[HJ désolé du post archi naze Roudoudou.... (juste parce j'avais envie :p) Sinon désolé ferais mieux la pro" pas envie de me faire taper -_- xD]

Atana esquissa plus ou moins bien les attaques de Jaren, elle avait réfléchit par la même occasion à un sort de défense mais surtout d’attaque. Le plan était basique mettre hors état de défense son adversaire c'est-à-dire en premier lieu immobiliser puis ensuite attaquer. Simple et efficace si réalisé avec justesse ! Elle se tenait donc debout face à Jaren, elle le fixait prêt à la moindre de ses attaques écoutant sa remarque qui avait au moins le don de la faire sourire bien qu’il n’est pas tout à fait tort (a) . Elle se rapprocha de lui et le fixa. Il semblait concentré et quelque peu amusé. Toutefois dans le regard du jeune homme elle notait une pointe… d’analyse. En effet il semblait juger chacun de ses gestes ce qui donna à Atana l’envi plus grande de lui prouver ce dont elle était capable. A présent elle se trouvait dans une bulle ne voyant que Jaren et les alentour du combat. Plus rien n’existait, ni la victime, ni Cronos, Ni peyton. Son rôle n’était pas de surveiller la victime ou de l’aider ? très bien elle ferait donc son possible pour aider ses amis tout en restant fermement ancré dans ses positions et en « repoussant » le maximum d’adversaire. En somme pour la jeune fille cet entraînement ressemblait plus à un jeu. Mais Atana devait s’avouer que prendre les chose comme à la légère était certes dangereux et surtout penser que ce jeu où on avait droit qu’à une seul chance la rendait moins nerveuse et moins distraite. Car trop de pression tue la pression que se soit de façon direct ou indirect…

Atana rit légèrement à la remarque du jeune homme. Un sourire ironique apparut sur ses lèvres *Tu crois pas si bien dire !* Elle vit les boules de feu arriver vers elle et de tout part. au lieu de l’affoler son sourire changea et devint plus… franc et carnassier. *Le feu ? Mais quel bon choix, mon élément ! * Elle regarda furtivement chaque boule de feu et constata bien vite qu’elle était encerclée. Elle leva un sourcil et choisir la facilité pas la peine d’en mettre plein la vue si elle allait se retrouver au service des grands brûlés de St Mangouste ! Elle transplanna donc tout simplement. Elle réapparut juste derrière Jaren et visa le sol en plantant sa baguette dedans. Elle murmura une formule et la terre se mit à gronder. Soudain une crevasse apparut et fonça droit sur le jeune homme. Elle le visa ensuite et lui lança un simple sort de jet non pas d’eau mais d’acide. Ce qui pouvait faire d’autant plus mal ! Atana courut se mettre derrière les tables pour permettre d’avoir un minimum de protection entre elle et Jaren bien que celles-ci pouvaient devenir un moyen d’attaque pour le jeune homme mais n’allons pas lui donner des idées qu’il n’aurai pas ou déjà … Elle campa sur ses positions tout en fixant Jaren.

[HJ : désolée pour les fautes, pas le temps de passé su Word, j'édite demain pour corriger, c'est pour que tu puisses avancé dans tes idées. Bisous =)]

C'était donc Peyton Sawyer que Clicli allait affronté. Un rude combat elle en était persuader. De plus, pour arranger les choses, la poupée était à protéger... Une difficulté supplémentaire pour les deux jeunes filles qui ne pouvaient pas tout faire exploser. Il fallait, avant tout pour Peyton, préserver la victime, même si elle n'en donnait pas vraiment envie. Elle criait, elle hurlait à en tuer les tympans de n'importe qui. "Ne me tuez pas" et "protégez moi" ou encore "au secours !" à tout bout de champ. Un petit assurdito aurait été pas mal, mais le problème n'était pas vraiment là. Ayant déjà riposté au premier sort lancé par la jeune préfète, la jeune banquière regarda comment elle pouvait se débrouiller de manière à éviter chacun de sortilège. Un seul faux pas elle n'importe qu'elle personne pouvait se trouver soit dans la cellule des mangemort, ou dans le cas contraire dans celle de l'Ordre ou des Aurors. D'un geste rapide, son adversaire mit entre elles le canapé particulièrement... moche. Une tactique plutôt intéressante quoi-qu'un peu dangereuse, Clicli avait un plan mais pour l'instant elle pouvait pas vraiment l'exécuter.

