Explore le chemin de traverse

Adreas espérait secrètement que son ancien boss l'aiderait dans sa quête d'une nouvelle machine à café, cet objet rare était désormais indispensable aux sorciers du corps d'élite des Aurors, en effet la magie ne pouvant recréer de la nourriture ils étaient obligés de se servir de la machine moldue. Bien évidemment ils s'étaient empressés de la trafiquée un peu pour qu'elle produise beaucoup plus de café qu'une machine moldue ordinaire en un temps tout à fait record, mais cela excluait l'idée même de faire marcher une garantie dessus pour la renvoyer au fabriquant en cas de panne. Ces derniers temps elle avait montré quelques signes de faiblesse, Adreas avait donc pour mission d'en trouver une autre. Pour son honneur elle ne révèlerait pas à Zhadrryen qu'elle était totalement paniquée, mais son estomac le faisait pour elle.

Pendant le petit monologue intérieur de la jeune sorcière, Zhadrryen avait continué à parler des Mangemorts, ces êtres abjects qu'il connaissait bien pour les avoir combattu quelques dizaines de fois et pour avoir fait un séjour dans leur antre maudite surnommée partout: Hollow Bastion. Le témoignage de l'ancien boss était crucial, jamais il n'avait réellement raconté ce qui lui était arrivé là-bas, ils l'avaient probablement torturé et soumis à un effacement partiel de sa mémoire pour pas qu'il raconte les détails de leur base secrète. L'auror expliquait avec une pointe de nostalgie comme l'ordre des ténèbres avait chu au fil des mois, les rumeurs allaient bon train, les seigneur des ténèbres se succédaient rapidement sans véritable chef de meute, pas comme à la belle époque..

- Je comprend, je me souviens qu'à mes débuts on m'avait expliqué de ne jamais sortir sans sa baguette, sans dire à quelqu'un où tu allais en cas de problème parce que les Aurors étaient très recherchés.. Et même à cette époque nous avions le soutien de l'Ordre du Phénix, chose que nous n'avons plus aujourd'hui.

La jeune femme repensait à l'Ordre du Phénix, leurs membres étaient recherchés par les Aurors, mais pourtant les deux chefs des aurors attablés sur le chemin de traverse vivaient tous les deux avec deux membre de ce groupe interdit. Tombant sous leur charme avant que la législation les interdise.. Le regard dans le vide la jeune femme planta sa fourchette dans l'assiette et mangea sans s'en rendre compte.

Zhadrryen écouta Adreas parler de ses débuts, il fallait sortir toujours avec sa baguette, surveiller constamment nos arrières, prévenir à chaque déplacement un collègue ou ne se déplacer à plusieurs pour prévoir une attaque. C'était vraiment des temps difficiles. Zhadrryen ponctua par :

- A parfaitement raison, et même quand on était plusieurs on ne savait jamais si on allait en sortir vivant, les mangemorts étaient de sacrés combattants, mais maintenant, on a l'impression qu'ils recrutent en maternelle, à se demander si isl savent lancer autre chose qu'un accio. Maintenant le monde magique est quand même plus sécurisé, même si il y a encore quelques troubles et si nos avons perdu quelques alliés, nous sommes devenus quand même plus compétent, et ça c'est notre avantage.

Zhadrryen continua de manger tranquillement, le rythme diminua sensiblement, Zhadrryen commençait à être calé, mais il avait encore beaucoup de place, même si il mangeait beaucoup, il prenait généralement que quelques grammes.

La conversation entre les deux collègues se transformait peu à peu en une éloge du «bon vieux temps» comme l'appelait les deux croûtons du service Zhadrryen et Sophie. Le temps où il y avait des meurtres et des attaques quotidiennes, où les aurors avaient des choses plus intéressantes à faire que de dessiner sur les murs et nettoyer les toilettes. Ce temps là était révolu avec le papy boom qui avait mis fin au règne impitoyable des Mangemorts sur la Grande-Bretagne. Adreas avait fini son assiette, elle jouait à présent avec son couteau à essayer de faire des personnages avec le peu de sauce qu'il restait au fond du couvert. Zhadrryen quant à lui mangeait toujours comme s'il avait faim, la jeune femme regarda attentivement le corps de son ami, se demandant où tout cela partait, puis déçu de n'avoir rien trouvé elle se promit de lui demander s'il n'avait pas jeter un sort à son système digestif.

