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Harry Potter 2005 :: ~¤~ Académie de Poudlard ~¤~ :: Les couloirs :: Bibliothèque
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La nuit dans la bibliothèque
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Re: La nuit dans la bibliothèque
Invité, le  Lun 9 Jan - 22:45


Apprend,
Aux dépends,
Des tourments,
Persistants,
Irritants,
Enseignant,
D’un instant
Un moment
Du Présent.


Jeu d’observation de l’autre, de piste, dans le boum-boum des cœurs erratiques : les chœurs fanatiques, sur le Tempo donné. A tris suivre le métronome, on oublie les pas de côté : les pas du chemin divergent, celui où la route n’est pas tracé dans les herbes et les fourrées. Celui où les cailloux écorchent les pieds par milliers. Celui où le pénitent, à genou, pieu et abaissé, apprend l’humilité, sous la course du soleil dans son Ouranos des Lendemains. Il voir et espère le matin, sans compter sur son chagrin. Fardeau d’un autre temps, que ce ballet à quatre temps, enivrant, semble porter, au présent.

Il sautille, en ressort rouillé, allant sur le côté, puis, de se prendre le sortilège en plein fouet. N’a pas vu, ou n’a pas esquivé. Sous la clarté de la Lune et l’obscurité poussiéreuse de la connaissance scolastique, il se sent protégé. Il se sent apprenant. Il se sent capable de recevoir et d’émettre des coups, à des conséquences diverses. Possibles. Capable. En être qui se fait Sujet et acteur d’une action qu’il a toujours laisser dérivé, par goût des rivages des amertumes.

Il pèle l’agrume, du bout de ses doigts, et croque dans l’orange mécanique. Sur sa chair, le rayonnage contre lequel il a trouvé l’étable. Dans la paille, il s’est endormi, et entre les lèvres, il s’en est sorti. Un roulement sur le côté, il tâche de ne pas se blesser le talon, du verre fracassé. L’alcool dans les sinus, le gras dans les cordes, et ce goût de cuivre, de fer et de rouille… Métallique… Qui lui coule dans le gosier, tandis qu’il passe le bout d’une langue ténue, sur ses lèvres déchirées.

Les sillons de sa face en sommeil, il veille, vise, surprend, et envole le #Deprimo contre un rayonnage, puis un autre, en dominos.

Le gerbiage des bibliothèques répand les bavures d’encre et de papier, tandis que son esprit ne perçoit que la trompe d’un éléphant, appelant, au clair de lune ?

Il attend, l’apprenant.


Sur son chemin, des choix : celui de la détermination au Lendemain a été pris. Celui du combat à venir, est plus timide, plus ténu, moins présent, plus sourd, dans le crâne irrigué qui bat en boum-boums chaotiques.


Le bruit, il l’effleure : imbibé de la poussière de ce savoir. Cet Inaccessible, que l’Alter lui laisse toucher du doigt.

Il n’ose, il attend.
Le moment, d’un éveil.
Evan
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Re: La nuit dans la bibliothèque
Evan, le  Jeu 12 Jan - 9:37








Deux livres qui se faisaient face, en murmures d'apprentissage, je voyais mon reflet comme un souvenir dans la glace, replongeant garçon à son âge. Le potentiel se trouvait dans les promesses, mais les promesses n'était visibles que dans l'expérience. Là était la vie, entre Demain et Aujourd'hui, parallèle à la passerelle fragile, ou l'Incertain gardait un œil averti. Dans l'ombre il était prêt à déposer une embûche, dès lors que le regard se fermait à cette voie étroite et réservée à la Persévérance.

Les livres entendirent, de la bouche de l'apprenti, une bascule venue les tirer de leur sommeil plus ou moins profond. Dès lors plus un œil pour les contempler, mais bien des pages volantes de leurs compères, qui eux aussi s'envolaient, comme des poissons à la rivière. Une première étagère, prit la balançoire créée, et dans sa chute se mit à récréer, une réplique de son alter.

Bim. Bam. Boum.

Poussière résonne dans les hauteurs, les livres crient, les couvertures et les pages saignent. Les aventures et les genres s'entremêlent, s'acoquinent en cette valse littéraire, aux plaisirs variés des siècles écrits, réécrits pour l'occasion en un chant sans frontières.

Je m'enfuis de ma cachette, bientôt ensevelie, dans cette trainée arc-en-ciel. J'en souris. Pyramide de papier. Les étagères s'étaient effondrées comme un château de cartes balayé par le vent. Les livres lancés au bûcher de notre duel improvisé.