Laissant dépassé qu'une partie de son visage, Peyton avait pointé sa baguette vers la Gryffondor qui se prépara à se protéger. La baguette bien levé devant elle, elle remarqua qu'un fouet arrivait tout droit sur elle. Essayant à tout pris de ce sauver de cette situation, le premier réflexe que la jeune fille trouva fut de faire un bon en arrière qui la sauva vue que l'immense fouet claqua juste devant ces pieds, à un mètre à peine. A nouveau, un claquement se fit entendre et une roulade lui permit de ne pas se le prendre en figure. Mais, dans la précipitation, la roulade effectué n'était pas vraiment parfaite, son pied qui partait légèrement sur la gauche fut touché. Le fouet la toucha si violemment que Clicli ne put s'empêcher de crier. Sans le vouloir, son cri était ce qu'il y avait de plus aigüe, de plus strident... La poupée se tue l'air à moitié étonné. Rapidement elle regarda sa cheville souffrante d'un rouge écarlate on voyait des perles de sang qui coulait le long de sa chaussure.

Clicli ne connaissait pas la réaction de Peyton face à tout ces cris, si jamais la jeune adversaire avait un brin de pitié et qu'elle se relevait pour voir si tout ce passait bien, c'était fini... Elle ne devait pas avoir honte de la toucher. C'était son but et elle le réussie. La banquière laissa passer une seconde, puis deux et trois. Laissant le silence régner vue que la poupée avait fermer son clapet. D'un pas lent et essayant de ne pas s'appuyer sur sa cheville souffrante, Clicli recula le plus possible jusqu'à ce trouver coller au mur. De la elle informula *Systam Mefet*. Elle avait pointé sa baguette tout droit sur le canapé, le sortilège ayant pour but de faire exploser cette obstacle. D'un geste rapide et vif, Clicli se cacha derrière un fauteuil qui pourrait la protéger des débris. Cette fois d'une voix clair, elle fit apparaitre de l'eau pour apaiser la douleur insupportable qu'elle avait à la cheville grâce à un aguamenti.

Le Poufssoufle était à demi accroupi, le visage vers le ciel et le nuage blanchâtre, avançant attentivement dans la pièce en se concentrant sur son ouïe. Après un vague coup d'oeil sur l'ensemble de la pièce il se rendit rapidement compte que la victime ne se trouverait certainement pas à l'étage. Ou alors cachée dans un placard ou sous un quelconque meuble qui reposait là. La mezzanine aurait tout aussi bien put s'appeler grenier, ou même foutoir; ce qui aurait été bien plus proche de la vérité. Des lampes, canapés, commode, miroir, lustres, horloge et tout un tas de on ne savait trop quoi s'entassait en désordre et à travers sur le sol de la mezzanine. * Autant chercher un fil dans un plat de spaghettis * songea Cronos. Il fit un lent tour de la pièce, éclairé par la lumière de sa baguette en songeant qu'il ne devait rien avoir d'autre ici que du bord... bazar. En dessous de lui il entendit les bruits d'un affrontement, probablement Peyton... et de meubles qui se déplaçaient. Peut être faisaient-ils un peu de rangement en dessous ?

