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La Finlande
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Re: La Finlande
Invité, le  Dim 21 Aoû - 21:51

[Rp Unique]

- Nan, laissez-moi, laissez...

- Comment va t-il Docteur ? Dit un grand homme aux yeux d'un bleu saphir et des mirettes dévoilant un éclat encore plus clair que les eaux glacées de la contrée Finnoise.

Le ton haletant du docteur et quelque peu soupe au lait et la courbure de son échine s'impose peu à peu dans une salle semi-éclairée, il lève les yeux et adresse quelques mots maladroits au grand homme. Il se racle la gorge.

- J'ai... bien peur... Humph qu'il ne trépasse bientôt dans l'autre monde, Mr Flint.
- Faîtes tout en votre pouvoir pour que Mr Queen reste dans notre monde et pas l'autre...Imposante silhouette qui ne laisse transparaître aucune émotion, un visage de marbre et l'atmosphère devient pesante, comme si l'air était chargé d'une Aura maléfique. Maléfique ? Vraiment ?

Le vieux Doc regarde la pièce, une légère buée masque sa vue, il enlève ses lunettes et essuie d'un revers de la main, encore tremblotante, sûrement à cause de la carrure qu'il a en face... Sûrement... Il remarque le même lit, la même commode, le même bureau et la même cheminée où il se dirige pour déposer une bûche sur le feu.

- Quand est-ce qu'il se réveillera Docteur ?
Peut-être dans trois semaines, Humph peut-être dans 2 ans, peut-être 9 ans...

Trop de peut-être, peu de certitudes,




J'ère dans un chemin tortueux et je ne perçois plus la ténèbre qui m'a engloutit y'a si peu, je suis redescendu des limbes, mais ce n'est ni l'enfer, ni le paradis. Laissez-moi, laissez-moi ! Où ? Qui ? Quand ?

Le temps se tait quand les indécis chahutent,
Le chaos règne quand l'équilibre est rompu,
La prophétie des astres runiques, Elhaz.
Elhaz.
Hélas.
Jean Parker
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Re: La Finlande
Jean Parker, le  Lun 2 Jan - 21:37

Privé ft. Jana


Helsinki. P*tin. Pour un premier rendez vous on a vu plus facile quand même...
Six heures trente de voyage en avion, un froid polaire, et une météo plutôt capricieuse.
Jean avait été plus que surpris de voir que Jana avait accepté et avait également eu envie qu'ils se fixent un rendez vous. Et d'autant plus quand il vit qu'il devait se rendre en Finlande pour leur rendez vous. C'est original un tel rendez vous pour le coup. Il fallait avoir le réflexe de se rendre la bas en moins d'une semaine pour que le rendez vous ait lieu. En plus il y avait sans doute moyen que ce soit une bonne grosse blague, et que Jean attende pendant deux heures dans le froid pour aller la bas avant de se rendre compte que cela n'en valait pas la peine et de rentrer. Pourquoi faisait tout ça ? Qu'est ce que cette fille avait de plus ? Pourquoi était il prêt à faire quatre milles kilomètres sans vraiment hésiter si cela était une bonne idée ou non ? Un mélange de tête cramée et d'envie d'aventures. Voyager à travers le monde était un truc que le sang-pur avait toujours voulu faire. Dans tous les cas, ce serait l'occasion de voir un peu la Finlande. Peut être serait il temps de voyager un peu à travers la planète ? Tant de coins sois disant sympa à voir.

Le jeune homme quitta tôt son manoir la veille du jour du rendez vous. Avec une semaine d'avance, cela aurait permit de s'organiser un petit périple sur un coup de tête, c'était sans compter sur une immense flemme et une maîtrise de la procrastination. Il avait quand même acheté un billet d'avion, car bon monde sorcier toussa toussa mais quand on est pas organisé c'est compliqué la vie. Il fallut donc se lever trèèèès tôt pour ne pas rater ce moyen de transport moldu, histoire de ne pas se retrouver comme un c*n à l'aéroport en ayant raté l'avion. Cela ferait louper un potentiel rendez vous, donc pas question d'être un lève tard aujourd'hui.

Si on oublie l'attente dans l'aéroport, les contrôles incessants, les 10 minutes de justifications pour justifier qu'on a un bout de bois dans la poche, et l'ennui, en soit un vol en avion ce n'est pas désagréable. On peu profiter du paysage aérien, de la mer de nuages à perte de vue, sans les désagréments d'un vol en balais. Les moldus avaient beau être pitoyables sur certains points, leur technologie rendait bien service des fois. Le sang-pur perdit son regard dans l'immensité nuageuse, qui baignait dans le ciel bleu. C'était un spectacle assez magique pour le coup, bien que au bout de quelques heures, le jeune homme avait envie d'avoir à nouveau les pieds sur terre. Le temps d'attente à Londres, le temps de vol et le temps pour les bagages, tout ce temps était bien trop long.

La libération en pleine capitale de la Finlande se fit en fin d'après midi, et le temps de trouver un hôtel, de se faire comprendre et se repérer sur une carte pour savoir retourner à celui-ci, la nuit était tombée. Ne sachant pas trop quoi faire tout seul dans la capitale de la Finlande, le jeune homme pensa qu'il aurait pu être sympa de visiter un peu, avant de réaliser qu'il y avait également des bars en Finlande. Pourquoi faire autant de kilomètres pour un probable rencard et se retrouver dans un bar ? Sans doute l'envie d'aventure qui devenait trop importante. Au moins sil serait potentiellement à l'heure pour le rendez vous c'était déjà ça. En plus l'alcool était loin d'être mauvais ici. Il fallut donc enchaîner les verres pour être dans l'état tant désiré, avant de rentrer déchiré à l’hôtel. Cela pourrait jouer des tours du rendez vous de demain quand même. Mais bon une bonne douche, un réveil et une cigarette, avec cette association, tout passe.

DRIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIING.

Bon c'était le jour JJ. C'était aujourd'hui qu'on allait voir si venir en Finlande était une bonne idée ou pas. Jean se leva peu après que le vacarme provoqué par le réveil ne le sorte de sa torpeur. Le temps de prendre une douche, une clope et de se préparer, ce fut quasiment l'heure du rendez vous devant la cathédrale. Habillé de manière correcte, mi classe mi normal, Jean se posa sur un banc pour attendre patiemment la jeune femme. Il stressait un peu quand même, espérant ne pas être venu ici pour rien. Mais bon pas de pensées négatives, cela allait le faire.


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Re: La Finlande
Mangemort 08, le  Jeu 9 Mar - 17:55




Attirance Ténébreuse.
With Alhena


LA mutuel.

Soirée étrange pour une ombre qui en suivait une autre. La nuit était glaciale. Le pays le voulait d'ailleurs, parsemé de neige et de glace. Les mille lacs. Étendues d'eau pour la majeure partie cristallisées en cette période de l'année. Le ciel lui, avait eu la clémence des nuages, partis embêter un autre endroit du monde, si bien que les étoiles et le quartier de lune présent pouvaient exhiber leur beauté fièrement, sans être censurés.

Je ne savais pourquoi. Cette soirée, qui avait débuté à Hollow Bastion, s'était transformée ainsi. Peut-être y pensais-je trop ? Nos rencontres étaient espacées, et bien qu'on était pas encore très proche, le temps amorçait doucement un rapprochement. Des sourires plus nombreux, des regards plus parlants, des gestes plus tendres et sincères, nous composaient.

Du coup, j'avais discuté avec un scotch alors que le crépuscule n'était pas encore présent. Mes souvenirs sans allant vers elle et nos enfants. Je me souvenais qu'elle avait prévu d'aller se ressourcer en Finlande, dans un petit coin qu'elle connaissait dont elle m'avait parlé. J'y étais allé furtivement un week-end, comme pour m'imprégner de l'aura du lieu.

Alors, plutôt que de me battre avec mes pensées et une bouteille que j'aurais vaincue aisément, légèrement alcoolisé, j'avais décidé d'aller en Finlande. Je ressentais le besoin de la voir. Vêtu de ma longue cape et de mon masque couleur émeraude, j'avais rejoins ces contrées froides.

