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Un coin à l'abri des regards
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Re: Un coin à l'abri des regards
Invité, le  Jeu 26 Oct - 22:19

Ça va, il ne t’en veut pas. Malgré le juron qu’il a lancé sous le coup de la surprise, il te taquine sur ton accueil plus ou moins charmant – on dira que ça dépend des points de vue parce que toi tu es plutôt satisfaite de l’accueil que tu lui as réservé. Tu souris, à ton tour, avant de regarder son bras abîmé par le filet de métal. Tu le laisse venir à toi, une lueur narquoise dans les yeux, le sourire en coin. Tu le lasisse se pencher sur toi pour un baiser à la saveur sucrée, avant de, subtilement, informulé un Repulso qui le projette quelques mètres en arrières.

Et ton rire se répand dans la ruelle de Pré-au-Lard, au creux de la nuit où nulle ne pourra vous surpendre. Tu le regardes, visiblement décontenancé par la tournure des événements. Tu t’adosses à un mur, le pied relevé. Attitude légèrement désinvolte qui ne va sans doute pas lui plaire – ou qui au contraire risquerait d’énerver son côté joueur.

Finalement, tu décides que le filet n’était pas assez incisif pour lui. Après tout, il est supposé être coriace ? D’autant plus qu’il portait ce … masque noir et vert sur le visage. Tes lèvres s’étirent davantage face à l’idée que tu viens d’avoir, persuadée qu’il rentrera dans les méandres de tes jeux étranges. Après tout, vous êtes supposés vous affronter, pas vous faire la cour. A nouveau ta baguette se lève « Levicorpus ». Décidément, tu ne sais pas ce qui se passe dans ta tête ce soir mais tu as besoin d’amusement et … il correspond au parfait cobaye.
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Re: Un coin à l'abri des regards
Mangemort 08, le  Jeu 26 Oct - 23:05






Certains baisers sont enveloppés d'une saveur particulière. Certains sont un simple "Bonjour" le matin, comme d'autre une "Bonne nuit". Certains sont prolongés comme un "au revoir" qui attend déjà de revenir. D'autres sont "promesses" et se multiplient en plusieurs petits sur la peau. Enfin, il y en a qui expriment une passion folle, un engouement des sens pour un Autre qui fait tout résonner.

C'était ce genre de baiser que tu lui donnais.

Mais comme deux minutes plus tôt quand tu l'avais vue, elle t'envoya un sortilège d'expulsion qui te fit voler sur plusieurs mètres et tu retombes lourdement au sol, ne manquant pas au passage de te cogner l'arrière du crâne. Tu entends son rire alors que tu te redresses tant bien que mal, te passant une main sur la tête en cherchant à comprendre son geste.

Tu la vois adossée à un mur, elle te provoque, alors tu te mords la lèvre avec tout un tas d'envies qui se chevauchent dans ta tête, te demandant celle que tu allais choisir. Une vengeresse ? Une passionnée ? Une à mi chemin entre les deux ? Une déraisonnée ? Une flamboyante ?

Tu commences à t'avancer vers elle d'un pas lourd avec un regard que tu veux rageur, mais tu te prends un nouveau sortilège de sa part et tu te retrouves suspendu dans les airs. Ta cape te gêne en se foutant devant toit et tu la maintiens d'une main pour pouvoir voir ta compagne.

- Ok, tu veux jouer...

Tes pensées se bousculent. Tu ne savais ce qui la prenait soudainement, à vouloir échanger quelques sortilèges. Bien que le début de ces hostilités te donnait l'envie de la plaquer contre un mur... (Hum...) De ta main libre tu récupères ta baguette et tu informules un Liberacorpus et tu te réceptionnes maladroitement, ton coude droit heurtant le sol. Tu te redresses, affichant un sourire et un regard entre l'étonnement et la méfiance.

- Bon... Tu visais rapidement le mur contre lequel elle se tenait pour qu'elle ne puisse pas le quitter facilement. Gelata ! Tu enchainais avec un Aguamenti volontairement conséquent histoire qu'elle se prenne une bonne douche froide de la tête aux pieds. Tu avançais vers elle, affichant un grand sourire.

- Tu as les idées fraîches maintenant ? Ou tu veux encore continuer ?

Tu attendais sa réaction, prêt à aller dans n'importe quelle direction. Elle avait lancé le feu, tu pouvais te faire incendie. Comme tu avais lancé l'eau et tu savais qu'elle pouvait être tempête. Entre jeu, désir, séduction et duel improvisé, tu ne savais pas où s'arrêterait votre Raison, sous les étoiles qui photographiaient cette étrange scène qui se jouait sous leurs yeux épris.
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Re: Un coin à l'abri des regards
Invité, le  Jeu 26 Oct - 23:32

Il a le don de faire monter ta température interne, et le regard qu’il te lance tandis qu’il se relève ne laisse que peu de place au doute. Il est sans doute submergé par tout un tas d’envie de te faire taire ou arrêter ton petit jeu machiavélique. Son regard est lourd de sens et son pas se fait provocateur. Il répond à ton jeu par le jeu et ton sourire redouble face à cette vérité.

Sourire qui ne resta pas longtemps lorsque le mur sur lequel tu t’étais adossé se transforma en gelée. Et parce qu’il avait une dextérité qui n’était plus à prouver, tu te retrouves trempée des pieds à la tête. Tu lâches un soupire mais ton regard se fait encore plus joueur. Ton sourire s’étire lorsque sa provocation parvient à tes oreilles.

