois.

Le décors de la salle changea du tout au tout.

Albus prit Oprala dans ses bras et déposa délicatement dans un coin de la salleIl déploya tout un tas de maléfice de protection autour d'elle en usant des pouvoirs de la salle.

Albus usa de magie pour remettre ses vêtements habituels, combattre en pyjama n'était pas une option.

Une à une, les défenses de salle s'amenuisait.

Lorsque Albus senti que plus aucun des défenses de la salle n'était opérationnel.

Il fit glisser sa baguette de sa manche et se prépara.

La porte de la salle sur demande se dessina sur le mur.

Lorsque la porte fut enfin complète, elle s'ouvrit lentement puis se referma sur un élève.

* Encore lui ... *

" - Enfin seul ... "

C'était l'élève de Serpentard du début d'année, celui qui posais tant de problème à notre couple.

" - Comment t'appelle tu ?

- Rowalda, mais en quoi mon nom t'intéresse-t-il ?

- C'est une question de Politesse, je m'appelle Albus Potter, comme ça tu connais le nom de ton adversaire.

- Je n'ai pas l'intention de combattre. Du moins pas tout de suite. Comment vas-t-elle ?"

Rowalda avait demandé cela en regardant Oprala, il esquissa un mouvement vers elle lorsque.

" - Approche toi d'elle, ne serait-ce que d'un pas, et tu es mort.

- Vraiment ? demanda Rowalda avec son ton narquois. Tu ne m'auras pas deux fois avec un ridicule sortilège de désarmement tu sais. Elle va bien, elle est juste endormie. J'ai formulé le souhait de te trouver seul, quiconque se serait trouvé avec toi en ce moment serait tombé endormi.

- Et en quoi c'est une chance pour toi ?

- Car c'est à toi que je veux parler. Mon père m'a parlé de tes pouvoirs.

- Vraiment ? Et qui est ton père ?

- Tu le connais de visage, il a vu ton grand-père mourir..."

Le chemin de Traverse, les 7 ans d'Albus, tout ses souvenirs lui revenais d'un coup comme un courant inversé.

Albus leva sa baguette d'un coup, mais Rowalda le pris par surprise.

Il désarma Albus et Récupéra sa baguette.

"- Que veux-tu ?

- La cape, ta cape d'invisibilité... donne la moi."

Albus explosa d'un grand rire.

"-La cape a perdu tout ses pouvoirs, elle est en endroit sûr.

- Où est elle ?

- Sur mon dos, où d'autre."

Rowalda regarda Albus avec surprise.

"-Donne la moi !

- Et que feras tu d'une cape sans pouvoir ?

- J'en ai grand besoin !

- Et pourquoi ???"

Rowalda leva un peu plus sa baguette et annonça

"- Les mangemorts ne m'accepterons que si je l'ai en ma possession.

- Expeliarmus !"

La baguette de Rowalda sauta de ses mains et disparue dans le néant.

"- Bonjour Albus, désolé de t'avoir fait attendre, mais il me fallait des aveux complet..."

Un élève de Serpentard de 7e année apparue d'un coup devant Rowalda, une baguette sous le nez de celui-ci.

"-J'ai cru que tu n'avais pas réussi à venir.

- Se glisser avec lui dans la salle fut chose facile.

- La cape... la cape..."

Rowalda esquissa un mouvement pour prendre la cape mais...D'un mouvement de baguette, l'Auror fit valdinguer Rowalda loin en arrière.

Albus ramassa sa cape et l'attacha à sa robe.

"- Tu m'as menti Potter.

- Non, ce n'est qu'une cape tissé en poils de demeguise, rien de plus.

- Mais comment...

- Albus est venu me dire que tu avais un comportement des plus étranges, ça faisait un moment que je te surveillais et avec tes aveux, c'est vraiment plus simple."

La porte de la salle sur demande se dessina une fois de plus sur le mur.

"-Au fait Albus, tes protections étaient vraiment très efficaces, j'ai eu du mal à les percés. dis l'Auror avec un petit rire

- Merci "

Albus eu un sourire satisfait.

"- Allez en route toi !"

L'Auror et Rowalda s'en allèrent laissant enfin notre couple seul.