La fin du repas se ponctua par une addition très élevée qu'Adreas paya avec la bourse du ministère, après tout les deux aurors étaient actuellement en pleine mission de surveillance ils n'allaient pas en plus payer la note du restaurant. Les deux aurors se levèrent, remirent leurs capes sur les épaules et achevèrent la traversée du chemin de Traverse.

- Tu crois qu'il s'en cache beaucoup des Mangemorts ? Je veux dire, y'a quelques années ils étaient partout parmi nous, à Poudlard, au ministère ils envahissaient tout. Maintenant on en voit beaucoup moins, comme tu l'as dit ils recrutent à la maternelle. Je doute qu'il en reste encore beaucoup aux postes importants..

Morgane était au ministère elle cherchait Adréas le chef des aurors. Elle avait un papier important à lui transmettre des plus importants. Elle avait cherché partout, jusqu'à trouvé un papier sur le bureau de celle-ci indiquant l'endroit où elle se trouvait.
Morgane prit sa cape, sa baguette et se dirigeait en direction des chemins de traverse où se trouvait Zhaddryen et Adréas. Elle les trouvait tout les deux dans la rue principale non loin du chaudron baveur. Morgane se dit qu'elle en profiterait pour acheter du café car ils commençaient à en manquer sérieusement. Les longues réunions de ces derniers jours avaient bien entamer leurs réserves. Elle avançait vers les deux aurors d'un pas rapide, sa baguette serrée dans sa main, on savait jamais au cas où.

" Bonjour Zhadrreyn, Adréas, je suis contente de vous trouver, j'ai un papier à te donner Adréas. Il faudrait que tu le signe tout de suite, cela concerne la machine à café que l'on doit faire réparer. Le café est exécrable depuis qu'on se sert des chaussettes pour le faire passer. Le plus vite elle sera réparer mieux se sera. "

Morgane restait debout à côté des deux aurors, attendant qu'Adréas signe le papier, puis dit :

" Belle journée vous ne trouvez pas, c'est sympa d'avoir le temps d'en profiter non. Enfermés dans nos bureaux toute la journée on a du mal à respirer. Alors vous racontez quoi de beau, vous ai pas vu depuis hier 4heure 30 du matin. Au fait Adréas, faut aussi acheter du café, y en a plus, super ta coiffure t'en a pas changé dernièrement . Tu savais qu'il y avait des soldes sur les chemins de travers faudrait vraiment qu'on pense à se faire une journée shoping non ?"

Morgane se tu et attendit qu'on lui réponde, elle en profitait pour prendre le soleil, mettant ses lunettes de soleil, ses yeux étant un peu fragile. Normal vu le peu de luminosité des bureau au ministère.

L'après-midi commençait à paraître tandis que les deux aurors arrivaient au bout du chemin de Traverse sans qu'ils aient rencontré la moindre personne susceptible de causer du tort à ses compatriotes. C'est alors qu'ils virent une de leur jeune collègue, Morgane Mac Millan accourir une lettre dans la main. Celle-ci avait des cernes sous les yeux et elle s'exprima rapidement sans trop articulé, Adreas arriva cependant à suivre car l'information était de premier ordre, il était absolument crucial qu'elle agisse rapidement, elle dégaina une plume à encre intégrée plus rapidement qu'elle l'aurait fait avec sa baguette magique si un Mangemort était apparu au bout du chemin. S'appliquant dans les boucles, Adreas signa le document nécessaire pour la réparation à la jeune fille. Morgane resta à leurs côtés, ce moment de stress passé, les trois aurors reprirent leur chemin. La jeune auror s'arrêta comme prévu pour acheter des réserves de café pour la soirée, les 2kg de sucre dans la poche de sa cape côtoyaient maintenant 10 kg de caféine.. Légèrement penchée du côté de la cargaison, Morgane repris la conversation comme si de rien n'était proposant même aux deux autres d'aller faire du shopping.