Tu ne réponds pas immédiatement, tu feins une indifférence totale – à la limite de la femme vexée que tu aurais pu être en d’autres circonstances. Avant de t’occuper du cas que représente son matricule, tu te décides à sécher tes vêtements. Ce n’est pas qu’il fait froid, mais trempée jusqu’aux os il est probable que tu te mettes à grelotter rapidement. Un #Consectetuer Dryer plus tard, tes vêtements ont retrouvés leurs conforts d’antan et tu es désormais prête pour régler son compte à l’impétueux qui a osé te faire prendre une douche en pleine nuit.

Alors ton sourire s’agrandit, et tu balance, tout feu tout flamme mais sans sortilège faisant appel à cet élément « Electrocorpus ». Tu ris de la vanne que tu t’apprêtes à faire alors que le sortilège s’apprête à toucher ton compagnon « Surprise, un coup de foudre est si vite arrivé ». Rapport à votre relation et tu es certaine qu’il comprendra l’allusion à votre couple.
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Re: Un coin à l'abri des regards
Mangemort 08, le  Ven 27 Oct - 15:07






Tu regardes ta moitié qui arbore un grand sourire à ta provocation. Avant de prendre un visage fermé, comme si elle était en colère après ce que tu lui avait fait. Mais tu ne te laisses pas distraire, tu gardes ce même regard sur elle qui la transperce, comme ces idées pour la suite des événements qui résonnaient délicieusement dans ta tête.

Pourtant une partie de toi reste persuadée qu'elle ne s'arrêtera pas là-dessus. Tu l'observes se dépêtrer de la gelée, et tu la vois se lancer un sort pour sécher ses vêtements. Tu avances tranquillement vers elle et tu souris en voyant son visage qui de nouveau s'étire.

Et tu entends son incantation, affichant un air de surprise. Mais déjà le sort arrive à toi. Tu lèves ta baguette en l'entendant parler, te prépare à informuler un Proté... Trop tard. Le sort te touche de plein fouet et tu encaisses une décharge suffisamment forte pour te secouer tout le corps et te faire tomber un genoux à terre. Ta main se desserre et ta baguette tombe.

Tu restes un instant ainsi, ta main gauche devant tes yeux et ta droite contre ton corps. La décharge avait du mal à passer. Sans le sortilège que tu aurais certainement rigoler à sa blague, mais là tu n'avais pas envie de te marrer. Tu récupères ta baguette, et te relèves lentement, fermant les yeux avec cette désagréable impression d'avoir été sonné.

- Whaaaa... c'était... Electrisant... Je l'ai pas vu arrivé celui-là...

Cette soirée tournait étrangement. Tu bouillais intérieurement, de faire respecter ta loi, de la rendre folle de toi comme elle te rendait fou à cet instant. De la rendre électrique. Mais avant tu ne pouvais pas laisser les hostilités là. Elle gagnait sur toute la ligne. Alors tu réfléchissais à un sortilège pas trop violent à lui renvoyer.

Ton regard posé sur elle, à la fois la défiait rageusement, comme la dévorait passionnément. Pensées confuses, folles, raison abandonnée. Sourire en coin. Chaleur dans le corps, les veines criaient, des couplets interdits.

Alors tu balances un Confringo sur le mur juste derrière elle pour le faire voler en partie en éclats. Pas de quoi l'exploser complètement non, juste histoire de faire voler quelques morceaux de pierre. Tu enchaines avec un Abyssum Appa à ses pieds, pour essayer de la faire tomber alors que toi même tu recules de quelques pas.

- Alors tu as du mal à tenir sur tes jambes ? La foudre t'aurait-elle fait perdre tes moyens ?

Sourire joueur. Pas encore. Ou peut-être que si. Tic Tac. L'horloge tourne. Le jeu avance et les règles changent, à chaque provocation, à chaque regard, à chaque sourire. Chemin où Complicité joue aux échecs avec une dose de Piment, face à Passion armée d'un soupçon de Folie.
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Re: Un coin à l'abri des regards
Invité, le  Mer 1 Nov - 1:01

Tu te marres, mais d’une puissance folle. En vrai, si t’avais 5 ans, il est peu probable que tu te marre autant. Juste que là, le prendre de court, le voir trébucher, tomber, c’est fendard. C’est totalement idiot et il y a de grandes chances pour que tu payes ton geste un peu plus tard. Genre d’ici quelques secondes en gros. Tu le regarde se relever, et tu sens, dans son regard, qu’il y a quelque chose de différent.

Il ne veut pas te laisser gagner. Son regard est celui du conquérant qui est prêt à tout pour abattre l’ennemi, remporter le jeu, rafler la mise. Alors tu le défis du regard, ton sourire se fait plus triomphant encore – quand bien même tu sais que cela ne durera pas. Parce que tu comprends, qu’il prépare sa revanche. Qu’il prendra le dessus sur toi, il a l’avantage des combats acharnés en pleine rue, alors que toi … toi ? Tu n’as que les entraînements en salle, tu n’es pas supposé te battre à ciel ouvert. Enfin … ton but est plutôt la protection des populations on va dire.

Alors que tu es à ta réflexion, lui ne se fait pas prié pour balancer ses sortilèges, et tout vole en éclat. Tu perds l’équilibre et tu vacilles en arrière, ton crâne heurte une pierre aiguisée et tu sursaute, prise d’une convulsion. La chance et toi … tu le savais, lui non. Lorsque tu fermes les yeux, ton visage exprime un dernier sourire, tandis que tes paupières t’offrent tes derniers instants de vie.