Oprala remua dans son coin

* Voilà l'heure des explications...*

(Suite ICI)

Rp entre : Gloire Lecomte - Elizabeth Midford - Dumblerogue et Sora Elio

Ce jour-là, Sora avait décidé de se rendre dans la Salle sur Demande, car il avait besoin de mettre au point son sortilège de désarmement. Il n’arrivait jamais à le faire correctement. Alors qu’à son âge, on est supposé le maîtriser, quel mauvais Serdaigle tout de même. La salle sur demande n’est pas une salle comme les autres et tout le monde ne connait pas son existence. Lui en avait entendu parler par des élèves de 7° année. Il les avait même suivis jusqu’à cette mystérieuse salle. Assez de souvenirs pour le moment, Sora arriva devant la salle, après être passé par la Grande Salle, histoire de manger un peu avant de s’entraîner. A ce moment, seulement un mur lui faisait face, mais il savait quoi faire : il passa devant ce mur trois fois en pensant à ce dont il avait besoin, une salle d’entraînement, où il ne casserait rien. Ca serait dommage. Après ses allez-retours, une petite porte en bois et à la poignée d’or apparut. Il tourna la poignée et entra dans la salle.

A chaque fois qu’il entre dans cette salle, la surprise est la même, la salle aux milles facettes sait toujours comment répondre aux attentes de celui qui rentre dedans. Sora avait devant lui, une immense salle, avec deux bibliothèques remplîtes de livres sur les sorts et enchantements, des coussins dans le fond, surement là pour adoucir les éventuelles chutes, quelques mannequins en robe de sorciers et même des Bièraubeurres, après tout, après l’effort, le réconfort. Il sourit, satisfait de ce qu’il avait sous les yeux puis alla chercher un livre sur les sorts et chercha celui qui lui donnait du mal, l’Experliarmus. Il le trouva assez rapidement et lu ce que le livre disait. Il fallait qu’il retienne le mouvement qui accompagne la formule, lever puis abaisser en un coup sec, en tournant légèrement le poignet. Sora remit le livre là où il l’avait trouvé puis alla chercher un mannequin et le plaça au centre de la pièce. Il s’éloigna de quelques pas resta face au mannequin et se concentra sur le sort qu’il avait à faire. Il leva sa main et tout en disant la formule, fit le mouvement nécessaire :

« EXPERLIARMUS ! »

Malgré toute la conviction de Sora, rien ne se produisit, à part un léger mouvement du bras du mannequin. Sora, déçu se mit à rire, en effet il réagit souvent ainsi face aux déceptions. Il avait encore raté et n'avait apparemment fait aucun progrès depuis ses dernières tentatives. Il regarda le mannequin, brandit sa baguette et lança, de dépit :

« STUPEFIX ! »

Le mannequin fut projeté jusqu’au mur du fond, ce sort-là en revanche, il le maîtrisait complètement. Il ne comprenait pas pourquoi il faisait un blocage sur le sortilège de désarmement. Il s’assit sur le sol et cherchait ce qu’il pouvait bien manquer. N’avait-il pas assez de convictions ? Son mouvement était-il pas assez rigoureux ou alors prononçait-il mal la formule ? Il ne savait pas ce qu’il faisait de travers et cela le contrariait grandement. Il plongea sa tête dans ses mains, toujours assis en tailleur sur le sol et marmonna des choses que personne ne pouvait comprendre.

Comme à son habitude, en fait surtout depuis qu'elle avait pris son poste de préfète, Gloire arpentait les couloirs à la recherche de Gryffondor perdus ou en train de faire des bêtises. Ce n'était pas qu'on était vêtu de Rouge et Or que la bêtise nous épargnait, loin de là... et la jeune fille en avait encore fait les frais ce matin même. Quand elle repensa au crapaud gluant et visqueux que ses camarades avaient trouvé amusant de mettre sous les draps des premières années, elle en fulminait encore de rage. Et puis, il faut dire aussi que ce qu'il se passait en dehors de l'école la perturbait un peu. En fait, plus qu'un peu. Leur directrice, Adya, avait étrangement disparu et bien que Gloire l'ait cherchée toute la journée, personne ne semblait l'avoir aperçue depuis qu'elle s'était retirée dans ses appartements la veille. Mais, bien que plongée dans ses pensées, elle aperçut alors un élève qui allait et venait devant un grand mur... et qui disparut comme par enchantement. La préfète des R&O n'en fut guère étonnée. Mieux, elle sourit. Elle connaissait parfaitement cette salle. En même temps, vu le nombre d'années qu'elle avait passé ici, elle aurait été bien sotte de n'avoir jamais pu fréquenter la fameuse salle sur demande.