Je n'espérais pas faire partie des personnes qui devraient tout ranger le lendemain...

Je me tenais près de la table où nous étions plus tôt. J'ouvrais de grands yeux. Bizarrement, cela m'amusait de voir ce résultat. Pourtant, j'avais du respect pour les mémoires effilées à la page. Mais ce soir, c'était différent. On ne passait nul test dans la vie sans qu'il en ressorte des conséquences.

- Bravo ! lançais-je à mon invité. Je crois que tu viens de réconcilier une partie des auteurs et des matières...

Je m'asseyais un instant sur la table, ma baguette toujours dans la main droite, vers l'Enfant. Ma main gauche récupéra la coupe sacrée, que j'ouvris pour apporter à mes lèvres son nectar mielleux. Bon, il fallait quand même passer aux choses sérieuses. Je contournais la table, tapotant de ma baguette sur sa surface. Je sifflais. L'idée était quand même de ne pas mettre feu aux livres. Hum, oui, bonne idée. Je penchais la tête sur le côté, visant sa position. Le vent pousse les livres. Le tonnerre déchire le vent.

- Electrocorpus !
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Re: La nuit dans la bibliothèque
Invité, le  Ven 13 Jan - 16:42


Boum
Tchi-tchi
Boum
Tchi-tchi
Boum
Tchi-tchi

Lentement, langueur d’un tempo de basse, en sourdine, qui se fait désirer. L’attente d’un moment présent… Alors que, bon, c’est ridicule. Le moment présent, il se vit, il s’expérimente… Il s’expérience. Mais plus question de le subir en une attitude passive, soumise, comme il l’avait toujours fait. Ou, tout du moins, une bonne grosse majorité de l’Existence qui était la sienne. Parce qu’être apathique et anesthésié au reste du monde, c’était bien plus simple. Et lui, aimait céder à la paresser pour s’embourber dans les solutions de facilité, lorsqu’il y avait besoin… Ou envie. Bien pour ça qu’il admirait Slughorn : le mec, tout de même, avait simulé sa propre mort et s’était transformé en fauteuil à dossier et accoudoir, pour échapper à ses responsabilités. C’était un Maître de l’Autruche, ou il ne s’y connaissait pas. Une véritable inspiration le type, si si.
Mais, voilà. Il ne savait pas comment se transformer en chaise. Et bien qu’il soit en présence de son émérite professeur de métamorphose, ce n’était pas cela qu’il était venu lui demander… Qu’il était venu apprendre, la nuit, dans la bibliothèque. C’était autre chose, c’était une découverte… C’était un appel du Demain. Une Tentation à porte ouverte.

Alors, hop !
A pieds-joints.
Il aimerait bien.
Trop tendu, le serpentin.
Trop-peu, trop de trop.
Pas d’assez.
Panacée de Vie.
Assez, du sel recyclé.


Oui, c’était des pensées qu’il pouvait avoir, en observant les dominos. La botanique qui s’acoquine avec l’arithmancie, et les runes qui se lancent dans un plan éphémère et nocturne, façon trois parties hégélienne avec la divination.

Boum boum boum
Lui aussi, est essoufflé. A trop pompé, l’organe impulsif.
Boum boum
Ça bat contre les tempes, et ça s’élance à toute vitesse. Il se sent champion sous adrénaline. C’est l’effet Duel. Même s’il était convaincu, qu’il ne trouverait jamais meilleur duel que celui qu’il avait disputé contre Vacuitas. Il y avait trop de « Bon », dans cette équation.
Boum, le bruit de la Chute.

Pas du Savoir, qui restait dans les boîtes crâniennes. Parfois bien ordonné, parfois pas du tout rangé. Souvent délaissé. Cerveaux-éponges du fleuron de la jeunesse sorcière britannique.
Mm mmh.

Suite à la Chute, le Mouvement : le Professeur en marche, qui s’éloigne, sort. Plus trop d’endroits où se cacher, maintenant que les cimes avaient été brisées… Ou avaient simplement effectuées une révolution. Changement de rotation : de la verticale, à l’horizontale. Métaphore sur le Pouvoir ? Tout ne pouvait être Métaphores, ou Métamorphoses… Même si ça se prêtait à l’être… Même si tout, pouvait se prêter à l’être…

La chenille, en sourcil, qui tressaute face à la prise de parole, qui rompt le rituel des sorts instaurés. Un léger sourire qui naît, pas de garde à placer, seulement une attente, presque studieuse, tandis que l’entité boit, qu’il observe, qu’il pense.
Au loin, le chant des Sélénites, à l’oreille, tandis que la Lune effectue son voyage, derrière les nuages, et parcourt le carnage d’encre et de papier.