Il fit lentement demi tour vers les escaliers, pensant qu'il n'aurait rien d'autre à faire à l'étage et qu'il pourrait peut être aider en bas... en omettant intelligemment la présence qu'il avait crut entrevoir sur le toit... Il releva la tête immédiatement vers le plafond lorsque des étincelles rouges vinrent mourir, s'échouant sur la nappe de brouillard. Il se redressa aussi bien qu'un balai et pointa en une fraction de demi millième de seconde (si si ) sa baguette vers le toit; les sens alertés et aux aguets. Il eut tout juste le temps de voir une ombre se déplacée avant d'entendre une formule qui lui échappa totalement lorsqu'il vit un vieux canapé se soulevé du sol pour aller se plaquer contre la trappe. * Ingénieux, comme ça on aime jouer * pensa Cronos. Il se déplaça latéralement dans la pièce, toujours en visant le plafond, cherchant désespérément une trace ou un bruit de son adversaire. Le vieux canapé défoncé bloquer la trappe, pour le moment du moins... mais il devait pouvoir réussi à intercepter les sons des déplacements de son entraîneur.

A force de lever les yeux et de se déplacer bêtement, il finit par glisser sur le câble d'une lampe de chevet, ce qui l'entraîna dans une chute contre une vieille commode qui l'accueillit brutalement. Mer**, put*** de ** ****, sal****** de lampe de *****. Il se releva en s'époussetant, peu fière de montrer ses talents de boulet. La mine renfrogné et sans réfléchir, il pointa sa baguette sur le canapé qui vidait ses entrailles. Bombarda ! Des morceaux de bois et de mousse volèrent en tous sens, diffusant sa centenaire poussière dans la pièce. La trappe avait elle aussi été anéantie par son sort, et un trou béant offrait maintenant un accès au toit derrière le brouillard qui diffusait maintenant la lumière extérieur.. Désolé pour l'originalité... Il s'approcha de l'ouverture précautionneusement, il ne pouvait pas vraiment distinguer qui l'attendait sur le toit, mais il était évident qu'il était attendu. Il se lança un Protego ( dsl je sais pas si il reste comme le maxima, tant qu'il est pas touché... ) et monta hâtivement sur le toit de l'édifice. Il se hissa à la force des bras et se mit à grelotter une fois en haut. Put** ça caille. Sur sa gauche s'étendait le rebord, la petite forêt, le pigeonnier, les hautes herbes, les oiseaux, les nuages et tout le toutim... à droite et en face le brouillard encore présent dissimulé les bords de la maison. Il eut l'impression de voir une silhouette dessinée devant lui et lança une vague d'un vent puissant avec sa baguette, qui renverserait ce qui se trouvait sur son passage...

[HJ: désolé pour l'attente, mais le plaisir d'écrire n'est pas vraiment là en ce moment. Encore plus désolé pour la fin bidon, surtout si le protégo marche pas puisque ca veut dire que tu me laisse monter tranquillou... Bref, je me ratrapperai. Poutouxxx all]

[Atana> tu m'as promit que ton prochain post serait mieux, n'oublie pas (a)]


Jaren cligna des yeux pendant une seconde, en contemplant sans un mot l'endroit où se trouvait Atana un instant plus tôt. Heureusement, le plop sonore que fit son adversaire en réapparaissant lui permit de deviner sa position approximative : en pleins dans son dos. Il se retourna d'un bloc, baguette brandit et les mains un peu moîtes, juste à temps pour visualiser une Atana accroupit, la baguette plantée dans le sol.
Jaren fronça les sourcils (au demeurant magnifiques ^^), se demandant vaguement si c'était une façon de rendre les armes et d'abandonner le combat.

Moins d'une seconde plus tard, il sut que ce n'était pas le cas, car une méchante faille (heureusement, pas très profonde ... enfin, pas assez pour craindre de se fendre le crâne) se dirigeait vers lui à toute allure. Avant que la faille n'atteigne sa position, Atana lui envoya un second sort qui prit l'apparence d'un jet de liquide.
Incapable de deviner la nature du liquide, et un peu pressé par le temps, Jaren décida (en moins de deux secondes) d'emprunter à Atana sa propre méthode d'esquive. Un "PLOP" plus tard, Jaren se retrouva sur le toit de la maison, et il put constater de visu que le liquide rongeait le sol.