Etant donné qu'elle savait pertinemment qu'une fois utilisée la salle ne s'ouvrirait plus, sauf pour ceux qui saurait son utilisation du moment, Gloire détala comme une flèche et arriva au moment où la porte allait se fermer. Hop ! elle passa de côté. Une jambe d'abord. Puis l'autre. Et enfin tout le reste. La porte se referma doucement derrière elle. Ramenant ses cheveux en arrière, elle observa Sora s'avancer dans la pièce, regarder autour de lui et prendre un livre. Apparemment, la salle semblait à son goût. Il était si absorbé dans sa lecture qu'elle en profita pour s'asseoir sur un vieux meuble quand il installa un mannequin. "Ah ! je crois qu'il va s'entraîner..." se dit-elle. Elle était curieuse de savoir pourquoi il s'était ainsi réfugié ici. Quel sort voulait-il donc tester ?
Elle le regarda prendre place, se mettre en position de combat, c'est-à-dire une main devant, l'autre levé en arrière, les genoux fléchis et le regard fixe. Bien qu'elle soit loin, elle pouvait parfaitement ressentir la concentration qui l'habitait actuellement.

- EXPERLIARMUS ! lança-t-il soudain. Gloire observa le mannequin mais celui-ci se contenta uniquement de faire coucou de la main. De dépit ? le Serdaigle lui lança un sortilège de stupéfixion qui envoya la forme sans visage s'étaler plus loin contre le mur. A ses épaules tombantes et à sa posture, il n'avait pas l'air d'aller bien. La jeune fille décida alors de lui donner un coup de main.

- Tu ne te tiens pas assez droit Sora ! lui dit-elle en descendant de son perchoir, et tu prononces mal la formule... Tout en s'avançant vers lui, elle pointa sa propre baguette sur le tas difforme à terre et prononça : "Accio mannequin !". Aussitôt la masse glissa vers elle, telle une ombre. Gloire la releva et la remit en place, puis recula de deux pas. La tête haute, l'angle de son bras droit formant un carré parfait, elle lança le sort avec précision : " EXPELLIARMUS ! " et aussitôt la tête du mannequin s'envola au loin. Se tournant vers Sora, toujours assis à terre, elle lui fit signe de se lever.

- A toi maintenant ! Répétant le sort d'attraction, elle remit la tête à sa place et lui dit : "N'oublie pas. Bien droit. Prononce bien. Et bien sûr, concentre-toi sur ce que tu veux catapulter au loin." Puis, raisonnable comme elle l'était, elle recula et attendit... quand quelqu'un d'autre la rejoignit...

C'était génial, être réveillé par un éternuement à bientôt quatre heures du mat, que demander de mieux ? Ce n'était pas une chose voulue, elle n'avait pas calculé la chose. Qui souhaiterait voir sa nuit perturbé par une broutille...
Exaspéré, l'étudiante souffla. Il n'y avait pas que ça, ses cloisons étaient bouchés. Son sommeil risquait d'en prendre un coup ! Elle replaça son oreiller et s'installa plus confortablement. Bon, il lui restait encore quelques heures pour vaincre ces microbes... Elle y arriverait !

Le matin pointa le bout de son nez, comme prévu, la jeune fille ne s'était pas rendormie. Et pourtant, elle avait essayé de toutes ces forces, changeant des dizaines de fois de position, se mouchant mainte et mainte fois... Au final, la situation resta la même. Ce qui était catastrophique, car la jeune fille devait aller en cours (ou pas). Alala, on lui en voulait, c'était sur ! Elle n'avait jamais été malade, enfin jusqu'à ce jour...
Après s'être trainer, pour aller prendre une douche, Elizabeth revint vers le dortoir à la hâte. Elle était sur les nerfs et en retard. Vraiment sympa pour commencer une journée !

Arrivée dans les couloirs, elle tourna en rond. Elle n'était pas perdue, mais elle n'avait pas prit la peine de regarder ce qu'elle avait, elle dut retourner dans son dortoir, pour aller jeter un coup d'œil sur son emploi du temps... Fallait vraiment être dans les vapes, pour faire ce genre d'erreur, mais bref !
A présent, elle ne se pressait plus. Elle avait plus d'une demie heure de retard. Alors, heure perdue pour perdu, sa servait à rien de s'énerver. Elle continua de marcher, lorsque tout à coup, elle entendit un bruit derrière elle. Elle se retourna pour voir ce que c'était... Au départ elle croyait que c'était son imagination qui lui jouait des tours, mais en fait, non ! Une porte venait de s'ouvrir. Elle s'approcha et entendit des voix. Curieuse comme elle était, c'était obligé qu'elle y aille... Il n'y avait ni de tremblement de terre, ni personne, pour l'en empêcher. Alors, fallait profiter !