Peinée de voir ainsi son amie souffrir, Adreas appela Emy, son elfe de maison qui reprit les courses de Morgane pour les emmener directement au QG des Aurors. Soulagée l'étudiante commença à sautiller sur place jusqu'à ce que honteux Zhadrryen l'arrêta d'un signe de bras, cela ne faisait pas très sérieux des aurors qui gambadaient dans la rue comme des Schtroumpfs dans la forêt. Les trois amis repartirent en direction de l'entrée de l'allée des Embrumes où ils iraient peut-être faire un tour si l'envie les prenaient de se montrer là-bas.

- Non Morgane, je n'ai pas changé de coiffure, mais il faut dire que la dernière fois que tu m'as vu je revenais d'une soirée avec Cronos et je n'avais pas eut le temps de me recoiffer entre temps.. Hum.. Sinon, comment ça se passe à Poudlard pas trop dur de suivre tes dernières années de cours et de travailler au ministère ?

Morgane vit Adréas signer le document, elle fit appel à son elfe de maison Llya pour le porter au réparateur de cafetière. Il fallait faire vite car si elle buvait encore du café fait maison Morgane ne répondrait plus de rien.

* Sérieux à qui ils ont piqués la dernière chaussette, enfin bon je n’ose pas y penser. Bon maintenant au café, n'oublions pas le sucre, mais avant des sous je ne vais pas payer ça de ma poche. Faut pas abuser.*

Elle regardait Adréas attendant qu'elle sorte son argent, elle était le chef à elle de payer, puis on avait fracassé leur tirelire la dernière fois. Les aurors étaient fauchés comme les blés. Elle entrait dans le magasin, portant tout ce qu'elle venait d'acheter dans les poches de sa cape. Autant dire qu'elle ressemblait à la tour de pise, elle vit avec soulagement arrivé l'elfe d'Adréas prendre ses paquets.

" Merci je me faisais l'effet d'une veille sorcière, faut vraiment que je passe par la salle de musculation. A part ça, on fait quoi on avancent ou on prend racine ici "

Adréas prit la parole regardant Morgane elle lui dit :

- Non Morgane, je n'ai pas changé de coiffure, mais il faut dire que la dernière fois que tu m'as vu je revenais* d'une soirée avec Cronos et je n'avais pas eut le temps de me recoiffer entre temps.. Hum.. Sinon, comment ça se passe à Poudlard pas trop dur de suivre tes dernières années de cours et de travailler au ministère ?

Morgane eut un sourire elle n'eut pas de mal à imaginé combien la soirée avait du être chaude vu l'état de la coiffure d'Adréas .

" Non ça va pas trop dur même si y a des professeurs qui ... Mais bon je fais avec, vivement la fin de cette année que je puisse enfin quitter Poudlard. Sinon on fait quoi là on attend l'apparition des Mangemorts ou tout autre sorciers désœuvrés en mal de combat ? Ou on rentre se boire un bon café enfin !"

Morgane attendit la réponse des deux Aurors à ses côtés.

L'étudiante aborda sa scolarité sans aucun problème, elle avait beau être jeune elle s'était bien intégrer dans leur groupe. Les deux chefs aurors commençaient à fatiguer légèrement, leur pieds étaient en compote et Morgane fit une proposition plus qu'alléchante. Un bon café, dans les fauteuils moelleux du Quartier Général: le rêve de tout fonctionnaire qui se mérite. Les trois aurors décidèrent donc d'un commun accord de rentrer, s'efforçant de mener à bien leur mission, ils remontèrent à pied toute la rue commerçante, repassant devant les mêmes boutiques de plus en plus bondées. Les trois compères regagnèrent Gringotts. Adreas hésité un instant devant la banque des sorciers, elle avait dépensé pas mal d'argent aujourd'hui, mais ce n'était pas grave le ministère payerait les frais de déplacement. C'était inclus dans le budget réservé aux fonctionnaires en action.

Un double plop se fit entendre dans la rue, après un regard, Zhadrryen et Adreas avait attrapé Morgane et avaient transplané dans la salle de transport du QG des Aurors. Tous les trois se dirigèrent très rapidement vers la machine à café, Emy ayant pris soin de replacer correctement le café et le sucre acheté en début d'après-midi.