J'avançais lentement dans une neige craquante sous mes pas. Les arbres que je distinguais partiellement grâce à la lumière du ciel étaient tous couvert d'une couche laineuse. Je me trouvais dans une petite région forestière qui abritait quelques cabanes de bois au confort chaleureux, dans une réserve ou de nombreux lacs faisaient la joie des pêcheurs l'été, ou des promeneurs quand les arbres se paraient de leurs plus beaux atours.

Mais là, la région était en partie déserte, livrée à la faune locale et à l'écoulement d'un hiver rugueux. Je passais comme une ombre près de la maisonnette de bois, aucune lumière ne vivait à l'intérieur. Elle était sortie. Je me demandais alors si j'avais bien fait de m'aventurer là, et puis comment réagirait-elle en me voyant ? Mais cette question s'enfuit de mon esprit alors que je distinguais des empreintes qui s'échappaient depuis l'entrée entre des arbres plus regroupés.

Je décidais de suivre ce sentier qui semblait éclairé bien en contrebas. Comme si un bosquet m'attendait et que toute la lumière du ciel permettait d'en voir l'orée. Je gardais ma baguette dans ma main droite sous ma manche, toujours prudent. J'étais presque sûr d'être au bon endroit, mais pour autant je n'étais pas à l'abri de tomber sur un moldu qui me jugerait certainement étrangement par mon accoutrement.

Quand j'arrivais en bas de la légère pente, je restais un instant au couvert des derniers arbres, m'appuyant sur l'écorce froide d'un qui devait être centenaire. Elle était là. Alhena. Beauté de ma vie. Sur un lac gelé, le parcourant patins aux pieds, sous un ciel vêtu en scintillements. Ses longs cheveux bruns dansaient derrière ses mouvements élégants et je restais quelques longues secondes à la contempler ainsi. Souriant sous mon masque de ténèbres.

Maintenant que j'étais là, je n'avais plus envie de m'en éloigner. Elle ne savait pas ma double vie, pourtant je mourrais d'envie de lui dire, qu'elle sache tout de moi, pour qu'elle s'aperçoive qu'elle pouvait me faire confiance. Mais pour autant, nous n'avions jamais confronté nos idéaux. Encore trop de mystères se trouvaient entre nous. Alors je fis un pas dans la neige, sortant de mon couvert. Puis un autre, jusqu'à arriver au bord du lac. Là, je m'assis dans la poudreuse, et je continuais de la regarder, libre comme une colombe que le ciel aurait prit pour épouse.
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Re: La Finlande
Alhena Peverell, le  Jeu 16 Mar - 14:49

RP 08
Musique

Gypsy Danse

Il y a une âme qui sautille, à travers des vagues d'amertumes.
Elle s'amuse avec l'homme, avec l'humain. Elle s'emmure dans le mensonge, le déni. Mais elle continue de tourner, encore et encore. Elle le fera jusqu'à la mort, jusqu'à ce qu'on dise stop au sort. Ses lèvres s'étirent, la cigarette sursaute face au goulot de bouteille devenu rouge à lèvre.
Et la vie rigole, la lune berce les sensations jusqu'au total abandon. Que vas-tu faire ? Comment vas-tu continuer de vivre après ça ? Parce que tu supportes, tu planes au milieu des nuages noirs. Tu sombres dans les vices, punie pour vivre pleinement. Oubliant le reste, les besoins des autres : mais tu n'apprends pas à partager.  
La maison de bois te donne l'ordre de partir, d'affronter une neige, une douceur éphémère du monde. Le froid s'insuffle lentement dans tes veines, la chair frisonne au contact des flocons. Et tandis que tu patines, tu te perds.
Où est-il ?
Lui, père de tes enfants. Que pense-t-il en ce moment ? N'est-ce pas étrange que de se poser une telle question ? Tu ne le connais pas, tu n'as pas prit le temps d'apprendre à le connaitre. Au fond, peut-être que tu ne veux pas. Ce serait le laisser rentrer dans ta vie, lui faire une place à tes côtés. Mais tu n'as pas envie de te préoccuper de quelqu'un d'autre que toi. Tu as déjà mis neuf années à prendre conscience de celle de tes enfants, alors combien de temps cela prendra-t-il pour que tu te rendes comptes de celle de leur père ?
Un soupçon d'amour ou non, l'autre ne peut pas être plus important qu'il ne l'est déjà.
Surtout quand on ne sait pas comment ressentir

Il y a longtemps,
Quand seuls les rires consumaient ma vie.
J'aurai pu te dire ce que ça faisait, de sentir son coeur battre.
Danser, tourner sur des patins auraient été anodins, et tu te tiendrais à mes côtés sans te poser de question
sans savoir si tu vas au bon endroit avec moi, parce que je n'étais pas compliquée
Ce que tu représentes pour moi aurait été facile à exprimer
parce que je savais encore ce que c'était que aimer
Aujourd'hui c'est flou, et la perceptive même du mot est difficile à percevoir dans mon existence
Il ne faut pas que tu m'en veuilles si je t'amène sur des chemins perdus où on devra faire demi-tour
Si je te blesse, que je te jète pour mieux te récupérer
parce que moi-même je ne sais pas ce que je veux
Alors si tu es prêt à danser ce tango avec moi, je t'attendrai. Je prendrai ta main pour démarrer une valse sans sens, et quand la musique changera, je m'adapterai jusqu'à ce qu'on tombe sur celle qui caractérise notre avenir,
nos enfants
nous

Il est étrange de penser à un Nous pour toi. Indescriptible femme sans sentiment premier. Tu apprends à maîtriser les autres et le temps sans prendre en considération ta propre personne.
La glace cri sous tes glissades, tu t'amuses à conduire un chemin gelé afin de dessiner une image. Tu tournes sur un pied pour oublier l'autre. Tu sautes pour éviter de sursauter. Il suffit de mauvaises surprises, tu es seule maitre de ta destinée, quitte à en mourir.
Ton sourire s'écrase en voyant une silhouette émergée de la rive. Un masqué qui surveille, qui contemple ta beauté légère. Cela t'agace, qu'on vienne te trouver ici pour des idéaux. Tu te croyais en dehors de toutes sociétés, toutes guerres.
Tu t'avances, tu places un masque sur tes lèvres afin de ne paraitre aimable à cette présence dérangeante.
L'inconnu perturbe tes pensées
tu ne veux pas
tu n'aimes pas ça
dégage
Tu préfères fêter la Saint-Agnès sans lui.
Est-ce notre seigneur qui vous envoi ? A-t-il peur que même ses partisans lui tourne le dos quand ils partent pour d'autres terres ? Rassurez le, ce ne sera pas mon cas.
Tu donnes pour mieux reprendre ensuite
S'ils est satisfait il te laissera tranquille pour la soirée
En attendant
Tu fais face
puis repars
Libre à lui de te suivre sur cette piste glissante
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Re: La Finlande
Mangemort 08, le  Mer 22 Mar - 10:49

Musique

Je l'observe. Ce diamant. Qui glisse sur la glace avec l'agilité d'un chat, et la splendeur d'une étoile. Ses mouvements sont fluides, elle embrasse toute l'étendue de ses désirs. Et moi sur la rive accroché au rêve de ses lèvres, à l'embrun de ses yeux que j'imagine paisibles en cet instant. Elle est magnifique dans tout ce qu'elle est.

Mais était-il possible ?

Qu'elle veuille devenir l'oasis au milieu de mon désert ? La rose comme sourire à mon univers ? Qu'elle veuille m'offrir ses lèvres rouges pour plus qu'un baiser ? Qu'elle veuille que nos enfants ne soient pas la seule chose que nous partagions ? Mais que nous écrivions une nouvelle page, entre notre beauté, et cette noirceur...