Son apparition aurait pu passer inaperçu, mais étant donné qu'elle ne faisait jamais les choses à moitié, il ne fallait pas compter là dessus. A peine entrer dans la salle, et contre son gré, elle lança un éternuement phénoménal. Bon, bah niveau discrétion, elle repasserait... Surtout qu'elle venait de déranger les personnes qui étaient en train de... De faire quoi d'ailleurs ? Ils avaient tous les deux leurs baguettes à la main... Enfin ! Tant pis c'était pas ses affaires.

Elle tira un mouchoir de sa poche, et tout en l'appliquant sur ses narines, dit :

-Scuzer... Du dérangement. Fesh... Comme s'hi j'nétais pas là.

Avoir passé 7 ans dans un collège ne veut pas dire qu'on connait tout ses secrets, une réalité franche et douloureuse pour Dumblerogue, mais lui avait décider de connaitre tout les secrets de l'école avant de la quitter. Une salle qu'il n'avait jamais réussi à trouver, la Salle sur Demande ou la Salle Va-et-Viens. Il était décidé à la trouver ce matin, n'ayant aucun devoir à remettre ou cours à assister, il alla vers le couloir du septième étage où il savait que la salle se trouvait, il essayait d'y entrer, mais vainement.

Il entendit des pas s'approcher, il se cacha derrière une statut *J'espère que quelqu'un essayera d'y pénétrer* se dit-il. Un Serdaigle s'avançait le long du couloir, il passa devant le mur nu qui cachait l'entrée de la salle 3 fois, *mais qu'est-ce qu'il fait, celui-là?* la réponse se matérialisa devant lui littéralement, une porte apparut du néant. Le Serdaigle que Dumblerogue connaissait de vue comme étant Sora Elio, entra *C'était maintenant ou jamais*, il se rua derrière lui ne sachant ce qu'il pourrait trouver là dedans.

C'était une grande salle avec plein de mannequins d'entrainement, de bibliothèques, coussins et d'autres détails qui n'étaient pas assez intéressants pour l'instant, il devait trouver un endroit où se cacher jusqu'à ce que la salle soit vide pour qu'il puisse l'explorer à son gré, il trouva un bon coin et s'assit pour voir ce que l'autre Serdaigle allait faire.

Sora Elio avait prit un livre et le lisait avec une concentration hors du commun,*Après tout, il était à Serdaigle*. Rester là à le regarder risquait d'être ennuyeux, il ferait mieux de regarder la salle et de la détailler. Il remarqua qu'il n'était pas le seul qui regardait Sora Elio, il y avait une préfète de Gryffondor et une autre élève de Serpentard.

Sora Elio avait fini sa lecture, il plaça un mannequin au centre de la pièce *Si mes soupçons seraient vrais, il va s'entrainer à jeter un sort, intéressant*, le Serdaigle se concentra et:

EXPELIARMUS

Le mannequin le salua, Sora lui lança un Stupéfix assez facilement, c'était étrange de pouvoir lancer un Stupéfix facilement et de galérer avec un sortilège de Désarmement. Il voulut aider mais la Gryffi' s'avançait déjà vers lui et disait:

Citation :: - Tu ne te tiens pas assez droit Sora ! lui dit-elle en descendant de son perchoir, et tu prononces mal la formule... Tout en s'avançant vers lui, elle pointa sa propre baguette sur le tas difforme à terre et prononça : "Accio mannequin !". Aussitôt la masse glissa vers elle, telle une ombre. Gloire la releva et la remit en place, puis recula de deux pas. La tête haute, l'angle de son bras droit formant un carré parfait, elle lança le sort avec précision : " EXPELLIARMUS ! " et aussitôt la tête du mannequin s'envola au loin. Se tournant vers Sora, toujours assis à terre, elle lui fit signe de se lever.

- A toi maintenant ! Répétant le sort d'attraction, elle remit la tête à sa place et lui dit : "N'oublie pas. Bien droit. Prononce bien. Et bien sûr, concentre-toi sur ce que tu veux catapulter au loin." Puis, raisonnable comme elle l'était, elle recula et attendit...

Dumblerogue décida de sortir de son silence, et s'avança vers eux:

- Et si tu cherches à désarmer, essaye d'attraper la baguette de ton adversaire au vol.