Non, bon, tu as peut-être un peu exagéré la situation. Tu tombes, parce que déjà de base tu n’es pas adroite sur tes deux jambes – alors quand le sol se met contre toi, c’est encore moins évident, forcément. Alors tu es là, vautrée par terre. Mais non, ton crâne ne se fendille pas en de multiples endroits (la narratrice tiens à souligner que le crâne est déjà fendu de part en part). Tu accuses le choc, lentement. Avant de reprendre pied à la réalité et d’éclater d’un rire cristallin. Parce que tu te rends compte qu’il est doué. Et parce que tu aimes ça aussi.

Tu te relèves, rattrape ta baguette laissée tomber à terre et tu balances, sans nécessairement regarder l’endroit où il est, un « Fustigeaflamma ». Un long fouet enflammé claque dans les airs, et tu le regarde, machiavélique, prête à abattre cette dernière carte. Sans sentir le filet de sang qui sort de ton oreille, et qui vient inonder tes cheveux blonds d’un rouge profond.
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Re: Un coin à l'abri des regards
Mangemort 08, le  Mer 1 Nov - 10:57






Tes sorts ont fait mouche. Tu la vois vaciller, tomber en arrière comme une feuille morte. L'espace d'une seconde, un fragment de peur, tu espère qu'elle va bien. Un tremblement qui te parcoure, parce qu'au delà du jeu, tu ne veux pas lui faire du mal. Pas comme ce jour... Cette nuit...

Son nouveau rire te rassure, enlevant cette part de peur qui s’évanouit comme des volutes de fumée disparaissant dans l'air. Tu affiches un sourire, toujours naviguant entre le jeu, la provocation, le désir. Ce subtil mélange où peuvent se perdre des Mondes pour les voir ressurgir avec encore plus d'ardeur.

Tu l'observes se saisir de nouveau de sa baguette, lui laissant le choix, ou de poursuivre les hostilités ou de les interrompre. Elle déciderait de la teneur du paragraphe suivant. Tu ne lâches pas ses yeux, y voit les résonnements de malice, cette même envie qui brûle, qui la ravage certainement.

Et elle réplique, faisant apparaître un long fouet de feu qui claque juste à ta droite. Ton regard la quitte pour se poser sur la langue ardente qui aurait pu te heurter directement, te demandant ce qu'elle souhaitait faire à la lueur de cette chaleur. Pensées d'emprisonnement, nouveau sourire joueur à son attention.

Transférant  ta baguette dans ta main gauche, tu étends ton bras droit sur le côté, le gardant tendu, sentant le bracelet de cuir au bout de ton poignet.

- Vas-y !

Comme pour lui dire « Attire-moi à toi si tu l'oses ! », n'oubliant pas que la fois précédente elle t'avait expulsé loin d'elle. Là, tu ne lui donnerais pas ce plaisir. Tu voulais juste qu'elle ait les rênes, avant de lui reprendre. Étrange sensation qui te parcourait.

L'envie de contrôler. Jeu de mains, jeu de regards, jeu de sourires. Avant jeu de soupirs ? Tu n'as pas dit ton dernier mot loin de là. Tu espères, qu'elle répondra. Enrobage de douleur sur envie de douceur. Tiraillé là où les émotions dinaient avec les Prestataires du cœur, Folie, Raison, Logique, Passion.
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Re: Un coin à l'abri des regards
Invité, le  Jeu 2 Nov - 15:44

Ton fouet claque dans l’air, et il répond à ta provocation par un « Vas-y » annonciateur d’un épique duel. Tu penches ta tête sur le côté, pas certaine de comprendre ce qu’il attend. Et puis tu remarques son bras tendu, sa baguette qui a changé de main. Un sourire malsain se dessine sur ton visage, il veut jouer, il va perdre. Tu éclates d’un rire délicat alors qu’à nouveau le fouet enflammé rugit sa colère au-dessus de vos têtes.

Tu murmures, à son attention « Attention à toi alors … » et ton regard s’enflamme. Tu n’es pas certaine, pourtant, qu’il ait entendu ta mise en garde. Ton sourire éclatant devrait pourtant le mettre en alerte, en garde. Te penses-t-il incapable d’aller au bout de ton idée ? Un mouvement de poignet et le fouet claque à proximité d’Evan, tes pensées machiavéliques prennent le dessus.

Nouveau vacillement, tes jambes ont visiblement décidées d’être un peu fatiguées. En vrai, tu ne t’en préoccupe pas, intéressée seulement par l’homme face à toi. Tu portes rapidement la main à ton oreille, et tu constates avec amertume que ton sang a à nouveau décidé de se faire la malle hors de ton corps. Etrange comme il te parait gluant, collant à tes doigts et à tes cheveux, que tu repousses derrière ton épaule pour la peine.

Ta main toujours figée sur ta baguette – fouet, tu le lances dans les airs, incapable de savoir dès lors s’il s’abattra ou non sur le poignet du bien-aimé. Une seconde de latence, de douceur, de calme dans les actions, comme si  le temps s’était figé en slow-motion, attendant ta sentence. Et tu abats ta main, d’une délicatesse mesurée. Tu constates le fouet qui s’enroule autour du bras d’Evan, pas sur la peau nue de son poignet, mais sur son avant-bras, là où une couche de vétêment réduira l’étendue de la brûlure.