Sifflement, qui n’est pas celui du vent. Instant de nature, coup de tonnerre, s’envole l’éclair.
Baguette à la main, tendue, position de défense depuis la relevée du professeur, il ne lance pourtant aucun sort. Calme, il reste entre deux pensées contradictoires, qui fusent en impulsions électriques spontanées : se protéger. Prendre le coup.

Il n’hésite pas, et baisse sa baguette au moment de recevoir le sortilège, de plein fouet.
Dans sa pulpe, ça pénètre en fourmillement d’électricité. Ça le fait gigoter, tomber, tandis que tout, dans son corps… Si vivant. Conscience du cours, dans les impulsions. Conscience accrue, pour lui, depuis longtemps, et encore plus. Boulons qui sautent : déconnections, puis reprise du courant, avant qui ne déconnecte. Ça lui envoie des piques dans les tropes, dans le cœur, dans les muscles. Endoloris, de partout, le cerveau en coton, et l’impression si profondément réel d’avoir vécu, d’avoir pleinement senti ce qui lui arrivait. Et de l’avoir décidé, parce qu’il aurait pu éviter ça. Peut-être. Mais il avait écouté la partie de son cerveau, que les gens préfèrent généralement mettre en sourdine. Cette partie du cerveau qui vous dit « saute ! », alors que vous êtes en hauteur, et que vous pourriez mourir, si vous l’écoutiez. Là, il l’avait écouté, et il n’était pas mort. Il avait mal, il était à terre, des gouttes qui perlent dans ses orbes de marécage, mais pas mort. Toujours, vivant.

Debout.
Autre impulsion.
Puis tressaillement, qui le fait sourire, tandis qu’en respirant, c’est de la menthe fraîche. Goût nouveau des choses, comme après le Terorim qu’il s’était pris. Comme après les grosses frayeurs, et les grosses angoisses qui se dissipent.

« - Wouw ! On peut dire que vous avez lancé une attaque éclair ! »

Il rirait bien de son jeu de mots, mais préfère utiliser l’ouverture pour une parade : #Bombarda qui s’envole, visant la bouteille au liquide ambrée. #Accio, sur la table, derrière l’entité, histoire qu’elle aille la percuter, si jamais.
Si, jamais…

Il y avait eu le temps de la parole, celui de la démonstration était là. Celui du Je-Jeu, où son côté metteur en scène piaffait, comme lors de cette rencontre romantique dans la Cabane hurlante, face au prédateur masqué…
C’était en sur-vie.
Pour se sentir sur-vivre, surplus d’une Vie pas vraiment vécue.
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Re: La nuit dans la bibliothèque
Evan, le  Dim 15 Jan - 9:07

Bas les masques. Dans ce bal masqué. Plus le temps des faux semblants. Lui, révolu. Arrive celui des décisions et des actes. Je vois mon sortilège, qui le percute comme le tonnerre marquant la terre au fer rouge. J'ouvre des yeux surpris. J'ai l'impression qu'il n'a pas cherché à esquiver. Les secousses font de son corps un jouet de plume en proie au vent. Il se fait marionnette, tombant sur le sol livré. A ses spasme livré.

Petite plume transportée, ballotée, fracassée, par les relents du temps qui dicte Sa parole. Apprendre dans la douleur, voir la vie. Ses réelles couleurs qui sont dans la Survie. J'esquisse un sourire satisfait. Ne serait-ce pour qu'il apprenne, un morceau de mon Requiem. Le phénix finit par se relever, toujours l'air agité. Enfin, je ne veux pas voir de faiblesses, la magie à son plus pur niveau en exige aucune. La faiblesse, c'est le chemin le plus court vers la défaite.

Allez montre-moi !
Offre-moi ce que tu vaux !
Fais-moi mal si tu le peux...

Note d'humour il se permet, au moins la raison toujours il avait. J'en étouffe un rire, non forcé. Il était Ririesque dans certains de ses faits. Etanchement de personnalité. Fragmentée à la brume incertaine et spontanée. Réplique arriva. Tel le séisme qui ravive son chant au Malheur des gens. Prêt à faire chavirer les édifices des siècles par Sa voix qui était celle du Jugement.

J'écoute le chant de Sa colère.
Je ne bouge pas.
Et la lumière fut.