Ma Noirceur

J'étais comme un navire échoué corrompu par les eaux. J'espérais posséder ce fragment de neige, ce tapis de désirs, ce regard d'évasion. Mais j'étais les Ombres. J'étais les Ténèbres. J'étais la Mort. Peut-être étais-je destiné à la faire fuir ? Peut-être qu'un amour entre elle et moi n'était qu'un rêve ? Mon rêve...

Pourtant...

Pourtant je m'y accrochais. Comme à l'espoir qui porte à faire des choses insensées. Comme si elle était l'essence de mes songes, alors qu'au fond, j'ignorais presque tout ce qui se trouvait au delà de sa Beauté. Sa Beauté qui me chante, qui m'anime, qui me laisse à des sourires que je n'avais plus eus depuis longtemps. Elle peignait sur mon cœur un tableau que je ne croyais plus possible. Sans savoir si elle voulait, si elle aimerait, y ajouter sa silhouette à côté de la mienne. Pour que ce tableau prenne réellement vie.

Pensée de sa main unie à la mienne
Pensée de nos bouches formant Nous
Poussière de rêve

Je lui souris sous mon masque d'émeraude. Elle est une mélodie, qui écrit ma vie. Mais j'étais animé par l'envie, d'être plus qu'une simple note. Mais pour cela, je devais être franc. Je devais ne rien lui cacher. Je devais tout lui dire. J'étais prêt à tout lui offrir. A tout décrocher. A tout traverser. Si tant est, qu'au final je savais que je la rendrais heureuse...

Et je vois celle que j'imagine Femme venir à moi. Et je vois les étoiles qui l'illuminent. Et son sourire qui s'efface à mesure qu'elle n'arrive à moi. Mais je me rendis compte que ce n'était pas moi qu'elle voyait. J'étais le masque. J'étais le Mensonge. Et la Vérité. Pour le moment, juste une illusion. Alors que nos émeraudes étaient si proches. Comme si je pouvais tendre ma main et m'emparer de la sienne. Comme si d'un geste tout pouvait s'arrêter. Comme si d'un geste tout pouvait s'écrire...

J'écoute ce qu'elle m'envoie, sans qu'aucune émotions ne me parcourent sous mon masque. Je finis par sourire. J'aimerais tellement lui dire. J'aimerais tellement tout changer. Que sous cette lune tombent les vérités. Que plus aucune barrière n'existent entre nous. Et que, justement, Nous, existe.

J'observe celle que la nuit couvait de douceur
Celle qui donnait sens à Tout
Celle qui donnait sens à Moi
Celle qui pouvait donner sens à Nous

Alors je me lève, toujours portant mon masque à l'éclat d'émeraude sur le visage. Je frotte la neige qui habillait mes mains sur mon habit. Je ne la sens pas froide, mais je la vois comme un élément qui nous définit elle et moi. Une beauté impalpable qui nait quand rien ne s'oppose, quant tout réuni.

Et je fis apparaître des patins que je chaussais
Et je rejoignais ma Belle sur ce théâtre glacé
Même si j'étais moins à l'aise qu'elle
J'avançais à son encontre
Et c'était là l'essentiel
Que nos deux ciels se rencontrent

Je ne faisais pas le malin, clairement. Je n'allais pas trop risquer de danser sur une jambe, il y avait moyen que ça se finisse mal. Bien que j'aurais aimé lui offrir une danse à deux à graver dans nos souvenirs éternels, avec une chorégraphie endiablée comme savaient bien le faire les moldus.

Et j'arrivais près d'elle
Subjugué sous la lumière céleste
Les éclats faisant sur sa peau
Une rivière enchantée
Peu importait les mots
Pour autant qu'ils soient vrai
Et Demain prendrait peut-être forme

- Non... Je ne suis envoyé par personne... Je me fous bien de ce que mon Seigneur pense... C'est ce que je pense moi qui m'importe... J'avais envie d'être là ce soir...

*Envie d'être près de toi*
*Envie de prendre vie à tes sourires*
*Envie de sentir tes regards*
*Envie d'imaginer tes rires*
Alhena Peverell
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Re: La Finlande
Alhena Peverell, le  Jeu 6 Avr - 19:15

Dis-moi
Est-ce que tu m'aimeras toujours ?
Voix
Seras-tu encore là quand ils seront tous partis
Quand ils comprendront ce que je suis, comment je vis
en secret
Pourras-tu toujours, susurrer des frissons afin que chair et os se confondent ?
Parce qu'un jour, je le sais, je serai seule
On nait seul, on meurt seul, et je ne fais pas exception à cette règle. D'ailleurs, elle me hante. Jour et nuit. Crois-tu que c'est pour cela que j'ai fait des enfants ? Que je joue avec les gens, pour dans l'avenir, que cela soit moins injuste. Il est plus facile d'accepter des conséquences quand on a réellement fait quelque chose de mal, que quand on a rien fait. Après, on pourrait croire que le monde nous en veut, alors que non, c'est juste
la vie

Tu t'élances, dans une autre vie. Tu penses, tu réfléchis et il suit. Il n'est pas à l'aise, il ne connait pas. Il n'a pas appris comme toi. Chacun son domaine. Peut-être était-il plus doué sur un balais, qui le sait ?
Après tout, qui s'embête vraiment avec des sports de moldus ? Pas grand monde.
Des cultures différentes qui ne se mélangent pas, ne veulent pas de l'autre. Mais pourquoi ?
Pour une éducation différente ? Pour un sang qui n'est pas le même ?
Pour la magie
Comme si la peur régnait sur le monde pour pouvoir vivre dans la guerre et le conflit.
Il faudrait mettre fin à ça, il faudrait, un jour
se comprendre.

Au lieu de rester dans des non-dits, des secrets qui pèsent sur le coeur. Pourquoi ne pas s'assoir autours d'une table, faire tomber les masques. On s'écouterait parler, on apprendrait à s'aimer et se pardonner. Peut-être que certains se lanceraient dans un débat, vite arrêté par la fraternité. Il faudrait un jour essayer, de s'apprécier comme on est, nait.

Ah oui ? Pourquoi donc ?

Fais attention à ne pas glisser. Tu perdrais en crédibilité.
On pourra certes en rire, mais pas sûre que tu apprécies. Pas sûre que tu vois les choses comme elles sont. Légère pour la vie. Il faudrait prendre du recul, que tu creuses un peu plus pour découvrir qui elle est. Accroches-toi, si tu es là pour elle ce soir. Pour voir un monde qui n'appartient qu'à elle. Enfoui sous les mensonges et les mélodrames.
c'est trop banal
comme foutue histoire
On devrait y rajouter du piment

Vous n'êtes pas très à l'aise sur la glace. Pourquoi avoir prit le risque de me rejoindre ?

dans ma vie
C'est dangereux. L'amour ça fait mal. C'est presque interdit. Il ne faudrait pas s'en approcher, ça fait trop souffrir parfois. Cela effrite le coeur comme on l'a jamais vu
Les pensées
écorchées
par ton souvenir qui réside. On est tué, on devient macchabé. Et la scène de crime, c'est la vie. Qui elle, nous sourit
Sal*perie
Tu avances, tu patines, tu piétines vers lui. Une main tendue.
Dis, tu veux danser avec moi ? Découvrir un autre espace. Il y aura des jardins, un manoir et des enfants. Elle ne sait pas qui tu es, mais toi oui. Vous valserez à coup de mot
et de métaphores qui fileront au son des étoiles déjà mortes.
Alors qu'en pense-tu inconnu ? Veux-tu te lancer sur la glace et dans la vie ?
Si oui, fais juste attention à toi.
Parce que des trahisons tu en auras. Tu seras jeté, pendu à ses dessins. Tu auras le plaisir d'aimer, d'être aimer, mais aussi de succomber
à l'abandon d'une destinée
Parce que tu ne seras pas le dernier, ou du moins pas maintenant. Tu ne sais pas de quoi l'avenir sera fait. Si ce sera pour un toujours et à jamais. Déjà, regarde maintenant comment c'est compliqué. Elle en aime une autre, en prévoit d'apprécier un prochain
Tiens-toi bien
Peut-être que tu ne seras pas le seul père de ses enfants
Peut-être que tu n'auras pas ce privilège d'être le seul à aimer
mais ne t'inquiètes pas, tu seras venger
le karma est là
Elle aussi, succombera


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Re: La Finlande
Mangemort 08, le  Ven 14 Avr - 16:07

Je continue de la suivre, mon Émeraude. Toi. Elle. Paradis entrevu de ma vie. Comme si elle était la promesse d'un délicat Enfer,  où nos flammes similaires, se marieraient à des braises échaudées, sur le lit d'une Éternité. Rêvée. Pensée. Dès que je fermais les yeux, dès que je voyais le visage de nos enfants qui passaient dans ma tête, aux souvenirs souriants d'un Noël vécu, Tout prenait son sens. Elle était mon Évidence.