Zhadrryen écouta Adreas lui poser une question, elle demandait d'après Zhadrryen si les mangemorts étaient encore infiltrés parmi les postes importants des fonctions magiques. Zhadrryen réfléchit quelques instants :

- C'est vrai qu'à une époque, ils étaient vraiment partout, mais je crois que maintenant nous n'avons plus grand chose à craindre. Nous avons quelques postes importants parmi les professeurs à poudlard et dans le magenmagot. Je serai toi je me ferai plus autant de souci, même si tu devrais rester vigilante.

Pendant qu'ils finissaient de traverser la rue, une de leur collègue arriva, elle avait un papier vraiment important à faire signer à Adreas. C'était Morgane, que Zhadrryen avait formé. Les deux aurors avaient eu quelques problèmes mais qui étaient réglés depuis le temps. Les deux femmes parlèrent de tout et de rien. Morgane parlait à une vitesse hallucinante, Zhadrryen eu du mal à suivre le cheminement de ses pensées. Elle sautait du coq à l'ane, en passant par la vache. Elles parlèrent même des ébats amoureux d'Adreas. Les aurors s'arrêtèrent pour refaire le stock de café et de sucre, chose vraiment primordiales pour le bon fonctionnement de la cellule des aurors. Deux elfes de maison apparurent, un pour porter le papier signé de la main d'Adreas et l'autre pour emmener le stock de café et de sucre.

Les trois aurors redescendèrent la rue d'un pas tranquille, aujourd'hui il n'y aurait pas d'attaque, un bon point pour cette journée qui avait mal commencé. Ils arrivèrent devant Gringotts et d'un comme un accord, ils décidèrent de rentrer au QG pour aller prendre un café. Direction le QG.

Colin accepta de sortir du bar des ténèbres, ils se dirigèrent donc tous deux vers la sortie, sous le regard de quelques personnes que Lily jugea vicieuses. Colin lui ouvrit la porte et alors qu'elle venait de sortir, il passa un bras autour de son cou. Lily ne protesta pas, elle trouvait cela agréable. Elle le regarda et lui sourrit.

Alors sache que la jeune fille que tu tiens négligeamment par le cou, vient de Russie où elle a vécut jusqu'à présent avec ses domestiques plus qu'avec sa propre famille. Elle sourrit et continua plus doucement, Sinon, je suis issue d'un famille noble de sang-purs, je n'est que brièvement connue ma mère, et j'ai un certain penchant pour le risque et le danger..

Elle posa sa main sur celle de Colin, et dit :

Cela te suffit-il ?

Alors sache que la jeune fille que tu tiens négligeamment par le cou, vient de Russie où elle a vécut jusqu'à présent avec ses domestiques plus qu'avec sa propre famille. Elle sourrit et continua plus doucement, Sinon, je suis issue d'un famille noble de sang-purs, je n'est que brièvement connue ma mère, et j'ai un certain penchant pour le risque et le danger..

Alors que Lily venait de finir son propre récit Colin analisa quelques secondes les paroles de la jeune fille. Il trouvait que sur certains points il se ressemblait fortement. Elle aimait bien le risque et le danger, lui aussi. Elle était issue d'une famille noble de sang-pur, lui aussi. Mais il ne comprenait pas pourquoi elle avait précisé "négligeament". Mettant ses reflexions de côtés Colin continua de marcher le long du chemin de traverse toujours le bras autour du coup de Lily, sur lequel cette derniere venait de poser sa main. Après avoir marché de longue minutes silencieusement Colin vît qu'il arrivait dans un coins reculé du chemin de traverse ayant un peu le même genre que l'allée des embrumes mais en moins dangereux et malfammée. Ravie de l'endroit ou ils étaients, Colin descida de s'arreter. Il s'adossa face à un mur, tenant toujours la mains de Lily qui se trouvait désormais en face de lui. Il plongea ses eux dans les siens en lui jetant un regard profond et charmeur et lui dema nda d'une voix tout aussi charmeuse:

- Sa te déranges si on s'arrete ?