L'explosion retentit. La terre livrée tremble. Je ne me protège pas. Je veux sentir sa force. Sa détermination. Une boule s'enflamme dans la bouteille qui s'éparpille en multiples horizons. Enfin. Un morceau de verre me taillade la joue comme le poignard sacrificiel. Un peu plus à droite et c'était dans l’œil. Le souffle me chauffe le visage et je reçois en numéros complémentaires quelques morceaux de bois et livres qui s'ajoutent à ce quatrain chaotique.

Il se tait.
Revient posément l'Ordre.
Regardant à terre le désordre.

Je passais mon index droit sur la plaie que je savais présente, le montrant à mes yeux, un filet de sang. J'avais envie de répliquer, mais la bibliothèque ne supporterait pas. Inutile d'en faire un cimetière de papier et de vestiges de mémoires. La bêtise humaine en avait suffisamment fait dans la longue histoire de l'Homme.

- Pas mal. Enfin une association digne d'intérêt ! Je commençais à croire que tu avais peur de me faire mal. Un duel ne laisse pas la place à la condescendance ! Tu sais analyser ton environnement c'est un bon point, même si tes sorts, quoique habillés d'une bonne conviction, manquent encore un peu de dosage. Mais cela viendra avec le temps.

Je faisais le tour de la table, m'avançant vers lui, baguette abaissée.

- On a fait un beau foutoir tu ne trouves pas ?

Je laissais mon regard envahir la pièce. J'essayais de faire attention à ne pas écraser trop de livres. C'était un beau merdier, il fallait le dire.

- Tu m'aides à tout remettre en place ?

Je continue de m'approcher de lui. Je balance un #Reparo afin de redresser les étagères, et, surtout, de reconstituer certaines d'entres-elles détruites en grande partie. Je savais précisément ce que je faisais. J'observais le garçon, il avait bonne mine. Je lui souris. Rapide mouvement vers lui. Informulation. #Terraballi Mortis !
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Re: La nuit dans la bibliothèque
Invité, le  Ven 10 Fév - 18:41


Souffle qui devient anarchique, reprise d’un rythme plus tranquille, une fois certain, assuré, d’être en sécurité. L’autre, avait la baguette baissée, signe de la fin du combat… L’exercice ? Le test ? Probablement un peu des trois. Probablement aucun des trois.
Alors il rabaisse sa baguette, à son tour, dans le mouvement descendant de ses boucles de sueur, collées au front. Il attend, pressent des paroles, suite à l’attaque, puis se détend. Tension qui se distend, plus sur le fil du rasoir, à contrario de la joue du professeur. Souffle plus léger, moins d’anxiété, moins de poids sur la poitrine : il écoute, puis acquiesce. Dans la bibliothèque réveillée et meurtrie, c’est le calme après la tempête. Lui-même se sent encore fébrile, lui-même, toujours volatile, se sentirait presque, à remettre le couvert.

Mais, pour l’instant, suivant la directive professorale, il remet en place une étagère. Pas un mot, seulement des actes, il ne sait qu’attendre, alors il se sait. Son acte ririesque l’aurait-il épuisé ? Peut-être un peu vidé.
La violence est pour lui, tel l’alcool, qui a désormais explosé. Il aimerait y regoûter.

Un instant, il se détourne, croise la mine souriante du professeur, factice, fronce les sourcils et s’enlise, lui, aspiré par la terre, il redevient embryon, recroquevillé. Pris au piège par surprise : proie devant les feux d’une voiture, sa dernière expression est celle de l’incompréhension muette, candide, avant de disparaître, en boule de terre, en verre de terre.
Il est là, dans cette boule, dans cette espèce d’utérus factice. Au noir, recroquevillé, il ne perçoit plus grand-chose. Son souffle erratique se calme petit à petit, il ramène ses genoux contre lui, s’appuie dessus, et attend, regarde, joue posée sur un bras, la baguette parfois secouée de quelques petits spasmes.

Il est bien, là.
Il est en sécurité, là.
Il pourrait très bien mourir, là.
Oui, il pourrait. Il n’a pas mal, il ne va pas tarder à ressentir les effets du confinement. Du dioxyde qui prend possession de l’oxygène. Laisser s’écouler les derniers filaments de vie.

Un souffle calme, tranquille.
L’enfant, replié, dans la boule, s’endort : il a fermé les yeux.