*De l'acide ... carrément !* Pensa t'il tout en suivant du regard Atana qui partait se cacher derrière l'un des bancs.

De là où il était, son angle de tir lui permettait de ne pas être trop géné par le banc, qui est par ailleurs fort laid, donc destructible sans aucun remord. Il commença par lancer un dôme d'anti-transplanage sur la zone autour d'Atana. Puis, pointant sa baguette sur l'herbe autour d'Atana, Jaren psalmodia tout bas une vieille formule irlandaise.
Il n'y eut ni éclair, ni détonation, et pendant quelques seconde rien ne se produisit. Puis, soudain, plusieurs ronces jaillirent du sol autour d'Atana de façon à s'enrouler autour d'elle et à l'immobiliser (en plus de l'amocher salement avec leurs épines).

Tout en suivant d'un oeil l'évolution de la situation, Jaren se gratta le ventre en songeant qu'il lui faudrait se remettre un peu plus au sport, il s'était un peu laissé allé depuis deux semaines.

[Je sais, on s'en fout de ce détail ... m'en fiche xD]

Atana qui regardait comment s’en sortait Jaren le vit transplanner pour échapper à ses deux sorts. La jeune fille eut un rictus et pensa *Sans personnalité !* (a) Toutefois elle eut, l’espace d’un instant, une vague d’adrénaline et chaque de ses perceptions décuplées au maximum, elle regardait autour d’elle où pouvait bien réapparaître le jeune homme, il pouvait très bien se cacher, ou se placer dans un endroit bien mieux à l’abris que le banc miteux derrière lequel se trouvait la jeune fille. Heureusement pour elle le pop caractéristique attira son attention et c’est levé la tête qu’elle dut faire pour apercevoir Jaren. Elle leva les yeux et pensa que décidemment le jeune homme lui piquait toutes ses bonnes idées…( :p)

Elle n’entendit, ni ne vit le dôme anti transplannage se former autour d’elle, elle sentit juste de grosses racines sortir du sol pour lui attraper ses chevilles et lui arracher la peau au passage. Atana donna un coup de pied pour se défaire mais ne réussit qu’à resserrer l’étreinte autour des ses chevilles. Elle se mordit la lèvre et foudroya du regard Jaren après avoir tenté de transplanner. *Bien sur ! Ca serait bien trop facile…* Et puis c’était bien sur plus amusant de faire les ronces s’enrouler autour d’elle carrément. Après tout justes les chevilles ça ne rendait pas grand-chose… Elle dirigea donc sa baguette vers les racines et utilisa un sortilège de découpe en visant avec précision les racines. Elle n’avait pas envie de se retrouver cul-de-jatte à seulement 19 ans ! Une racine s’enroula autour de son poignet heureusement protéger par l’étui de sa baguette en cuir. Elle pointa donc de sa main libre et mobile sur le bas de la racine après plusieurs tentatives elle se dégagea enfin et sauta par-dessus le banc pour se trouver hors de porter des gentilles petites brindilles d’herbes bien agaçante !

Elle leva sa main en direction de Jaren sans avoir réellement à l’esprit le sort qu’elle voulait jeter, mais lorsqu’elle le vit sur le toit elle imagina de suite la belle chute qu’il aurait pu faire. Elle s’écria donc :

Expulso !