Elle me demande pourquoi, alors qu'elle était la Réponse. La réponse à toutes mes questions. La réponse à ma Joie. La réponse à mon Envie. La réponse à mes Désirs. La réponse à mon Bonheur. Alhena. Comme si elle était mon ombre. Comme si elle avait toujours été là sans que je n'y fasse attention. Un reflet de mon âme. Un fragment de mes rêves.

Laisse moi donner à tes cheveux d'ébènes
Mes doigts pour y jouer de la sensualité
Laisse moi à ton regard avec des chaînes
Car je ne demande qu'à ne jamais te quitter

Elle remarque mes lacunes, tout comme, j'imaginais, les étoiles et la lune. Je n'avais pas sa grâce c'était sûr, mais je la suivrais jusqu'au cœur brûlant d'un volcan juste pour être avec elle. Quitte à ce que les laves m'emportent, mais pas sans un dernier regard, pas sans un dernier sourire, de sa part, à emmener comme merveilleux souvenir.

Laisse moi donner à tes lèvres l'éclat
Qui vit dans un baiser et s'éternise dans le cœur
Laisse moi être à tes plaisirs la clé dans l'ébat
Qui fait les émotions et met les sens en Chaleur

Te rejoindre. Ce n'est pas un risque. C'est un ordre. Un ordre qui m'a été donné le jour où tu m'as dit pour nos enfants. Si te suivre est un risque, je suis prêt à tomber. Et je me relèverai chaque jour plus fort, pour te voir, pour t'avoir, toi, perle d'un collier céleste de quatre étoiles. Là, j'entrevois cette place, celle du cinquième anneau, celle qui ferait que près de toi, je serais enfin vivant.

Je me stoppe sur l'étendue glacée, la regardant elle sculpter, de ses patins des sillages comme si elle y gravait un dessin de ses pensées. S'il y avait un mot pour la décrire, je le laisserais s'échapper de mes lèvres. Mais je ne pouvais, décemment, résoudre ce problème. La Beauté elle-même devait être surprise, en la contemplant, de voir à quel point elle dépassait sa simple définition, comme une fleur fanée qui regarderait une parfaitement épanouie.

- J'ai pensé toute la journée à te rejoindre... J'y pense chaque jour à vrai dire...

Juste quelques secondes. J'abaissais le capuchon de mon visage. Le vent vînt immédiatement jouer avec quelques uns de mes cheveux, je fermais les yeux. Seul mon masque gardait le mystère, là, sur cette glace, sous cette photographie céleste majestueuse. Comme si, tout avait été fait pour qu'en cette soirée il n'y ait plus de secrets, plus de désirs tus. Et, les étoiles attendaient impatiemment la suite, vêtues de leurs plus belles robes.

- L'envie d'être près de toi est présente depuis cette nuit dans cet hôtel, où tu as apporté la vérité et la vue sur quatre étoiles à mes yeux...
Alhena Peverell
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Re: La Finlande
Alhena Peverell, le  Sam 22 Avr - 3:03

LA de 08

Et le monde s'est arrêté. Dans un sillon écorché de secret. Un silence pesant du corps et de l'esprit. Juste quelques battements de coeur qui résonnent et des mots qui s'enchainent.
La vie à l'état pur, qui fait peur
Un délicieux parfum de désir qui enivre l'humain, secoue ses sens et le transperce de plusieurs épines
Une épine saignante dans un nuage de glace
Alors pourquoi la chair et les os résonnent à cet écho ?
Des émotions

Peut-être de la colère, de l'amertume. Il te met en danger, il vous met en danger. Tu ne supportes pas le fait, qu'un élément extérieur vient perturber leur vie. La tienne peut-être, tu n'es pas importante. Mais la leur, tu ne peux simplement pas y penser.
Tu ne veux pas
pas qu'ils soient comme toi
Ils ne doivent pas vivre les mêmes dilemmes, les mêmes horreurs. Tu sais que ta cause n'est pas juste, même si à tes yeux, elle l'est quand même. Parfois la raison vient gratter à la surface et te tire en arrière pour que tu reviennes sur terre. Mais il suffit, d'une étincelle, d'une goutte de sang posée sur le chemin pour foncer droit à nouveau
Pour sauter dans le vide et tomber de haut
Tu te complais dans la douleur, peut-être parce que ça te donne la seule importance que tu t'es donnée
peut-être parce que les autres sont ceux que tu ne peux pas être, même si tu sortais de ce vice, tu ne pourrais pas être
Humaine

Alors tu fais écho à ma vérité

Tes doigts portent le masque. Ils glissent sur ce visage. Les émeraudes se transpercent à la recherche de la douceur et de la culpabilité
Pourquoi tu fais ça ?
Ne penses-tu pas qu'elle aurait préféré rester dans l'innocence ?
Pour ne pas briser les espoirs
Ne pouvais-tu pas être normal ? Sans passé aussi douloureux et noir que le sien ?
Un être de lumière qui l'aurait bercé vers le droit chemin
Gifle
Qui brise les silences
Qui suit les idéaux
Peu importe ce que vous pensez
juste une âme déchue repêchée par l'existence

Ce sera long. Ce sera compliqué et tortueux. Tu me courras après sans jamais m'attraper. Je serai illusion dans ce vaste désert. Mais si tu courageux, que tu es assez patient...

Parcoure les parcelles de peau du bout des doigts. Délicat et fragile atmosphère qui se cueille dans la tendresse d'un avenir. Une danse du trépas et de la naissance. La beauté éphémère d'une cicatrice, d'une déchirure qui probablement, se refermera un jour.

Love,
Je suis impossible, je suis l'impossible
Électron libre qui trimballent ses casseroles
Je suis les tremblements de terre qui secoueront tes sens et tes colères
qui te pousseront dans tes retranchements, à bout, au bout, jusqu'à l'amertume et l'âpre qui écorche la peau, la vie
Il faut me chercher de toutes tes forces sans m'attraper pour que je te choisis
Tu sais,
Il y aura des périples et des tempêtes. De l'incongru et des rages auxquelles tu n'aurais pas pensé.
Calme toi et respire, cette chaleur qui envahit les corps, les coeurs à la recherche d'une paix
tu es apaisé et le vent qui se lève, soulève les pleurs
Donne moi ta confiance, prouve moi que même si je vais trop loin, que même si je franchis cette limite détestable,
tu ne m'oublieras jamais
que tu seras assez fort pour aller traverser de l'autre côté et venir me chercher
me sauver

...fais moi confiance et tu seras celui qui m'apprendra à aimer

Alors promets-moi, que qu'importe ce que je ferai dans l'avenir,
tu seras toujours là pour moi
pour nous
pour eux

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Re: La Finlande
Mangemort 08, le  Sam 29 Avr - 16:40

Mon cœur battait à tout rompre
Instant de vérité
Mon maque prêt à tomber
Pour nos enfants
Pour Elle

L'émeraude, cette pierre précieuse, que je poursuivais comme ma quête, comme le graal. Depuis un hôtel qui décorait encore mes pensées, depuis un Noël qui avait apporté des sourires à mes murs meurtris, elle était là, toujours. Dans l'ombre. Dans l'éclat des jours. Dans les étoiles des nuits.