Il se berce dans ses rêves, il se baigne dans ses illusions. Et loin du monde, loin des hommes, il préfère s’endormir, il préfère la fuite. Il est bien, là. Il pourrait peut-être se refaire embryon, et disparaître ? Repartir et recommencer, dans une nouvelle vie, sous une nouvelle forme… Ce devrait pouvoir être possible, s’il reste là suffisamment longtemps, suffisamment de temps… Replié, recroquevillé, petit insecte sans carapace, bientôt le souffle viendra à manquer : il sent ses esprits qui se perdent, sa tête qui s’alourdit. Pour cela qu’il a pris soin de la reposer, objet fragile, porcelaine précieuse, sur un de ses avant-bras, endoloris, parcouru de fourmis. Mais, plus encore pour longtemps, si ?
Sa position lui taillade les genoux, mais il n’ose bouger, il ne le peut. Alors, il se concentre, pour fermer davantage les yeux : rester replié, rester en boule, rester petit être, dans un autre être. Se sentir… En sécurité, encore…

Laisser l’esprit divaguer, tandis qu’il avance dans les nuées d’une pensée qui se laisse partir. Percevoir des images, des couleurs, des sons, parfois. Entendre la voix maternelle, et serrer plus fort, les jambes, les genoux. Voir le visage de la mère, et souhaiter qu’il disparaisse ; Percevoir sa figure, voir ses contours floutés, mais très clairs, très présents dans son esprit. Voir cette main de femme, ces bagues, qui ne s’approche pas. Voir cette figure, aux contours flous, ne la voir que de dos, et ne percevoir que sa longue chevelure, en coiffure sophistiquée.
Tendre la main, toucher de la terre. Tendre la main, gratter la terre. Tendre la main, sentir les larmes couler, sentir le stress monter.

Ne part pas.

Tendre la main, mais ne rien attraper.

Ne me laisse pas.

Tendre la main, se sentir prisonnier. Tendre la main, pour évaporer le souvenir. Tendre la main, pour blesser le fantôme.

Je ne peux pas t’aimer.

Abattement du constat, de ce qu’il savait déjà, de ce qui l’avait fait cauchemarder, des nuits durant, étant enfant.
Abattement, repli de la main.
Morsure du poing, tandis que les larmes coulent.
Souffle plus erratique : pas d’économie, dans les sanglots.
Hoqueter, manquer d’air, hoqueter, pleurer, hoqueter, soupirer, hoqueter, respirer, respirer, respirer…

Obsession, dans l’esprit, qui remplace la figure pas encore partie. Des filaments qui lui sourient.

Les fracasser, les déchirer, les annihiler, les imbiber de poison et les regarder se tordre, et se distordre.

Il ne pouvait plus rester ici, il devait sortir, il devait s’en aller.

Il tape, tape, tape, la paroi. Ses membres sont faibles, il manque d’énergie. Tape, tape, tape… Réfléchir, avec les neurones pas encore asphyxiés. Sentir le souffle qui ne vient plus : #Aguamenti.
Percer la coque, sortir de l’œuf, couper le cordon : voici le poing d’une violence libératrice qui perce les membranes de terre. Cocon factice, erreur préjudiciable, de croire pouvoir fuir, sans préparation… Désir de se relever, de briser la coquer…

Retrait du poing : l’air qui entre, respiration à grande goulées. Se sentir revivre, apprécier la sensation, vouloir sortir, vouloir…

« - #Exteo Sattiga Maxima »

Par les bords humides de l’Aguamenti, par la fenêtre ouverte de son poing, vers l’adversaire, vers le professeur, vers le loup en sommeil, dans la bibliothèque. Briser le reste des membranes, creuser son trou, suffisamment, pour sortir de là, et ne plus jamais retourner dans cet endroit si étroit, si austère, si…
Chambre d’enfant, un après-midi d’été.

Se relever, en sortant de la coque : petit serpent glissant, encore recouvert de liquide amniotique, partout, sur le corps, trembler, vouloir se laver, faire disparaître les sensations.

Enfin, attraper la coque brisée à pleines mains, la soulever, puis la lancer, avec le plus de forces possible, quelque part, sans réfléchir, puis respirer, enfin, encore.

Voir le morceau de terre éclater, s’éparpiller, presque soupirer, erratique, ne pas confronter le regard, faire comme si on n’avait pas pleuré, dans le cocon, faire comme si les faiblesses s’étaient détruites avec le pseudo-projectile…

« - Le lancer était mieux visualisé dans mon esprit. » Chuchotis

Seule phrase, sans justification, peine à la sortir, mais devoir sortir quelque chose, parce qu’on respire, parce qu’on vit, parce qu’on parle, parce qu’on clame.
Parce qu’on peut encore, toujours, se battre, pour ne plus y retourner, là-bas.
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Re: La nuit dans la bibliothèque
Malena Kane, le  Sam 11 Fév - 23:39