En visant tout une arrête du toit. Si son plan fonctionnait c’était tout un pan de mur qui devait s’écrouler ou tout du moins tout une partit du toit, elle avait tout de même éviter de viser Jaren, non pas qu’elle ne se plairait pas avec tout plein de morceau de l’illustre Jaren autour d’elle mais l’habitait tout de même une once de pitié pour ce retraité ( :p). Et puis on ne pouvait pas ignorer les charmes indéniables du jeune homme. (^^) Aussi décida-t-elle de rester perchée sur son banc attendant ou plutôt espérant la chute magistrale de son adversaire…

[HJ: Na mais t'inquiète tout ça c'est pour mieux te faire des Poutoux après :p]

Atana fit la moue lorsqu'elle vit Jaren sauter du toit et s'en sortir sans même un petit bleu. Toujours perchée sur son banc elle regardait néanmoins la tactique du jeune homme pour s'en sortir. Un sort de lévitation jeté sur sa personne et un atterrissage plus ou moins brusque sur le sol. Hum, en tout cas il s'en sortait très bien, on ne peut pas en dire autant pour la maison... Atana jeta un regard sur la partit du toit qu'elle avait, mais alors, très légèrement abîmé... Bon c'est vrai il n'en restait pas grand chose debout mais il y avait encore tout un pan de toit sur la droite, et l'été ça permettait une jolie ouverture sur le ciel. Quoique la jeune fille ne regrettait pas de détruire une maison comme ça ! Encore si le crépis était sympa à regarder mais même pas... Enfin bref.

A force de regarder la maison Atana cru avoir une hallucination, elle éccarquilla les yeux en voyant une multitude de débris voler dans sa direction. Elle sauta du banc pour avoir des appuis plus stable dans le sol. Il croyait qu'elle allait fuir ? Oh non la jeune fille n'était pas comme ça (et puis faut dire elle avait pas le temps... ><) Quoiqu'il en soit elle leva sa baguette et prit le plus gros bloc qui se trouvait sur la droite et l'utilisa pour dévier tous les autres de sa trajectoire. Le poids des morceaux ne l'aidaient pas mais elle réussit à tous les dévier de sa trajectoire, ils s'écrasèrent dans un amas de poussière et de bruit à quelques mètres du banc. Elle se prit juste un pierre sur le front. Elle a vu pire, elle aurait quoi? Un gros bleu demain?

La jeune fille était en sueur trop d'effort, tue l'effort ou la personne à vous de voir... Mais au faite!? Atana se tourna brusquement vers le maison et Peyton et Cronos? * Oops... La prochaine je détruit la maison que si je sais qu'il ne sont plus dedans...* Un sursaut d'inquiétude l'a prit mais qu'elle effaça rapidement pour ne pas se déconcentrer de son combat. Elle courut derrière le bloc et murmura un enchantements. Elle ferma les yeux et lorsqu'elle les rouvrit une autre Atana se trouvait à côté d'elle *Mon dieu... ce pantalon ne me va vraiment pas! Faites confiance au miroir il vous le rendront...* Elle se reconcentra une nouvelle fois tout en fermant les yeux pendant que la fausse Atana se relevait. Elle sortit d'un côté des blocs sachant que si un sortilège la touchait il ne lui ferait en aucun du mal. Mais en contre partit elle ne pourrait pas envoyer de sort.

Alors McGrégor tu attaques?

La jeune fille eut une idée, Elle fit courir son image jusqu'à la maison et la fit sauter derrière le reste des gravats. Atana espèrait que jaren est suivit du regard la fausse Atana. Tandis que le vrai [OUlà c'est bon tu suis >< :p] reprenait ses esprit en dématérialisant la fausse Atana. Elle se leva d'un bond et pointa sa baguette sur Jaren:

Electrocorpus !

[Désolée du retard et du RP, Poutoux =)]