Je ne bougeais pas comme un arbre muet aux assauts répétés du vent
Mon souffle était saccadé, musique dont le son voltigeait sans parvenir à trouver son rythme

Et c'était l'heure de vérité. Qu'elle sache, à quel point j'étais des ténèbres. Qu'elle puisse me gifler, me haïr, ou me tourner le dos. Qu'elle puisse encore s'enfuir, loin de moi, loin de ma présence qui pourrait être néfaste. Pour nos enfants. Pour Elle.

Et mon masque à sa main va mourir.

Nos regards se heurtent, se confondent, se parlent, se murmurent, se crient, des mots qui avaient été longtemps tus, des paroles qui avaient longtemps cessé d'exister. De celles qui peuvent briser des mondes, de celles qui peuvent soulever des montagnes.

Je ne savais quelle expression j'affichais, même si je savais que mon cœur, lui, battait la chamade. Imbibé d'une peur fantôme, qu'elle ne s'enfuit, qu'elle ne disparaisse, alors que je l'avais suivie, depuis plusieurs mois déjà. Désirée, depuis ce soir là.

Et qu'elle pouvait appuyer sur l'interrupteur et tout éteindre
Ou qu'elle pouvait tirer les rideaux et laisser apparaître le soleil
Faire chanter la lune et les étoiles
Celles au-dessus de nos têtes
Celles qui se demandaient ce qui pouvait bien se passer en bas
Et elle arrive. Cette baffe que j'avais imaginée. Ni douce. Ni violente. Ni douloureuse. Ni indolore.
Une, méritée

Et je l'écoute, qui se pose tel un mirage dans le désert. Elle pose la route, les cailloux, les rochers, les tempêtes encore tapies dans l'ombre. Courage. patience.

J'en ai déjà
Alors
Si pour une autre étoile encore
Je devais attendre
Pour Elle
Je le ferais
J'avais signé
J'étais père
Elle était mère
Nous étions parents
Simplement

Je laisses ses doigts courir sur ma peau comme si elle me découvrait pour la première fois. Ou du moins, comme si elle voyait mon vrai visage pour la première fois. C'était cela. J'étais les Ténèbres. Et elle devait avoir peur pour nos enfants. Que je sois un risque. Ce qui était forcément la vérité. J'étais un risque. Pour nos enfants. Pour elle. Même si je chercherais toujours à les protéger.

Ses mots résonnent dans ma tête
Musique impitoyable
Espoir et Destruction
Etions-nous cela ?
Pouvions-nous vivre ensemble ?
Ou seulement survivre ?
Aurais-je une vraie chance ?
Ou me dresses-tu un miroir qui ne fera que me détruire davantage
Que je ne l'aie été au plus bas de ma vie ?

Je suis prêt. Si je suis là devant toi, ce n'est pas pour que tu retires seulement mon masque. C'est pour que tu comprennes, que peu importe le temps qui s'écoulera dans les sabliers, peu importe le nombre de fois où tu me mettras plus bas que terre, peu importe les blessures que tu laisseras sur mon corps et mon âme, je resterais là, dans l'ombre, à veiller sur toi, et nos enfants. Et si, à la fin, tu veux toujours de moi, alors nous serons ce que nous aurions pu être depuis le premier jour...

Une famille...


Et tu me dis de te faire confiance
Mais si tu savais
Combien depuis le premier jour
Je te fais confiance
Combien depuis le premier jour
Tu as changé ma vie
Tu saurais
Que je suis déjà là
Que je suis déjà tien
Alors ce jour arrivera
Si profondément doit-il être ancré dans les ténèbres
Si loin doit-il être sur les sentiers de ta vie
Mais au bout
Je serais là
On sera là


Mon cœur toujours danse, face à toi, là, donne moi ta main, sent mes battements, que je suis là, devant toi, nu, prêt à tout t'offrir, prêt à tout recevoir. Je t'apprendrais, quand bien même d'autres livres seront écrits avant, mais je serais là, pour le dernier chapitre, je l'espère.

- J'imagine... Que tu ne peux être à moi éternellement... Mais tu es là... Face à mes ténèbres... Et tu n'as pas fui... Alors je ne fuirais pas... Je t'attendrais... Le temps qu'il faudra... Pour nos enfants... Car j'ai cet espoir... Qui m'anime... Depuis que tu me l'as dit... Depuis que j'ai eu en cadeau leurs sourires... L'espoir que.... Toi... Eux... Nous... Formions une famille.... Alors si cet espoir n'a serait-ce qu'une leur de vie... Cela me suffit... Et je t'attendrais... A travers les saisons... Je subirais leur griefs... Mais je serais toujours derrière la brume...

Et toi quelles sont tes ténèbres ?
Dit moi
Alhena
Si tu es encore là
Quels sont tes démons ?
Quels secrets dorment derrière ta beauté qui me transfigure ?
Derrière cette glace que je veux enflammer ?
Dit moi...
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Re: La Finlande
Alhena Peverell, le  Mar 9 Mai - 15:24

LA de 08

Le monde est mort sans toi
Le mien s'est effondré dans le plus amer des alcools
Ma bouche pâteuse s'évertue à trouver raison dans des mots
Mais les émotions, les pulsions prendront toujours le dessus sur l'esprit
Je ne suis qu'une femme
Je ne suis qu'une humaine
et
J'ai peur
Comme si
j'étais perdue dans un paradis


Les doigts glissent sur la chair. Ils caressent l'impossible, le souvenir d'une nuit
Les battements du coeur répondent aux échos des pensées embrumées
L'émeraude est si petite dans ce monde trop brutal pour elle, parfois derrière ce désert de glace, c'est elle qui frissonne
parce que chaque regard est un pique de glace qui grave sa peau
et elle s'effondre
parce qu'elle est imparfaite

et que les autres font mal, avec leur haine, leur jalousie et leurs vices qui bouffent les galaxies
Il est si loin, et si près d'elle, ils sont un nous transgressant les lois et les morales
Ils se promettent l'avenir en une nuit alors qu'ils ne seront pas capable de tenir leur parole
Ils errent déjà dans le vide à la recherche de l'autre, se confrontant à de multiples obstacles
Ils sont aveugles et leurs mains parcourent les visages, un jour ils se reconnaitront
Quand ils cesseront d'avoir peur du reste du monde, de la lumière qui détruit leur coeur

_Je t'aime, mais pas encore assez pour tout quitter
Alors conquiers moi
jusqu'à la mort

Ils sont passionnés par
l'autre
Mais ne pourrons jamais se l'avouer
parce qu'elle est lâche et que lui n'est pas assez courageux pour la retenir
Sera-t-il un jour suffisamment fort pour courir vers leurs ténèbres ?
Lui prendre la main et la porter jusqu'à l'autel
Ressembler à une famille déjà trop déchirée par l'extérieur

                                          ..Nous sommes
                                                          .Hors du temps


I was in love with myself
But now
I hate me deeply

et je voudrais être moins compliquée
pour vous
Mais le monde m'empêche de vivre correctement

Protège la
Protège les
Sois le socle d'un passé dévasté
d'une montagne déstructurée

Elle recule, la glace crisse, comme un appel de détresse
Elle s'éloigne, elle ne veut pas affronter ce qu'elle peut ressentir, ce que ses pensées ont voulu construire comme avenir. Le chemin est trop tortueux pour elle
Elle veut se protéger
du bonheur

Les émeraudes se croisent, et les masques sont tombés. Mis à nu, elle ne sait plus quoi dire, ni quoi faire. Il y a juste le vent et l'air froid qui la font encore frissonner. Elle s'éloigne de son humanité, pour résister à la tentation
Montre l'exemple, montre ta fidélité à celle que tu prétends aimer
Et pourtant
C'est tout ton sang qui boue, c'est
L'amour en intraveineuse

Les minutes défilent, le silence aussi, et elle se rapproche. Sa main se pose sur le torse, elle ferme les yeux. La lune est reine, elle vieille sur eux même dans le noir
Alors elle attend, que la vie s'efface, que le rêve s'échappe et quand elle ouvrira les yeux, il sera parti
Comme un mirage, pour prendre conscience de son inconscience
Elle n'a pas fait face à lui ce soir
Il n'existe pas
Et demain elle aura oublié son souffle, sa peau, ses lèvres et ses yeux
Demain elle ne sera rien, juste mère éloignée d'un homme qu'elle ne peut pas imaginer
Juste un fantôme dans sa vie
Un passé, un souvenir
Alors
Ses pensées s'envolent
Et
Sa poigne se resserre sur le tissus
                                          . .Parce qu'il est réel
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Re: La Finlande
Mangemort 08, le  Mer 10 Mai - 16:45

Le monde autour était comme une boule à neige, où la neige s'était arrêté de tomber. Figée dans l'espace, avec le vent qui n'avançait plus, les arbres qui ne crissaient plus, les nuages immobiles comme sutpéfixés, les étoiles dont l'éclat s'emblait s'amoindrir, comme si elles n'étaient que de vulgaires chandelles essoufflées.