[Rp unique, autorisation des deux zigotos
Mal intervient avant que Asc sorte de la boule de terre]

et avec mon corps planté sous la nuit qui traverse l’une des fenêtres d’un grand couloir
j’essaye de deviner le sexe des étoiles et avec ma bouche teintée de vin
je pense que j’aimerai me perdre avec elles,
une pensée comme une autre
qui a sauté sur un trampoline et ira s’écraser dans le néant.

nouvelle nuit à Poudlard
encore une, ça ne s’arrête jamais,
une nuit plus une nuit plus une nuit plus une nuit
ça fait plein de nuit,
ça s’accumule sur mes épaules qui s’affaissent vers le ciel.

je passe une main dans mes cheveux noircis par l’incendie dans ma tête,
le sexe des étoiles est une question sans réponse,
je continue ma ronde
ronde, tourne en rond comme une folle…

il a fallu des bruits suspects dans la bibliothèque pour me sortir de l’ennuie.
quel élève allais-je pouvoir féliciter ? je pense en approchant de la réserve, interdite à ces heures. les livres peuvent parfois être plus dangereux qu’une forêt habitée par les monstres les plus terribles. une bibliothèque est un carrefour où se rencontrent des milliers de monde, de parallèles contradictoires. il suffit d’en emprunter une pour risquer de se perdre à jamais.

aucune discrétion de ma part,
la fumée de ma cigarette me trahissait…
comme ce manque d’enthousiasme lorsque Evan, se dévoile à moi.
j’apprécie pendant quelques secondes le bazar des lieux quand je remarque,
en face de mon compagnon de beuverie ténébreuse,
une boule de terre, étrange…qui semble enfermer quelque chose,
quelqu’un ?

de quel monde a-t-elle surgit ?
- y a quoi là-dessous ? je demande,
- Mal ! Oh, rien, juste un élève. Asclépius. Tu connais ?
je fis un signe positif de la tête,
- amusez-vous bien, bonne nuit Evan.

et je m’en vais sans demander mon reste,
et avec mon corps planté sous la nuit qui traverse l’une des fenêtres d’un grand couloir
j’essaye de deviner le sexe des étoiles et avec ma bouche teintée de vin
je pense que j’aimerai me perdre avec elles,
une pensée comme une autre
qui a sauté sur un trampoline et ira s’écraser dans le néant.

Evan
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Re: La nuit dans la bibliothèque
Evan, le  Ven 3 Mar - 11:14

Parfois les étoiles crient à travers les vitres embrumées, comme souhaitant qu'on entende ce qu'elles se racontent, ou peut-être simplement racontent-elles ce qu'elles voient de nous. Pouvoir se poser avec elles, ouvrir un verre d'un quelconque nectar, mais pouvoir se poser à une fenêtre, et discuter, simplement, avec les étoiles, serait une histoire fabuleuse. Pas à raconter non, car il n'y aurait qu'un imbécile pour trahir la confiance d'une étoile, mais parce que cette conversation, serait certainement la plus riche à écouter pour un cœur. L'écoute est plus fort que ce qu'offre le regard.

Les étoiles sont un conte sans fin. L'on pense en savoir une page, mais elle n'est que brume, espoir, illusion. Pourtant elle est là. Pourtant elle cri. Pourtant elle espère. Quand elle rayonne, qu'on puisse la conquérir, mais au fond, elle sait que jamais réellement on ne pourra la cueillir.

Fumée de cigarette s'égare, et vient en gare de notre scène de théâtre. Malena Kane. Directeur à la personnalité bien étrange, comme une étoile, insondable force et attirante balade. Nos yeux s'entendent au milieu de la pénombre, et quelques mots s'échangent, comme avec les étoiles. Il en vient à me souhaiter une bonne nuit, je lui retourne l'invitation, espérant qu'une étoile veillera sur lui, de sa délicate intonation.

Malena. Volatile que nul Temps n'altère, ni ne dompte, ni ne possède.

Je reporte mon attention sur le prisonnier des sorts. Du sort. Là il y avait une grande leçon pour lui, et j'espérais qu'il la comprenne. Je n'allais pas le laisser enfermer non. S'il avait été un élève médiocre comme bons nombres de Poufsouffle, peut-être que oui, mais lui était brillant, promis à un bel avenir. Alors non, sa mort ne pouvait maintenant venir.

Mais je le vois, tel le poussin à naître, qui se bat avec sa coquille, doucement modeler sa force pour s'extirper de sa prison silencieuse. D'abord quelques bouts de terre s'y retrouvent, à terre. J'étais là, non loin, prêt à agir, mais lui motivé à réagir, - instinct de survie -, me surprit.