Un sourire se dessine à nouveau sur tes lèvres, ta langue passe sur tes dents, signes annonciateurs de ta victoire très proche. Et soudainement, tu fais revenir le fouet, bousculant quelque peu Evan qui se rapproche de quelques mètres. Tu finis par le libérer de l’étreinte non voulu avec ton arme et tu figes ton regard dans le sien, annonçant au passage un « Alors Evan, tu as perdus tes mots ? ». Tu te fais provocatrice, une sorte de réponse au jeu qu’il a mis en place quelques instants plutôt.
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Re: Un coin à l'abri des regards
Mangemort 08, le  Sam 4 Nov - 21:37






Tu attends, sans ciller un seul instant, soutenant son regard, qu'elle agisse. Tout en toi te conduisait à cela. A jouer. A la séduire. A la provoquer. A grignoter un peu de ce quotidien entre vous pour y mettre ces épices enflammées. Complicité entre Douleurs et Plaisirs.

Elle éclate de rire, et t'offre de nouvelles paillettes colorées à tes pensées en fusion. Tu la vois manipuler le fouet, tu attends simplement, sans te dévêtir de ce sourire provocateur que tu lui adresses. Un "Attention" échappé de ses lèvres, comme un prisonnier libéré sous caution.

Tu vis de ses expressions, et tu restes impassible même quand elle fait de nouveau claquer le fouet juste à côté de toi. Puis un moment de flottement, où elle sembla perdre légèrement l'équilibre, prenant quelques secondes, touchant la légère blessure qu'elle avait à la tête.

En enfin vient, le moment où elle joue cette carte, la suite du jeu que les étoiles au-dessus, ne semblait pas saisir les fragrances délicates. Ton bras se retrouve entouré, et malgré le tissu, tu sens immédiatement la chaleur qui vient avec, comme si tu avais glissé trop rapidement tes mains sous l'eau sans avoir testé sa température avec des gestes furtifs. Tu sens le tissu qui se rétracte, la chaleur qui te marque.

Et un coup sec, qui te tire vers elle et manque de peu de te faire échouer au sol. Le fouet desserre son étreinte et tu secoues ton bras comme si la brûlure pouvait partir ainsi alors que tu savais très bien que ça ne pouvait pas être le cas. Tu serres les dents un instants, sentant très bien que ton bras ne serait pas sans garder des traces de la langue de feu.

Yeux dans les yeux, comme un temps mort avant que ne reprenne l'affrontement, elle lance une nouvelle note taquine. Tu rigoles, clairement, à en faire oublier cette démangeaison nouvelle sur ton bras l'espace de quelques secondes.

Les Douleurs étaient suffisantes.

Se chevauchent sur des décors somptueux, des trésors parfumés d'élégance et de sensualité, un Tome deux, qui serait la pansement et la morphine, le flacon et l'ivresse, pour que tes sens et les siens finissent cette danse qui n'avait nulle autre semblable.

Désirs carillonnent en battements,
Tes yeux brûle de Passion,
Ton sourire parle, cri,
A ta place les quatrains déchirés,
Interdits,
Omis,
Condamnés,
Là où Tout respire,
Et clarifie l'Essentiel.le.

Tu éteins ton rire dans un mordillement de ta lèvre inférieure, tu sentais ce courant qui courait dans tes veines. Celui qui donne la couleur aux images, les paroles aux chants, les feuilles aux arbres, les embruns aux vagues, les colères aux volcans, les sourires aux saisons, aux sens ce qui se rapproche de la Raison.

Ta main gauche se lève, baguette sur elle

- Incarcerem... prononcé, à peine voilé, comme la corde de l'Attachement à l'Autre.

Tu vois les liens qui surgissent autour d'elle, l'entourant au niveau des jambes, de la taille et du buste, emprisonnant ses bras en même temps. Ton sourire s'étend, pendant que tu combles les mètres qui vous séparent encore, qui séparent l'Accord.

- Mes mots...

Tu t'approches d'elle, regarde le côté de son visage entaché de sang, et ses quelques mèches de cheveux qui n'y avaient pas échappé. Ta main droite va chercher la sienne, tes doigts comme caressant chacun des siens tour à tour, et tu te retrouves avec son sang sur tes doigts.

...Je n'en ai plus qu'un...

Ton visage prêt du sien, le souffle accéléré, se mêlant à celui de ta belle. Tes émeraudes dans ses noisettes, ton regard fiévreux lui clames autant de mots qui pourraient chacun, enflammer une partie de ses sens, de son cœur, de son corps.

...Un seul petit mot...

Levant juste ce qu'il faut ta baguette, tu abolies les cordes autour d'elle, juste avant que ta fidèle amie ne tombe au sol. Miroir d'une soirée inoubliable. Tu t'avances vers elle, elle recule, jusqu'à être contre le mur en partie détruit. Ta main gauche s'empare de sa droite encore ensanglantée. Et vos mains et doigts noués se retrouvent contre le mur. Tes yeux la dévorent. Tes gestes la consument. De ta main droite, tu effleures de tes doigts son front, et laisse une caresse sur sa joue, laissant une fine trainée de sang. Tu repousses une mèche de ses cheveux, laissant alors ta main à sa nuque.

- ...