Je lui avais donné mon plus noir secret
Ma vie en otage à ses mains douces
A ses regards étrangers
Que j'essayais de conquérir


Elle me laisse sa peur en suspend, comme la branche qui retient le feuille, elle et ses émotions retenues, prisonnières de ses propres tourments. Mais quels étaient-ils ? Dit moi Alhena, quels sont-ils ? Je te fais confiance, mais je ne dois pas être la seule aiguille de notre horloge. J'écoute tes doutes, les hébergent, les acceptent.

Qui n'est pas complexe ?
Regarde même ce temps l'est !
Et ces émotions qui nous transpercent
Comme autant de lames
Laissant des boules amères à nos gorges


J'entends une musique tonitruante, secouant mon corps comme si elle voulait en sortir. Et je te regarde, mon émeraude. Mère de mes enfants. Pouvais-je être Père près de toi ? Pouvons-nous être Parents ? Dit le moi.

Je la vois qui recule sur la glace, comme voulant me fuir, et je cherche dans ses yeux une réponse que je ne trouve pas, comme si le vent avait balayé une dune pour que je perde trace de toute vérité. Au fond avait-elle peur de qui j'étais ? Je ne pouvais m'empêcher de douter. De croire que je pouvais être un danger plus qu'un père aimant.

Alhena dit moi ?
Que tout ceci n'est pas un rêve
Que tu chasseras d'une main impitoyable
Que tout ceci n'est pas un espoir
Que tu effaceras avec de l'encre noire


Et la belle revînt vers moi, laissant une de ses mains se poser sur mon corps. Était-elle en train de lutter ? A ce combat intérieur qui parsème toute vie ? Qui fait du chant un triomphe, d'une mélodie un ouvrage ? Et ça poigne me serre, comme voulant s'accrocher à moi, au Temps, à l'Espoir, au Rêve. D'un Nous.

- Alhena...
...J'ai peur aussi...
... De n'être qu'un rôle...
...Alors que je ne veux qu'être...
...Près d'eux et près de toi...
...Malgré mes Ténèbres...
...Et peu importe les tiennes...
...Si tu veux de moi


Certaines secondes étaient faites pour envoyer à l'Éternité un synonyme, au Rêve une raison, à l'Espoir un achèvement. Mon cœur s'était perdu, entre des battements effrénés et envies longtemps rangées dans le tiroir des Désirs enfouis. Depuis ce mois de décembre, dans cet hôtel, où j'avais ressenti les premières lueurs de cette vie, j'avais voulu être près d'elle.

Et elle était là, agrippée à moi, et mes yeux se refusaient à regarder ailleurs que le paysage qu'elle était. A ses lèvres peintes que j'avais tellement rêvé d'embrasser un jour que mes nuits ne cessaient de me les rappeler. Et nous étions là. Moi Ténèbres, elle prête à être à leur cou.

Je n'observais plus le théâtre au-dessus de nous. Je ne savais plus quoi dire. Quoi faire. Mais j'étais venu là pour une raison. Pour qu'elle sache tout. Aussi bien mes ténèbres que ce que j'avais sur le cœur épinglé depuis notre première soirée. Il me restait cela à lui faire, cela à lui dire.

Je l'attirais à moi par son poignet attaché à mes vêtements, passant ma main libre dans ses longs cheveux à sa nuque, l'embrassant avec la passion que j'avais imaginé lui donner pour notre premier baiser. Peu m'importait si elle me rejetait, si elle me frappait, j'avais dit ce que j'avais à lui dire, j'avais fait ce que j'avais à faire...

Alhena dit moi maintenant
A quel point as-tu peur
A quel point es-tu prête
A changer de monde
Et si les étoiles sont d'accord
Que les émeraudes fusionnent
A quel point es-tu prête
A être aux Ténèbres ?
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Re: La Finlande
Alhena Peverell, le  Dim 14 Mai - 2:42

Personne ici n'est parfait
Nous sommes tous prisonniers de nos défauts
De notre propre cruauté
Et elle s'accroche à lui comme s'il était la dernière note de leur symphonie
Peut-être aurait-elle besoin de dire les choses, de se confier, d'être l'autre moitié de sa propre personne
Mais comment pourrait-il l'accepter si elle ne s'acceptait pas elle-même ?

__________________________ Tu es dans mes veines
__________________________________ et je ne peux t'en faire sortir

Tu es les seules lèvres que je voudrais goûter, le seul visage que je voudrais parcourir
Il y a tes yeux verts qui me font frissonner, ceux que nous partageons à cinq
Il y a ton sourire qui me fait chavirer
L'univers pourrait n'appartenir qu'à nous, nous pourrions être notre propre galaxie
Mais la réalité nous ramènera toujours à l'interdit
Tu n'es pas mien, et je ne suis pas tienne
Je suis l'inconstance d'une pulsion
D'une passion destructrice
Alors laisse moi mourrir cette fois

__________________________ Je commence un feu
__________________________________ pour fumer mes trahisons

La main s'accroche à en déchirer, elle ne veut pas le perdre
Elle ne veut pas que demain tout s'efface,
Elle voudrait rester là et oublier qu'il y a un extérieur, une peine capitale
La vérité
Et ses murmures ne la rassurent pas, parce qu'ils finiront par tomber à deux
Parce qu'elle a peur, pour lui, pour elle, pour eux
De n'être jamais cette famille qu'ils voudraient voir grandir
Ils se déchireront jusqu'à l'angoisse, jusqu'à la crise
jusqu'à l'excès

__________________________  Et la sentence finit par arriver

Il y a la délicatesse du monde qui se dessine, des lèvres qui se cherchent
Des larmes qui coulent,
Je te veux
Je ne veux que ça ne s'arrête jamais

Il y a le besoin d'être avec l'autre, de le savoir avec soi
d'être un seul être
_______________brisé

Peut-être qu'on aurait pu ne jamais les arrêter
Peut-être que seul le vent les aurait écouté
Mais le cris des patins qui se reculent détruisent le rêve
Je ne peux pas
parce que je suis censée l'aimer Elle
La Vénus de Volupté


Détachée

Dos face à l'Amour, elle prétend que ça n'a pas d'importance
mais ses pensées se meurent, les sons ne sortent pas
parce qu'ils sont mensonges et décousus
Et le spectateur se demande pourquoi ils sont si compliqués, pourquoi elle ne se retourne pas alors que c'est écrit
depuis des années qu'ils partageront le reste de leur soupire ensemble
Elle me parle, chaque seconde, chaque minute.
Elle me suit.
Elle m'observe.
Il y a ce truc qui me bouffe, dont j'ai peur. Pour moi, pour eux. Qu'ils soient pareils.
Je ne peux pas faire n'importe quoi.