J'entendis un sifflement, un craquement, qui déchirait la terre comme une fissure le sol suite à un tremblement, trois flèches qui jaillirent, lumière et oxygène, trois flèches qui faillirent, me transpercer un bras. C'était pas passé loin, un mètre tout au plus. J'avais le chic pour me les bouffer ces stupides flèches ! Mais pas cette fois. Un jour peut-être sept fois.

Le cocon est brisé, et rapidement une cascade en sort, eaux d'un esprit cloitré qui ne savait sûrement quoi faire, dans cette affaire, où il avait été condamné en étant en Enfant jugé. J'avais adjugé, ma sentence. Je m'approche alors de lui, ruisselant, de terre comme d'eau, ses cheveux épris à ce mélange d'étrange. Il avait vaillamment combattu mon sort, il pouvait être fier même s'il devait regretter mon effet de surprise.

J'abaissais ma baguette, et lui tendais ma main libre pour qu'il s'en saisisse, pour être la grue qui le ramènerait définitivement sur terre. Hors de cette prison.

- Souviens-toi de cela. Toujours rester sur ses gardes. On ne sait jamais ce qui peut arriver dans un duel, quel stratagème ton adversaire pourra utiliser pour t'avoir. Maintenant, c'est fini. Tu vas pouvoir reprendre ton souffle, et je vais m'occuper de ranger tout ce merdier...
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Re: La nuit dans la bibliothèque
Invité, le  Mar 14 Mar - 20:58


Oxygène en suspension dans l’air et dans ses poumons : circulation difficile et regard neutre. Pas d’acidité dans la glotte, et les poussières du clair de lune qui jouent au funambule. Colonne vertébrale : exosquelette et invention. Cris nerveux des impulsions électriques dans les neurones.
Il accepte, prend la main, l’aide, et se hisse, sur ses deux grues de jambes en bonhomme-bâton. Regard encore perdu de l’enfant aux bribes des bras de Morphée : poussière dans les yeux et bouclettes qui suent de la boue, de l’eau, un mélange de terre et de liquide amniotique métaphorique. Et dans son regard, un pan de la robe de moire de la lune, et quelques paillettes étoilées, tandis qu’il voit l’aide en face, tandis qu’il fait confiance, une nouvelle fois, en prenant la main, en l’acceptant comme moyen d’ascension.

Puis, retrait en douceur, quasi-immédiat, en un mouvement-arabesque du bras. Main qui quitte celle salutaire, pour revenir le long du corps décharné. Parce que confiance accordée en un instant d’un côté, et préservation de soi de l’autre, qui prend le dessus. Volonté narcissique de ne pas vouloir en rester là, ne pas vouloir finir enfermé de nouveau, ne pas vouloir recommencer une espèce de métamorphose/métaphore d’une nouvelle naissance grâce à son professeur. Non, pas de grâce : seulement une espèce d’envie égoïste de s’accrocher, parce qu’on aime bien être en vie, parce qu’on veut continuer à en profiter. Mais pas de reconnaissance : il ne doit la vie, à personne, si ce n’est à lui-même.
Alors, il garde une certaine distance physique et sentimentale, ou s’en donne l’apparence. Parce que le terrain de la neutralité, c’est plus rassurant. Parce qu’il a entrevu quelque chose, en se rendant compte qu’il pouvait sortir, et qu’il n’avait pas envie de franchir le pas, pour l’instant. Il avait peur, un brin paralysé, encore, même si un peu plus désinhibé. Il voulait juste rester tranquille, oui, voilà.

Regard en biais du coup : car même s’il retente le coup, en voulant en savoir plus auprès de l’autre entité en clair-obscur, il ne voulait pas non plus se risquer sur le terrain de la subjectivité. Alors il restait le cul entre deux chaises de l’indécision.

« - Je vais vous aider. »

Un petit souffle, qui a mis du temps à sortir, en sorte de conclusion, à cette soirée. Petit souffle, qui permet d’actionner les machines des poumons : et les valves s’ouvrent, et l’oxygène entre de nouveau, et alimente le cerveau, et l’électricité entre les neurones reprend, et ça grésille plus, et il est fatigué, et il irait bien se coucher pour réfléchir à tout ça.
Et il en voulait plus, encore plus. Parce que, qu’est-ce qu’il s’était senti vivant, dans cette confrontation qui permet l’apprentissage.