Un murmure pour elle, un seul mot, de trois lettres, qui semble avoir été emporté par le vent. Mais elle le savait. Et tes sens, et son sang, déjà étaient sortis des sentiers battus, là où les implosions emportent et saisissent, fracture et consolident, déchirent et tissent, les émotions comme les sensations. Dualité enchainé.

Le mot fut envolé, par la seconde qu'il fallut, pour que ce qu'il restait de distance entre vous n'existe plus. Pour que tes lèvres retrouvent les siennes, pour un baiser à faire frémir les tempêtes, à faire jalouser les orages. Un imbibé d'une passion folle, née dans ces envies démesurées qui te consumaient, comme tu avais envie qu'elle soit consumée. Au bûcher de vos Désirs.

Quand ne parlaient plus que Plaisirs.
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Re: Un coin à l'abri des regards
Invité, le  Mer 15 Nov - 0:03

Il y avait des regards plus enflammés que d’autres, plus perturbants aussi. De ceux qui vous font fondre à l’instant même où vous les croisez. Evan avait un don pour ceux-là, ses émeraudes qui te transpercent de part en part alors que, victorieuse, tu affiches un sourire satisfait. Il se mord la lèvre et ce geste te fait perdre la raison en une fraction de seconde. Tu l’observes, la tête légèrement penchée, qu’il lève sa baguette vers toi. Un air de stupeur passe dans tes yeux, avant de comprendre que tu ne gagnerais jamais face à lui.

Les cordelettes s’amènent à toi à vive allure et tu n’as guère le temps de réagir. Te voilà à sa merci, livrée à ses envies. Le sourire qu’il arborait plutôt s’étire davantage alors que la distance entre vous se réduit. Ton rythme cardiaque accélère légèrement – sans doute l’adrénaline de votre combat des instants plutôt. Il te parle, et tu entends, sans comprendre pourtant au début. A mesure que ses pas le rapprochent de toi, tu finis par saisir l’ampleur de son envie. Lui seul sait allumer ce feu dans tes yeux, cette incandescence sur tes lèvres, cette envie, lancinante, douloureuse, que de lui appartenir.

Il te fait face désormais, avec un regard sans équivoque. Avec des gestes qui envolent les derniers doutes – si tenté qu’il en existait encore après ses paroles. Ton cœur bat la chamade dans cette poitrine qui semble trop petite pour contenir un autre looping du genre. Tu inspires, tentant de reprendre le contrôle de ton corps qui t’échappait complétement, perdu au moindre charme du ténébreux brun face à toi. Tu déglutis, parce que rien ne te retiens à la réalité où tu étais victorieuse. Vos souffles haletants se mélangent, s’échangent, et tu humes sans difficulté les effluves enivrantes de son corps.

Tes yeux cherchent les siens, contemple ce visage aux traits si parfaits. Sa main passe de tes cheveux à ta joue, et tu frissonnes à ce contact, fermant les yeux sur son passage. D’un mouvement simple, les cordes tombent à vos pieds, bientôt rejoint par sa baguette. Il se rapproche encore de toi, tandis qu’instinctivement tu recules. Ton dos rencontre le mur, qu’il épouse dans une osmose parfaite alors que vos deux mains s’enchevêtrent ensembles, liés à jamais par votre passion brûlante, dévorante. Tu frissonnes alors que ses lèvres rencontrent les tiennes. Et tu te déchaines sur la même partition qu’il semble vouloir te jouer, ta main libre accrochant sa nuque et l’une de tes jambes venant se crocheter à la sienne, comme pour lui dire « Je te retiens prisonnier ». Pourtant, tu savais pertinemment que c’était lui le geôlier, et toi sa prisonnière. Étonnamment, pour lui, tu aurais été prête à te damner, à damner tous les saints portés sur la terre s’il avait fallu, juste pour que perdure quelques instants de plus cette chamade de ton cœur.

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Re: Un coin à l'abri des regards
Mangemort 08, le  Mer 15 Nov - 20:20






Tout vole en éclat, toutes les définitions qui ne sont plus que des illusions. Désillusion. Les sens décomposent. Vos essences composent, l'Attirance. Ce fil entre vous qui rend ivre jusqu'à la démence. Apparence de Délivrance ! Parce qu'Elle. Parce que Tu. Parce que Vous. Partition qui rend bien des êtres fous !

Mais Tout, se définit, entre vous rien n'est fini. Non, tout commence, Renard et Loup en cadence ! Sur ce piano au-dessus de vos têtes. Les étoiles qui semblent être en fête. Le ciel s'est vêtu de ses plus beaux atours, pour acclamer de votre Passion le détour.

Tu la regardes, ton cœur bat à tout rompre. Tes gestes s'attardent, sur sa peau entre les ombres. Tu dessines des caresses délicates, qui lui crient des milliers de braises, sur son visage d'albâtre, sur ses courbes qui t'apaisent. Elle est ton Enfer, et vers le Paradis, tu veux te lier à elle par des fers, jusqu'au lendemain après la nuit.

Elle représente Tout, tes yeux vont à sa conquête, tu laisses tes mains courir partout, elle est de ton Désir la seule quête. Les étoiles sont autant de notes, que de soupirs que tu veux lui arracher, comme ces gestes qui transportent, ses lèvres que tu veux enlacer.

Baiser passionné, le sang, la Folie, la Raison se mélangent, les cœurs sont ovationnés, les émotions sont aux anges. Quand tu embrases ses lèvres, les océans rugissent, les volcans s'élèvent, les Plaisirs se tissent.