Et ses yeux se ferment alors que sa voix s'éteint
Elle relève la tête à la recherche d'un rayon de lune, qui parsème de couleur les parcelles de sa porcelaine
Ses émeraudes s'ouvrent pour contempler l'espoir
Cette voix, elle me détruit
Ce démon, il me mange les entrailles et je suis enfant perdue au milieu d'un champs d'étoile
Je ne sais plus où aller
Ni ce que les autres attendent de moi
Je cherche encore l'impossible dans l'éphémère


Elle se retourne et ses mains décryptent une autre fois ses traits
Raconte moi tes secrets
Explique moi pourquoi la terre est si grise
Parce que je ne peux plus vivre dans le doute

Les mains s'agrippant aux autres, elles demandent de ne pas aller plus loin
Soyons un esprit avant d'être un tout
____________________Ne va pas trop vite, laisse-moi être fidèle à l'irrésistible, crient ses yeux

Elle a céder une fois à la Tentation, elle ne peut pas en être une deuxième
Elle ne peut pas
Quelle est ta folie ?
être ce qu'elle hait le plus
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Re: La Finlande
Mangemort 08, le  Lun 15 Mai - 17:22

Les lèvres parlent, comme deux étoiles qui se croisent, saveur d'un beignet de sucre qui est un cheval argenté brumeux. Il permet de chevaucher les montagnes qui gravissent le ciel lorsque la nuit expose son tableau en murmures qui attachent les yeux. Comme la première eau portée aux lèvres, comme le dernier sourire offert au cœur. Et le Temps arrête ce que l'Espoir aimerait éternel.

Je la scrutais. Belle d'étoile, peau de lune comme miroir de l'âme, à nos émeraudes semblables. Que les étoiles ne savaient reproduire pareille étincelle. Morne elles étaient, galaxie peinte en tristesse, comètes écorchées qui ne pouvaient, être que de vulgaires poussières jetées sur cette ardoise, dont elles n'auraient l'honneur d'y trouver leur essence.

Pas qu'elles n'en était pas dignes non ! Juste que les émeraudes étaient chez elle, sur des draps que l'or ne saurait acheté, que la soie ne saurait reproduire. Et passaient les filantes à vive allure, photographiant seulement des rayons dont l'éclat faisait le flash, mettant les mots dans la bulle à ce qui était dépourvu de paroles.

Dit-moi, neige de mes nuits, forêt de mes jours, quels démons dévorent tes rêves, tes pensées, tes espoirs ? J'ai besoin de savoir. Que tout n'est pas qu'un mirage condamné à disparaître, mais qu'il y a un oasis perdu au fond de ce désert que j'arpente le cœur nu !

Pourquoi ne peux-tu pas ? Est-ce difficile de croire à ce que nous aurions pu être neuf ans plus tôt ? Quelles Ténèbres peuvent-être si profondes qu'elles emportent ta raison ? Pourquoi la glace t'aspire loin de moi comme le vent emporterait ton parfum ?

Et la vérité fuit ses lèvres rougeoyantes sans les offusquer. Son démon sort des abysses, des ombres muettes, et m'apparaît comme des doutes ancrés jusque dans ses veines. Etais-je différent de ce qu'elle décrivait ? Moi qui avait combattu la folie ? Qui avait tenté de me tuer pour la vaincre ? Cet Obscur qui dormait toujours quelque part, dans un petit recoin, attendant patiemment une heure terrible pour ressurgir. Je savais. J'imaginais savoir.

Je peux être guide...
Une étoile qui scintille dans la nuit
Un flambeau à la main
Qui arbore le courage et l'envie
Il n'y a de démons
Que la Volonté ne peut vaincre


Mes yeux cherchent à savoir où ses pensées dérivent, quand elle se confronte avec les célestes. Et je me demandais où errait cette voix, celle qui jouait avec ses émotions et ses sentiments comme autant de cordes fragiles et faciles à actionner. Pouvant éparpiller en lambeaux le tissu qu'elle était.

Et l'émeraude retourne voir sa jumelle. Sa main revient sur mon visage et je ferme les yeux, m'évadant à cette caresse que j'avais imaginé dans la froideur de l'hiver et dans le printemps précoce aux matins gelés qui emprisonnaient les fleurs.

Et ses mains prirent mes mains, et tout s'envolait. Je n'étais rien. Là, elle acceptait mon monde de ténèbres, d'incertitudes, de sang, de chaos. Et me demandait quels autres sombres secrets m’abritaient. J'avais envie de lui crier, que j'étais la Mort, que j'étais la Destruction, que partout où je passais, je ne faisais qu'alourdir mes tourments.

Mes.... Folies...
Je dégutis
D'anciens amis
Ont fait de moi un fils de la lune
Je suis loup-garou...
Depuis bien longtemps
J'ai appris à encaisser, la douleur fait partie intégrante de moi
Je sais grandement me maitriser aujourd'hui
Mais j'ai éparpillé bien des membres
Rongé bien des os
Vidé bien des entrailles...
Car tu dois bien comprendre
Que tout ce que je suis
N'est que Ténèbres et Chaos...
Et que mes folies peuvent te détruire
Même si je ferais tout pour que ça ne soit pas le cas
Ni pour eux, ni pour toi
...
Aussi...
Je...
Je parle aux serpents
Peut-être mon fardeau le moins lourd à porter
Ils ne sont que des animaux après tout
Comme n'importe quelle autre créature sur notre Terre...


Etais-je cela ? Un animal ? Une bête ? Un soldat perdu au milieu d'un champ de cadavres, qui avait oublié les paramètres de la raison, qui n'avait plus grand chose pour le garder dans la réalité ? Et toi, Alhena, toi, peux-tu seulement vivre avec de telles Ténèbres ? Regarde bien ce qui m'entoure. Y-a-t'il seulement une chance que notre chemin puisse être heureux ?

Bien des litres de sang seront déversés, sur le sentier de notre union. Je te veux dans ma vie, mais je suis la Mort. Juste une âme perdue qui n'a presque plus d'humanité, sauf quand je regarde dans leurs yeux, et dans les tiens. Ta beauté est comme cette lumière au-dessus de nous, cette neige, elle m'apaise, elle m'appelle, elle me consume.

Si...
Ma noirceur ne te fait pas fuir
Sache...
Sache que
Je ferais tout ce qui est en mon pouvoir
Pour les protéger
Eux, toi,
Nous...
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Re: La Finlande
Alhena Peverell, le  Lun 29 Mai - 17:31

Le temps ne joue pas en votre faveur.
Les étincelles de beauté s'effacent sous des nuages noirs.
La pluie s'élance et les éclairs grondent.
Ils préviennent l'arrivée d'une tempête, des cicatrices trop profondes.
Il parle et les mots se jouent de vos têtes.
Que fait le monde ? Pourquoi laisse-t-il cela se produire ?
Une chose qui implose et en explose une autre
Folie
Peut-être un rire qui ne devrait pas s'envoler
Le sang boue, la salive dévale la gorge
Il y a des voix qui s'amusent, elles te disent que tu devrais fuir
Comme avec les autres êtres vivants

Glissade, silence et yeux fermés
L'eau dégouline, il fait froid,
Il faut rentrer et faire comme si demain n'existait pas
Un face à face qui ne devait pas avoir vu le jour
Des confessions qui n'auraient dû jamais être dite
Avec ou sans, continueras-tu de danser ce monde ? De rire et de vivre avec une autre blessure ?
Il met en danger, il ne se rend pas compte
Deux êtres mauvais peuvent-ils cohabiter la même maison ?

Tu oublieras de toute manière

Rien ne te rendra plus triste que l'avenir
Que les erreurs
Un cercle vicieux
Une boucle qui se referme et des dommages collatéraux
B_rdel Leo, où est-ce qu'on a autant m_rdé pour que la vie tourner dans ce sens ?


_____________Fo_tue réalité et tes mensonges, crève en enfer

Rythme cardiaque
C'était il y a combien de temps que tu es a goûté à al folie ?
Trop longtemps
Il n'y a rien de cohérent
de raisonnable
c'est surfait de vivre convenablement
Chaque nuit tu tomberas amoureuse
Et tu te réveilleras au milieu des fleurs
Alors tu laisseras une chance
Et puis tu fuyeras
non
tu l'effaceras

Transplanage

Fin du rp
Invité
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Re: La Finlande
Invité, le  Dim 27 Aoû - 22:31

Rp avec Mary Griffée Exemple Drake. J'ai son LA pour le RP !