Lily et Colin continuèrent de marcher le long du chemin de traverse. Le soleil commençait à se coucher, il faisait maintenant bon. Une brise fraiche caressa la nuque de Lily, ce qui la fit aussitôt frissoner. Ils arrivèrent à un endroit peu fréquenté et très calme du chemin, ce qui le rendait semblable à l'allée des embrumes, avec le côté angoissant en moins. Colin s'arreta et s'adossa à un mur. Lily, dont il tenait toujours la main, se plaça en face de lui. Il la regarda droit dans les yeux et demanda :

Sa te déranges si on s'arrete ?

Sa voix tout comme son regard et même sa posture, lui donnaient des allures de charmeur hors pair.
Lily pencha légèrement la tête sur le côté :

Ca dépend.. Pourquoi nous arrétons-nous ? dit-elle d'un air naïf, mais un sourire coquin aux lèvres.

Puis elle s'approcha doucement de Colin jusqu'à ce qu'ils ne soient séparés que par quelques centimètres. Elle pouvait sentir la chaleur qui émanait de son corps et son souffle chaud sur sa nuque. Elle posa une main sur sont torse, la fit glisser lentement jusqu'à son col, et enleva une araignée qui se baladait sut sa chemise. Elle recula un peu, tout en laissant sa main au même endroit et dit pour tout excuses :

Je n'aime pas vraiment ces bêtes-là..

Elle lui fit son sourrire le plus ravageur, et se mordit la lèvre infèrieure.

- Ca dépends..pourquoi nous arretons-nous ? demanda Lily

Après lui avoir demandé ceci elle pencha légerement la tête et approcha son visage extremement près de celui de Colin. Le côté naïf charmeuse coqiune de Lily exitait considerablement . Elle saisit alors une araignée et la jeta negligeament derriere elle, pourtant elle laissé sa main - qui auparavant avait glissé sur son torse - posé sur son col. Leurs corps se touchaient presque. Lily, une main posé sur le col de Colin, et la main de ce dernier dans l'autre ne cessait de le regarder avec cet air coquin et naïf. Colin glissa sa main libre dans le creux du dos de Lily et la rapprocha de lui jusqu'a ce que leurs corps s'enlace. Il plongea à nouveaux ses yeux dans les siens puis il lui fît d'une voix presque inaudible

- J'avais quelques petite idées

A peine avait-t'il terminé sa phrase qu'il embrassa tendrement Lily, sa main toujours posé sur le bas de son dos. Il dessera un tout petit peu son etreinte et lui demanda d'une voix qui voulais clairement indiquer le contraire

- Tu veux repartir ?

Lily sentit une main dans le creux de son dos, c'était Colin. Il la rapprocha de lui, ils étaient maintenant enlacés. C'était la première fois qu'elle se sentait si bien, peut-être l'alcool jouait-il un role là-dedans, mais c'était surtout l'étreinte de Colin qui la faisait se sentir en sécurité. Il la regarda, puis murmura quelque chose. Elle ne sut quoi car, juste à la fin de sa phrase il l'embrassa tendrement, ce qui lui fit perdre la notion du temps. Elle savait que ça aller arriver, qu'ils allaient s'embrasser, mais elle était quand surprise.. très agréablement surprise. Colin désserra un peu son étreinte et dit :

Tu veux repartir ?

Elle répondit en souriant :

Bien sur que non.

Puis elle l'embrassa à son tour, mais cette fois-ci passionément.

Bien sur que non.

Cool pensa Colin, on est pas pressé. Alors que la jeune serpentard l'embrassait passionement Colin passa la mains dans ses cheveux et lui rendit son baisé avec fougue. La main du jeune Black toujours posé dans le dos de la jeune filles descendait doucement vers la bas (très bas) du dos de Lily. Lorsque leur entreinte se relacha quelque peu Colin vît que la rue bien que eu animé était très exposé. Il saisit Lily par le bras et l'enmena tout au bout du chemin de traverse, endroi qu'il n'avait jamais exploré. Après avoir couru quelque secondes Colin et Lily se retrouvèrent désormais dans un cul-de sac. Colin s'adossa derriere un pilier à l'abris des regards indiscret et embrassa la Serpentard tout en passant une mains sous la chemise de cette dernier. Colin regarda une nouvelle fois la rue déserte, et surement inhabité et déclara à Lily.