Tout se tait. Comme si le monde, observait, ses secondes, à vos langues enflammées, à vos salives mêlées. Et ses doigts sur ta peau, accroche partitionnée, plus de barrières, quitter le berceau, vers les sens déliés. Sa jambe entoure la tienne, le jeu est fini, vos mains toujours comme une chaine, vers votre Infini.

Ta main libre s'aventure sous ses vêtements, sur son ventre que tu épouses, tes lèvres à son cou ardemment, laisses ta langue à sa peau jalouse. Tu repousses le tissu de sa poitrine, que ta main enveloppe fermement, et ta bouche en coquine, va à son oreille gauche farouchement.

En même temps que tu mordilles son oreille, ta main descend de ses courbes exquises, et va explorer le jardin sans pareille, où tu joues avec des mouvements qui attisent. Le feu, les désirs brûlants, là où s'écoulent les cascades de délectation, où tes lèvres pourront déclencher l'ardent, le Palais agité qui fait voler les sensations.

Une pause prend place, à vos souffles qui s'unissent, vos mains se délacent, vos regards s'enlisent. Dans les tréfonds des soupirs désireux, entre le sang et la douleur, s'est éteinte l'heure du jeu, ne subsiste que celle qui accorde vos cœurs.

Tu l'aides à se défaire de ses vêtements, ses mains se projettent sur les tiens, les tissus ne furent que souvenirs rapidement, et se retrouvèrent vos mains. Elle plaquée contre le mur, ton corps contre le sien en fusion, plus de semblants, plus d'armure, juste les cris de vos sens en effusion.

Un instant les émeraudes et les noisettes chantent, accord vibrant qui donne les percussions, voués à l'Autre en plaisirs sur les pentes, où seul en maître dirige, l'Abandon. Et dans l'Intense se retrouvent vos bouches, les cœurs déjà poussent des cris, des doigts mêlés, les autres à actionner les touches, de sa perdition que tu écris.

S'échappent dans la nuit de ses lèvres, sous la contemplation des étoiles, des soupirs, des murmures qui se perdent, vers la Damnation et sa toile. Aux portes des laves qui enflamment les veines, vous vous apprêtez à être Un dans l'Union, regards de braises dont les flammes sont la Peine, Passion, Folie et Déraison votre Condamnation.

Deux mains à nouveau mêlées contre le mur, tes autres doigts à son bonheur, partis sous les effluves de la luxure, à déclencher un orage salvateur. Et toujours dansent ensemble vos langues, la nuit seule se pose en témoin, à votre Monde qui les harangue, où la Décence se perd aux mains...

Tu quittes ses lèvres pour aller à son épaule, que ses soupirs étouffés s'écrient, la mord en même temps que s'envole, la cadence lente des Envies. Déjà sur la scène viennent des frissons, prêts à l'osmose sont vos corps, sensuelle parade d'évasion, Elle ton piano et Toi l'accord.

La chaleur entre vous se répand, tu romps votre baiser et porte tes doigts humides à ses lèvres, plaisir consumé, consommé, et s'étend, un peu plus le lit de l'ivresse et des rêves. Et tu soulèves les cuisses de ta belle, contre le mur la plaquant, vos nez se touchent, vos expiration s'emmêlent, au carrefour délivrant.

Les reins donnent la première note, la lune griffonne dans les nuages, comme si elle voulait donner son vote, elle spectatrice de cette page. Où en va-et-vient s'assemblaient les mots, l'encre se chuchotait en Interdits, dans l'Instant s'estompaient tous les maux, seul résidait de votre Amour le fruit...
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Re: Un coin à l'abri des regards
Invité, le  Sam 18 Nov - 15:01

Des échanges passionnés et passionnels alors que dans vos cœurs, dans vos corps demeure cette même envie. Envie d’appartenance, d’embrasement. Appétence pour cet autre qui fait battre les sens, qui attise les brasiers. Liaison dangereuse, pleine d’envoutement, où seule persiste la violence de vos sentiments qui s’entrechoquent. Souffrance délicieuse que de réclamer toujours plus cet attachement, cet emportement. Qui bouscule tout sur son passage, tel un ouragan de sensation, d’émotion qui emporterait sur son passage les plus solides raisons et logiques.

Tu es là, perdue à ses gestes, à ses mots, à ses lèvres sur ta peau. Des soupirs d’expiation, le jeu ayant fini, les gagnants ayant été désignés. Vous deux, sur l’autel de vos délires, de vos troubles, de votre amour. Il bousille tes sens, te révolte, ton corps est en plein implosion. L’explosion n’interviendra que lorsque vos deux corps auront atteint l’apothéose, de concert. Tes soupirs se meurent au creux de son cou, de ses oreilles que tu mordilles délicieusement. Délaissant parfois ton œuvre pour lui murmurer des soupirs d’où s’expire son prénom. Délicieuse synergie entre vous deux, deux âmes qui se lient, qui s’aiment, se possèdent et s’attirent.