Tout avait marché, le canapé avait littéralement explosé dans la pièce, tout à présent était recouvert d’une fine couche de poussière qui donnait à l’endroit une apparence assez lugubre. On se serai presque cru dans un film en noir et blanc. La cheville de Clicli lui faisait toujours aussi mal, la brûlure était à présent bel et bien visible. Elle bénirait le moindre soin à l’instant même. Suite à tout ce remue ménage, la poupée c’était remise à crier de plus belle. Et trop affligé par la douleur la jeune banquière ne regardait le combat que d’un œil. Et ce fut fatal, en effet elle n’eut pas le temps de concentrer le sort que venait de lancer son adversaire. « Terrorim » était l’un des sorts qu’elle détestait le plus et déjà il faisait effet. Tout devient noir en l’espace d’un instant, tout était différent, l’endroit où elle se trouvait à présent était totalement différent. Il n’y avait rien. De la solitude et de l’angoisse dans une pièce qui n’en terminait pas. Il lui était impossible de décrire à l’instant même ce que la jeune fille pouvait ressentir. Par un miracle quelconque elle réussit à sortir de ce cauchemar éveiller (désolée je détail pas, question de moral -_-). Elle rouvrit les yeux et remarqua que la salle n’avait pas changé depuis son « départ » dans le monde affreux.

Il y manquait deux choses pourtant : Peyton et la poupée. Réalisant assez rapidement le problème qu’elle avait, Clicli fit voler la porte qui menait au jardin à l’aide d’un super coup de pied à-la-méga-puissance-comme-dans-les-films. Tournant la tête rapidement pour trouver son adversaire elle remarqua la silhouette de la Serdaigle qui venait de tourner derrière un arbre. Il ne fallait pas attendre. La jeune fille se mit à courir rapidement de manière à rattraper la jeune Serdaigle, si elle échouait dans la mission que lui avait confié Mione, c’était fichu. Tournant après chaque arbre pour voir si miss Sawyer se trouvait là, Clicli avait presque l’impression de perdre la tête. On aurait dit que l’attitude d’un mangemort était entrée en elle. Une idée quelle chassa rapidement car elle savait qu’elle était destinée à combattre pour le bien. Arrivé devant un arbre particulièrement… banal, elle vit son adversaire qui regardait autour d’elle. Pour la première fois depuis le combat, la banquière pris la parole :

« Hé bien, j’avoue que tu as fait un bon jeu, mais je ne t’ai encore rien montrée. Soit sur tes gardes, j’ai encore plein de ressources ! »

Sur ces mots, elle empoigna rapidement sa baguette pour la tenir devant elle et ne tarda pas à prononcer les sortilèges utiles à son nouveau plan :

« Confusio ! Everte Statis ! »

Peyton pouvait très bien se dépêtré de ces deux sorts sans problème, quoi que… on était jamais à l’abris d’une faiblesse ou d’un manque de concentration qui lui était arrivé pas plus tard qu’il y a deux minutes. Avoir l’esprit confus ou se trouvé aplatit comme une masse par terre n’était jamais vraiment très pratique. Sa passion pour les sortilèges informulés l’aidait beaucoup dans les combats *Incarcerem*. Peut-être que Clicli pouvait mettre fin à se combat et reprendre la … poupée.

[Essaye juste d'être un peu plus clair dans la description de tes actions, par moment j'ai eu du mal à comprendre ce que tu faisait. Mais sinon, c'est plutôt bien pour le moment.]

Jaren regarda comment Atana manipulait un bloc de pierre pour dévier ceux lancer par l'ancien chef de l'Ordre. Bon, ça manquait peut-être un peu de finesse, mais le principal étant plutôt l'efficacité de la technique, Jaren attribua mentalement un bon point à la jeune femme. Lorsque celle-ci alla se planquer derrière le bloc de pierre, Jaren profita du répit pour ériger un Protégo Maxima autour de lui-même, histoire d'être paré à toute éventualité, puis il attendit patiemment, baguette levée. Tandis qu'il restait immobile, Jaren nota que l'air avait fraichit en même temps que le vent s'était levé. Partout, de nombreuses feuillles (de toutes les couleurs, allant du rouge soutenu au vert foncé, en passant par l'orange vif) se mettaient à virevolter dans tous les sens, donnant à la scéne une atmosphére féerique et quelque peu décalé : tant de beauté alors que des individus se balançaient (certe amicalement) des blocs de roche à la tronche, ça ne manquait pas de laisser une empreinte émotionelle sur Jaren.