- Je crois qu'on avait besoin d'un coins un peu plus tranquille, voir discret...

Il repassa une mains dans ses cheveux et l'embrassa tendrement dans le coup tout en sentant la main de la jeune fille caresser son torse. Il était aux anges.

Colin passa la main dans ses cheveux, et l'embrasse avec fougue. Lily sentit son autre main descendre très bas, ce qui la fit reculer un peu. En reculant, elle s'apperçut que Colin regardait la rue, peut-être avait-il apperçut quelques regards indiscrets. Il la prit par le bras, et l'entraina au fond du chemin de traverse. Lily ne comprit pas de suite, et protesta :

Eh ! Mais ou est-c'qu'on va ?

N'ayant pas de réponse, elle regarda le lieu, où ils venaient de s'arrêter. Un cul de sac miteux, et complètement desert. Puis il continuèrent à s'embrasser, bien qu'un peu essoufflés après leur folle course. Colin passa sa main sous la main du chemisier de la jeune fille, ce qui la fit aussitôt tressaillir. Il regarda la rue déserte et déclara :

Je crois qu'on avait besoin d'un coins un peu plus tranquille, voir discret...

Lily sourit. Le Serpantard passa une nouvelle fois la main dans ses cheveux, et l'embrassa tendrement dans le cou. La Serpantard en profita pour déboutonner quelque peu la chemise du jeune homme, et passa sa main sur son torse nu, si bien batit. Ils étaient tout les deux aux anges.
Mais un doute la subvint. Était-ce réellement bien, ce qu'ils faisaient ? Après-tout, ils s'étaient rencontrés à peine quelques minutes auparavant, et ne se connaissaient presque pas. Elle n'eut pas le loisir d'y réfléchir d'avantage, car elle entendit un bruissement d'ailes, non loin. Elle se retourna, et aperçut un majestueux hiboux grand duc au plumage sombre et soyeux, posé sur le couvercle d'une poubelle, tout près des deux serpantards, qui portait dans son bec une lettre. Lily regarda Colin, qui avait lui aussi vu l'oiseau, d'un air interrogateur :

Tu crois que la lettre est pour un de nous deux ?

Les deux jeunes gens s'embrassaient passionement tandis que le rue du chemin de traverse était aussi silencieuse qu'un cimetiere. Colin lui était aux anges, il imbrassait une fille très jolie doint il ne conaissait pas grands choses tandit que cette derniere lui caressait le torse de sa main douce qui donnait des frissons à Colin. Lorsque Lily déboutonna quelque boutons de la chemise blanche cousue de l'insigne de Serpentard et fit défiler ses doigts sur le torse et le bas du ventre de Colin, le jeune Serpentard souria de bonheur. Colin, foux de joie passa lui aussi une main sous le t-shirt de la jeune fille, ses doigts défilant sur las agraffes d'un soutiens-gorges qu'il revait de détacher. Lorsqu'il caressa la jeune fille tout près de sa poitrine un bruit vînt déranger, voir gacher le silence actuel. Après répetition Colin l'identifia comme celui d'un bruissement d'aile. Se retourna vers le fauteur de trouble Colin se trouva face à un magnifique hiboux grand duc. Ce dernier tenait une petit enveloppe dans son bac. Lily lui demanda:

Tu crois que la lettre est pour un de nous deux ?

Colin ne répondit pas et se dirigea vers le hiboux. Lorsqu'il fut près du volatil il carressa son plumage soyeux et lui décrocha prit la lettre. Le peuso-messagé hulula en signe de ravissement et s'envola très haut au dessus du chemin de traverse. Le june hommen, la chemise toujours déboutonné tourna la lettre et lu le nom qui y étit inscrit. Lily Van DeangDue

- Et bien je crois que c'est pour toi.

Colin se dirigea vers la jeune fille et lui tendit l'envollope qu'elle prit. Tout un observant la jeune fille ouvrir l'envellope Colin se posa à ses côtés tout en la prenant par le bras au niveau de la hance..