Tes murmures qui se meurent à tes lèvres endolories de l’avoir trop embrassé. De le vouloir corps et âme, à toi pour toujours. Et comme un besoin viscéral qui ravage tout sur son passage de ta raison à ta logique, tu te laisses entraînée sur des rives de plaisir. Ondulations divines qui prennent possession de toi, de ton corps. Langoureux échanges avec l’homme qui te possède et t’appartient. Ton regard contre le sien, s’entrechoquant les prunelles émeraudes et ébènes. Doux accords tantôt passionnels, tantôt violents, mais toujours divins.
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Re: Un coin à l'abri des regards
Mangemort 08, le  Lun 20 Nov - 0:25






Tornade des sens, qui se perdent en criant, tout ce que vos corps en accord expulsent en refrains passionnants. Ses soupirs t'enchainent, tu y es accroché et ils résonnent dans ta tête comme une invitation à la combler, toujours un peu plus. Tutoyer cet Eden, ses gestes, ses lèvres tes chaines. Carillon de vos émotions.  

Toujours plus de désirs, plus de plaisirs, et tu vas à sa bouche lui offrir. Entendre ses lèvres gémir, ton prénom qui s'élève, au milieu de la musique que vos corps bouillants fredonnent. Les sensations donnent, ce courant qui emporte, vous souffles et mots éteints à votre porte. Marquée d'un "I" brûlé, comme vos veines entièrement de l'Autre imbibées.

Chaque seconde est extase, tu laisses toi aussi des gémissements à ses baisers enflammés. Délicieuse phrase, chacun de ses gestes prêt à te consumer. Dessert de la Tentation, explosent les barrages, complainte soupirante en insertion, tout prend vie à votre étalage.

Et cette envie toujours plus dominante, de la posséder, de faire d'elle un ardent brasier, un volcan où Tendresse donnerait la réplique à Passion. Où Douceur et Sauvagerie seraient un même son. Comme chaque fois que se croisaient, base de votre mélange, vos langues endiablées, à éteindre toute apparence d'ange.

Elle toujours portée, toujours plaquée, tes mains partitionnent, sur son corps des caresses prononcées. Comme des petits frissons de désirs à lui envoyer. Décharges qui alimentent les corps, pulsions aux effluves bestiales, les battants s'envolent, explosent en sueur les étoiles.

Et vos lèvres qui toujours se retrouvent, les siennes calice suprême, dans votre union où elle est Reine, sur cette association qui vers le bonheur s'entrouvre. Demeure sans frontières, seuls vos imaginaires, en hérauts des lieux, vers le territoire de vos cieux.

Tantôt tu la mords, toujours ce même accord signé, ce plaisir partagé, à naître à l'encre de votre décor. Elle ton Autre, dont tu voulais satisfaire, repousser, la moindre envie ou esquisse entrevue d'un paradis interdit, murmuré, comme une page griffonnée de teintes jusque là révulsées.

Ralentissement de la cadence, comme pour qu'elle souffle quelques secondes, oscillation du monde, tes lèvres à son cou et tes mains joueuses à titiller ses sens. Son bassin t'enserrant, réclamant, ses soupirs que tu viens de souffler, comme une bougie qui ne demande qu'à de nouveau se consumer.

Tu embrasses ses joues et son sang, à nouveau à ses lèvres te liant, un soupir s'échappe, nouvel horizon qui happe. Une autre rencontre au bord de la rivière, dans laquelle tu navigues sur plusieurs rythmes, enivré par l'envie qu'elle se perde, dans votre océan symphonique.

La symphonie s'ouvre sur l'Acte I, Douceur, alors que déjà sont essoufflés vos cœurs.
Puis l'Acte II entre en scène, Ardeur, aux tremblements qui se perdent en cris dans la nuit.
L'Acte III, Passion Brûlante, enveloppe à l'air vrai votre fusion de désirs écorchés.

Le mur à sa chair, vos deux êtres ne faisant qu'un, la musique s'emballe dans les airs, comme les cris en refrain. Continuer dans l'Intense, quand s'écrit l'acte IV, un plaisir dans l'Absence, votre Amour comme théâtre...
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Re: Un coin à l'abri des regards
Invité, le  Jeu 23 Nov - 15:43

Désirs acharnés se muent en plaisirs inégalés. Vos deux corps qui se séparent, après l’osmose, et vos regards qui se croisent, charmés, charmeurs. Pour lesquels pourraient s’envoler de multiples mots, mais où seul un rire persiste. Rire joueur, que de le voir ainsi – de vous revoir ici, vous battre puis vous ébattre. A savoir lequel serait le gagnant et qui se verrait le titre de perdant. En perdition de vos sens, vous ne vous étiez pas spécialement aperçu que vous étiez toujours en pleine rue de Pré-au-Lard.

Et tu laisses à nouveau s’enfuir un rire alors que tu saisis sa main, ne prêtant pas garde qu’il s’agissait du poignet qui, quelques instants auparavant, avait subi la chaleur de ton fouet. Tu laisses un délicat baiser s’enfuir au creux de sa paume, avant de dire « Nous devrions rentrer avant que … » tu laisses un silence passait alors tu éclates d’un nouveau fou-rire pour finir ta phrase « Avant que quelqu’un nous voit ici ». Tu abandonnes donc sa main et t’écartes de lui un instant, avant de lui tourner le dos, et de transplaner dans l’une de vos demeures, non sans un dernier regard pour lui.

- Départ d’Elly -
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Re: Un coin à l'abri des regards
Mangemort 08, le  Jeu 23 Nov - 18:43






Carrosse d’Évidence avait terminé sa route. L'union de vos sens avant le fruit de la délivrance. Vos soupirs partagés, emmêlés, nœuds d'un rouage délicieux, conduisant au Somptueux. Elle Somptueuse, et Déesse, à ses lèvres l'Heureuse, avait son adresse.