-Alors McGrégor tu attaques?
-Pourquoi ? T'es pressé de perdre ? Répondit sarcastiquement le jeune homme.

Tandis qu'une partie de son esprit étudiait encore, sans trop y penser, le décor, la partie "consciente" de son être nota soudainement un mouvement. Rivant les yeux sur ce qui semblait être à l'origine de ce mouvement, Jaren reconnu la silhouette d'Atana courant à toute vitesse vers la maison. Sur le moment, Jaren ne nota pas le léger miroitement et le flou étrange qui entourait la jeune femme, et il pointa sa baguette sur elle pour lancer un Stupéfix. Le trait rouge fusa de sa baguette et fila dans les airs en direction de sa cible ... qu'il traversa purement et simplement, ce qui eu pour simple effet de faire disparaitre la silhouette.

*Hein ?*
-Electrocorpus !

Avant que Jaren ne puisse comprendre ce qui s'était passé, il ressentit un choc dans le dos et ses pieds quittérent violemment le sol. Ses jambes passérent par-dessus sa tête tandis que son corps effectuait un magnifique vol plané pour ensuite atterir lourdemment dans l'herbe. L'atterissage fut rude, et Jaren grogna involontairement sous l'impact ... mais des années d'entrainement lui avait permit d'acquérir un certain instinct de survie, et il roula sur lui-même afin de diminuer un peu le choc, et il profita du mouvement pour se remettre tant bien que mal en station verticale, un genoux toujours dans l'herbe. Malgrés le choc qui lui faisait encore un peu tourner la tête, il parvint à sourire et à lancer à l'intention d'Atana :

-Pas mal, pas mal ... dommage pour toi, j'avais souscrit à une petite assurance vie. Maintenant, à moi de rigoler un peu.

Levant sa baguette, il fit un large cercle devant lui en psalmodiant une formule plutôt longue, qui se finit exactement au même moment où sa baguette finissait de décrire le cercle. Durant une seconde, rien ne se passa, puis un bruit ressemblant à un claquement de fouet se fit entendre très distinctement, puis soudainement une onde de choc très puissante, ayant pour origine Jaren, se propagea dans tous les sens, réduisant en lambeau tout ce qu'elle touchait : les bancs se retrouvérent en copeaux, les blocs de pierres explosérent en une multitude de petites pierres, etc .....

Bien entendu, la vie d'Atana n'était pas en jeu : Jaren avait calculé la puissance de son coup en prennant en compte la distance qui le séparait d'Atana. Si l'onde de choc l'atteignait, elle serait coupé de partout et aurait besoin d'un détour par la salle de soin, mais sa vie ne serait pas en danger.

Les oiseaux ne mirent pas beaucoup de temps à revenir... C'était bon signe! Signe que Clicli n'était pas allée bien loin. Ils étaient allées dans toutes les directions mais un petit groupe était revenu pour lui annoncé qu'elle était retournée dans la maison. Revenant sur ses pas, elle retraversa la forêt d'un pas rapide, sans pour autant courir, afin de ne pas se fatiguer plus qu'elle ne l'était, le combat n'étant pas encore terminé. Personne n'était dans la salle poussiéreuse, Peyton continua donc son chemin, asseyant de ne pas s'étouffer avec toute la fumée qui était encore présente. Traversant la pièce, elle retourna dans le hall, les oiseaux toujours autour d'elle et lui indiquant l'endroit où la banquière était.

Arrivée près de la salle à manger, la jeune fille réfléchit à comment entrer discrètement. Même si elle se doutait que Clicli savait qu'elle la retrouverait, encore une fois, elle voulait jouer avec l'élément de surprise. Utilisant le sortilège de désillusion, elle rentra alors dans la pièce. Dans un coin, elle vit la poupée, ligotée, bâillonnée, contre une commode. Elle ne pouvait se permettre de la libérer maintenant, elle devait d'abord s'occuper de son adversaire. Elle devait surement être cachée sous la nappe de la table, ou derrière le canapé... Peyton ne devait pas trop bouger, son sortilège avait ses limites. Restant dans le coin de la salle où elle se trouvait, relativement près de la porte d'entrée, elle pointa sa baguette sur le canapé et utilisa un sortilège qu'elle ne formula pas. "Evanesco". Si Clicli était derrière, elle ne serait plus protégée par le meuble... Si elle n'était pas derrière, elle saurait que Peyton était là, même si elle ne pourrait pas la voir.