Mais enfin, elle est obligée de me suivre comme ça ? Je peux jamais être tranquille, c'est incroyable. Quand j'ai un peu soif et que je veux boire un truc dans le bar du coin de Pré-au-Lard je me tape sa tronche, quand je travaille, je me tape sa tronche, en cours, je me tape se tronche et là, alors que je pars loin, profiter de la fin des vacances un peu tout seul tranquillou quoi, bah je me tape encore sa tronche. Coup de pas de chance en plus, on est juste à côté sur le trajet. Oh ce que je la déteste.

- Mais pourquoi t'es là toi...

Limite désespéré, c'est fou, mais c'est fou. J'aurais pu tomber sur n'importe qui de Poudlard ça m'aurait plus plus, sauf Sanders, c'est du même acabit les deux. Une plaie à supporter, une sangsue qui s'accroche de manière infâme, beurk. C'est pas comme si j'allais dans l'endroit le plus touristique du globe en plus, la Finlande, tout le monde s'en tape, le seul intérêt c'est les petites lumières qu'on peut voir la nuit. Je me demande si on va réussir à en voir. On. J'ai vraiment dit on ? J'suis résigné au point d'admettre de passer mes vacances avec cette cruche quand même. Je sais pas où j'ai la tête mais clairement elle est pas au bon endroit.

On est arrivés, toujours ce on horrible qui vient naturellement. J'adresse un regard noir à l'autre. Puis hausse les épaules, je sais pas pourquoi, elle est là, autant faire comme si on avait pas le choix. Parce qu'en vrai on l'a, je pourrais m'en aller d'un côté, elle de l'autre, tout ça, mais si c'est pour aller au même endroit, où est l’intérêt ? Y'en a pas, je donne la réponse avant que quelqu'un se mette en tête de la chercher, sinon ça va lui prendre la tête, comme le troisième nain, ce serait fâcheux, parce que c'est pas drôle, on le sait tous.

- Bon, tu me fatigues pas s'il te plaît, j'suis pas là pour m'embêter avec quelqu'un comme toi.

Bon euh. C'est par...là, je crois. Oui c'est par là, j'suis bon en orientation, petite ruelle par-ci, petite ruelle par là, elle me suit ? Ouai, elle dit rien, j'rumine ma rage aussi, et je me retiens vraiment, parce qu'on est en vacances et que j'aimerai bien les finir dans le calme. L'est stylé l'hôtel en vrai, le toit il est fait avec des vitres pour pouvoir observer le ciel, j'aime bien la déco. On se croirait dans un truc de science fiction, mais vieux, du coup dans un film de science fiction sur le présent, je sais pas si on peut me suivre là, je me complique un peu la vie, c'est pas très bien.

Le temps est passé vachement vite, il doit être quelque chose comme 18h, on a encore largement le temps avant que le soleil se couche, mais j'ai pas envie de continuer à me balader alors je m'assois sur un canapé et je regarde le ciel bleu au dessus de nos têtes en me plongeant dans mes pensées, j'ignore royalement Drake qui, par chance (Sarcasm) se trouve au même endroit, vraiment pas de bol...


Dernière édition par Liskuvo Kalsi le Dim 3 Sep - 21:50, édité 1 fois
Gaëlle Panyella
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Re: La Finlande
Gaëlle Panyella, le  Mer 30 Aoû - 8:10

Il fait pas très chaud. Première déduction inutile de la journée. Emmitouflée dans des tonnes et des tonnes de couches de laines qui grattent la peau comme une multitude de piqûres de moustiques, je continue à frictionner mes bras dans l'espoir de  recouvrer un semblant de chaleur. C'est un peu vain comme technique, un échec cuisant de tous les instants. Pourtant j'dois bien faire avec, hors de question que je sorte ma baguette pour me réchauffer. Y'a des moldus qui traînent. Satanées personnes. Ils prendraient peur, si je les réchauffais tous vous croyez ? Hum. Ouais. J'suis d'accord, c'est pas la meilleure de mes idées. Mais la frayeur passée, je peux assurer qu'ils seront contents. Mais pas de bêtises. Ce serait fâcheux, même totalement débile, de me priver du spectacle que je suis venue voir en me faisant arrêtée par une police quelconque. Même l'autre là. L'inutile fade je sais plus quoi. Je l'ai vu, il m'a parlé, allez savoir pourquoi, et bah, il m'a fait rester. Je ne raterai ça pour rien au monde. C'est un peu dommage qu'on soit parasité par la haine quand même, mais tant pis. J'sais que quand il s'agit du ciel, je peux voir les couleurs, et ça me suffit à être un peu heureuse.

Le fantôme de Stella me fait des signes, mais je l'ignore royalement. Même que c'est le chat qui la tuée. J'imagine qu'il y avait une raison. Pendant ce temps, je pourrais lui répondre peut-être. On est toujours sur le trajet. Soit. J'me pose la même question que toi tête de nœuds. Tu m'aimes pas, je t'aime pas. C'est aussi simple que le chat de Schrödinger. Non. N'exagérons pas. Un peu plus compliqué que cette expérience. Un rien, une bribe, une miette qu'on laisse sur le sol. Une de plus en fait. Point. Barre. Final. Soupire. T'es obligé de gâcher les moments où je suis bien Liskuvo. C'est plus fort que toi. Peut-être que tu m'as foutu une puce quelque part et que tu me suis à la trace comme un petit chien. L'occasion rêvée pour au final crier haut et fort sur ta face que t'es démasqué. Avec une intonation dramatique et tout, comme on les aime. Fin je sais pas si c'est réellement aimable ce genre de choses, on va partir du principe que si sinon on en a pour la nuit et la nuit je compte faire autre chose que me casser la tête à capter des trucs que de toute manière je ne capterais pas.

Quand vient le moment de partir à la découverte je me rends vite compte que je suis perdue. Finalement c'est moi qui finit en clébard et qui le suis. Je fais mine de connaître le chemin et d'être outrée de remarquer que nous soyons toujours sur la même piste alors que si je le perds je me retrouve totalement paumée et ça faut surtout pas qu'il le sache. Mon ego prendrait une grande falaise et le sien une échelle, j'crois que ni l'un ni l'autre n'a vraiment besoin de ça. D'autant plus que il a les chevilles bien gonflées l'imbécile là, je me vois mal lui rajouter de quoi être fier ou content ou je ne sais quoi qui me mette en position d'infériorité. Vous avez compris ce que j'essaie de dire j'espère, et en disant vous je me rends compte que je me parle à moi même mais en fait je tourne en rond là et ça ne va plus. Je secoue vivement ma tête, remettant ainsi des neurones à leurs places puis recommence à le suivre à la trace. C'est un peu embêtant comme contexte.

Il avait râlé tout à l'heure, avant de s'asseoir sur un canapé. J'en suis presque certaine. Mais il me fait ch*er à jamais être content, c'est pas compliqué pourtant, on va peut-être voir de jolies couleurs alors un effort ça le tuerait pas. T'es un peu débile quand tu le veux. Voilà c'est dit j'ai extériorisé un peu, ça fait du bien.Fin sauf si t'es tout le temps comme ça parce que dans ce cas je suis désolé. C'est sincère en plus, le pauvre quoi, si la débilité le suit à la trace un peu comme moi tout à l'heure ça doit pas être simple de vivre tous les jours. Refusant de suivre son exemple  parce que c'est mwa et de me faire un torticolis de malheur en me dévissant le cou pour regarder le ciel, je me couche directement par terre, ça évite les confusions et tout autre dérangements hormis sa présence mais ça je me la suis imposée toute seule comme une idiote. Tête de linotte. J'parie que c'est sa connerie qui m'atteint, comme un virus, toussa toussa. Bon si il n'y a que lui à l'horizon je peux me permettre un petit sort, alors #Calda sur mes vêtements, ça fait du mal à personne.

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