Et toi en artisan, poète ou compositeur, à son corps toujours accrochant, des tempêtes frissonnantes l'Ardeur. Vos corps se détachant, mais toujours en fusion, de ces merveilleuses attaches, quand vous étiez vers l'Abandon.  

Les Émeraudes sont noyées dans le Bois, tout autour semble ne plus exister, Elle pour Toi et Toi pour Elle comme le choix, qui apporte l'Amour et aux jours l'envie de persister. Et son rire s'envole, à perforer la grandeur de la nuit, les étoiles qui convolent, aux souvenirs que vous leur aviez écrits.

Aucune Logique entre vous, pas un mot réellement pour définir, ces brises sur votre monde fou, sur vos sentiments à n'en plus finir. Elle vient lentement s'emparer, de ta main au poignet encore criant, du feu qu'elle avait envoyé, quand vous étiez au combat enivrant.

Tu retiens un rictus de douleur, te mordant un peu la lèvre, mais son baiser dans la paume se fait douceur, dont tu t'imbibes de la sève. Elle qui avait la particularité d'apporter les couleurs, à tes journées avant ternes, elle qui faisait rugir ton cœur, allumé par sa seule lanterne.

« Nous devrions rentrer avant que … »

Un nouveau rire d'elle vient faire naître, sur ta bouche un sourire, un de ceux qui définit « Être », quand « Avoir » en parlant d'elle sait te suffire. Il était vrai que la situation, que les étoiles avaient immortalisée, pouvait prêter à confusion,  exhibitionnistes vous étiez.

Tu éclates toi aussi de rire, en imaginant quelqu'un vous ayant vus, vos sortilèges puis vous unir, âme chaste pourrait y perdre la vue. Tu jettes ton regard alentours, comme si d'un seul coup tu t'en souciais, avant de lui rendre ses affaires puis à ton tour, commence lentement à te rhabiller.

Soirée s'était déroulée sous l'auspices, de vos jeux qui étaient une mélopée, où chaque sonorité était Délice, de vos corps à l'Autre amouraché. Récupérant tout ce qui trainait, tu saisis son dernier regard, après elle t'apprêtant à transplaner, pour jusqu'au bout de la nuit suivre ton Renard...

Just ~ End ~ You.
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Re: Un coin à l'abri des regards
Nyx Spero, le  Dim 3 Déc - 4:52

RP Unique


Tour de Garde - Décembre



Un village. Une rue. Des inconnus.

Il faisait froid. Très froid. Mon manteau me réchauffait à peine et j'en avais déjà marre. Marre d'être ici alors que je pouvais être ailleurs. Ailleurs, oui. N'importe où. Mes souvenirs étaient confus sans que je ne sache la véritable raison de ce problème. Un problème qui n'existait pas à mes yeux...

Mon torse me faisait mal. Je ressentais une douleur atroce, mais je devais faire comme si de rien n'était et me contenter d'observer si des choses intéressantes se produisaient. J'étais dans une rue plutôt sombre, à l'abri des regards curieux. Je fumais toujours cette cigarette qui allait peut-être causer ma mort un jour, si je n'étais pas frappée par un sortilège avant. La fumée se formait, puis disparaissait comme à son habitude.

Mon badge d'auror était accroché sur ma poitrine. Mais, j'aurais préféré l'enlever, préférant rester dans l'ombre. La nuit commençait à tomber. Quelques goûtes de pluies commençaient à se montrer. J'aurais dû rentrer chez moi au plus vite, mais, une petite voix intérieure m'obligeait à rester-là. À observer le vide. Attendant qu'un évènement sordide advienne...



HRPG : Le sous forum "Pré-au-Lard" est désormais surveillé.
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Re: Un coin à l'abri des regards
Invité, le  Sam 16 Déc - 16:38

RP privé avec Mungo Gunn

Aujourd’hui la jeune femme avait décidé de passer du temps seule avec elle-même. Marchant tranquillement dans les rues de pré-au-lard elle s’était retrouvé ici par pur hasard. Incertaine, elle s’avançant tranquillement. Le soleil était encore dans le ciel, visible, même si ce dernier s’apprêtait à se coucher bientôt. Éventuellement, elle devrait penser à amener Ethan ici… Souriante à présent, Alicia se dirigea vers le petit banc au bout du chemin et s’y assit. La vue était tout de même agréable et c’était parfait pour rester tranquille un moment. Elle leva la tête légèrement, regardant au loin, tandis qu’elle ouvrit finalement sa bouche pour chanter tranquillement la chanson qu’elle avait chanter devant Ethan. Alicia qui aimait particulièrement cette chanson, l’aimait encore plus à présent. Ici, dehors et seule, elle pouvait se laisser aller. Aucune crainte de déranger qui que ce soit. Sans peur de déranger ou de se faire entendre, Licia ne s’empêcha pas de chanter haut et fort. Steinfield avait fait plusieurs concours de chant jusqu’à présent et préférait souvent séparer sa vie de sorcière et celle chez les moldues.

Tandis qu’elle chantait, un petit chaton s’était approché d’elle doucement, pour finir par s’asseoir sur elle à son plus grand plaisir. Ce dernier était tout petit, sans doute encore un bébé. Avec le temps qui devenait plus froid, Ali ne put s’empêcher de penser sincèrement à le ramener avec elle lorsqu’elle rentrerait…

Elle resta donc là caressant le chat d'une main et chantant pour elle et ce dernier.

Alicia's song
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