En attendant que le canapé disparaisse, elle pointa sa baguette sur la table et, toujours en informulé, utilisa le sortilège de lévitation pour la déplacer, juste devant la porte, bouchant alors l'issue et remarquant que personne n'était dessous... Restant à sa place, elle essaya de se colla contre le mur, dans l'angle afin que la banquière ne puisse pas la voir... L'effet Caméléon était bien pratique! Peyton en profita pour repprendre son souffle.. Elle n'avait pas fait de pause depuis qu'elle avait quitté la forêt, si bien que sa respiration, qu'elle essayait de tenir discrète, n'était pas terrible... Les entraînements ne se jouaient pas seulement sur le maniement de la baguette, mais aussi sur la capacité physique! Heureusement que Peyton avait l'habitude de faire du sport...

Mione, qui maintenait toujours le canapé de façon à ce qu'il bloque l'unique accès au toit, entendit une succession de bruits assez bizarres provenant de l'étage inférieur. Il faudrait qu'elle discute avec Cronos autour du thème « discrétion pendant un combat ». Quelques secondes plus tard le lien magique fut rompu quand des bouts de mousse, de bois et de l'immonde plaid qui recouvrait feu le canapé furent projetés en tous sens. *Au moins ça a le mérite d'être...radical comme solution.* songea Mione, qui s'attendait un peu à ce genre de réaction de la part de sa jeune recrue. Il fallait quelques fois oublier l'originalité pour privilégier l'efficacité et c'était visiblement ce qu'il avait choisit de faire. Une silhouette fine se hissa à travers le trou béant, mais le brouillard ne permettait pas de distinguer clairement ses traits. La jeune chef était en position, les genoux pliés, prête à parer à toute attaque...ou presque. Un vent puissant sortit de la baguette de son adversaire, la prenant légèrement au dépourvu. Elle avait horreur de ces sortilèges météorologiques... Deux solutions s'offraient à elle : fuir ou tenter quelque chose d'assez hasardeux...Elle prit la deuxième option et prononça un « Diminuendo maxima » en visant le coeur de la bourrasque. Le sort fonctionnait sur des objets solides, mais qu'en était-il des choses immatérielles comme le vent ? Le jet de lumière se perdit dans le néant, perçant tout de même un tunnel où la bourrasque ne ressemblait qu'à une légère brise. Sans réfléchir d'avantage, Mione s'allongea sur le sol, diminuant l'emprise du vent, juste à l'endroit où la puissance du sort était diminuée. Elle se sentit reculer légèrement lorsque la vague passa sur elle, puis l'effet s'estompa. Quand elle se releva, le brouillard était partit lui aussi, et pour la première fois depuis le début du combat elle fit réellement face à son adversaire.

- Travaille ta discrétion et ton originalité Cronos..., dit-elle en guise de préambule. Sa voix n'était pas dure ou cassante, elle voulait qu'il entende ses remarques comme des conseils. J'espère que tu as compris qu'elle était une des difficultés majeures dans un combat ? Elle parlait du fait de ne pas avoir de contact visuel sur son adversaire, mais ne lui laissant pas le temps de répondre, elle enchaina mentalement par un *Bloclang * et ajouta distinctement : Rictusempra ! Le sourire qu'elle arborait parfois en combat refit apparition sur ses lèvres. Elle avait hâte de voir comment le jeune homme allait répliquer, mais profita du peu de temps qui lui était imparti pour réfléchir à la suite des évènements...

[HJ : Encore navrée du retard et merci pour ta patience]