Certaine pudeur, à vouloir garder de la distance : impression de s’être trop dévoilé, dans ce duel, alors que ce n’était pas le cas de l’autre. Se dire, qu’on n’est pas assez puissant, pour l’instant, pour garder une carapace : qu’on est condamné à l’état d’Emanglon.
Crisper la baguette entre les jointures, mais être trop las pour conserver cet acharnement. Alors, faire le tour de l’altérité, passer derrière en coup de vent du soir, et commencer à remettre une bibliothèque en place, et des livres, alors que le souffle revient, et repart, et que les pensées se font barque incertaine dans un océan confus, brumeux. Ne pas trop savoir où aller, mais être tout de même bien… Heureux, du déroulement de cette soirée.

Alors, risquer, entre deux étagères, de retourner son regard vers Evan, le professeur, pour questionner, conclure, espérer, peut-être une prochaine rencontre ?
« - Avez-vous… Trouvé ce que vous cherchiez, ici ? »
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Re: La nuit dans la bibliothèque
Evan, le  Ven 17 Mar - 15:45







LA de Folie ♥

Je le regardais. Il avait l'air distant. Je me demandais s'il pensait que j'allais à nouveau l'attaquer en traître. Bien que je ne voyais pas cela ainsi. C'était le but qui comptait. Qu'il comprenne. Qu'il apprenne. Que demain les mêmes erreurs ne le suivent pas. Qu'il sorte d'un nouveau cocon, qu'il embrasse un nouvel horizon comme l'oiseau sorti de l'œuf. Qu'il voit le monde différemment.

Je relevais ces édifices de bois porteurs des siècles, sans dire mot. Certains ouvrages saignaient, des pages multiples jonchant le sol, formant un unique livre des plus confus ou une multitude de mondes offraient une partie de leur essence. Le tout formait une flaque, un océan, ou magie noire et blanche fusionnaient, ou Durmstrang et Poudlard cohabitaient, ou la fantaisie des contes et le sérieux des érudits prenaient un café ensemble.

Puis il intervient, l'esprit qui se retrouvait, me disant qu'il allait m'aider. Je me contentais d'un sourire, qui valait bien souvent plus que des mots. Je sentais qu'il avait l'air légèrement sur la réserve, mais je restais concentré sur notre foutoir que l'on remettait en place, et à faire disparaître toutes les traces de notre venue. Que cela soit les bouts de verre, les résidus de flammes ou de terre, tout cela n'allait bientôt être plus qu'un souvenir et un secret.

Et, quand les bouquins eurent retrouvés leur éclat, et la bibliothèque le calme qu'elle attendait, tout en étant bercée par les rayons de lune qui s'aventuraient par la fenêtre, l'heure était au bilan. J'écoutais sa question, un demi sourire en coin je lui fis.

- On peut dire que oui... Même si...J'avais autant à trouver dans cette pièce que toi. J'imagine que nous nous reverrons. Dans mes cours ou en dehors. Tu as un bon potentiel et je ne doute pas un seul instant que tu sois promis à un bel avenir. Garde ce cap là. Et si tu as besoin, tu sais où me trouver...

J'allais jusqu'au garçon et lui tendit ma main droite. Je lui fis une poignée de main digne de ce nom, accompagné d'un "Sans rancunes ?".

« - Sans rancunes... »

Et nous décidions de nous quitter là. Je sortis le premier de cette terre millénaire, où nos deux livres s'étaient rencontrés. Écrivant chacun un bout de page chez l'autre. Le dernier acte était joué. Le rideau se tirait. Asclépius passa lui aussi la porte, et nos deux ombres se séparèrent dans la nuit silencieuse.
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Re: La nuit dans la bibliothèque
Galatéa Peverell, le  Mer 28 Juin - 20:51

HRP : Nous vous invitons à répondre à la suite des posts pour écrire la réaction de votre personnage s'il tombe sur l'un des tracts.

Un sort conditionnel a été lancé sur les prospectus par Morrìgan (ressemble à un journal lambda jusqu’à ce qu’un sorcier/moldu en rapport avec la magie ou autre le touche)

RP unique
Se déroule au petit matin

C'était normal d'aider. Cela faisait plaisir. La verte ne connaissait d'ailleurs pas plus grande satisfaction. Sauf peut-être celui d'avoir apprit quelque chose à quelqu'un. Celui d'avoir changer une vie, en positif. La pièce était d'ailleurs bien mieux depuis qu'elle y avait ajouté des affiches géantes. Qui, dîtes-moi, pourrait passer à côté de tout cela ? Personne. Et ça, ça n'avait pas de prix, pas même celui du sommeille.

L'étudiante referma la porte de la bibliothèque derrière elle, fière de son oeuvre. Elle aimerait tant être une petite sourie pour pouvoir observer à sa guise les réactions de ses camarades. Ou mieux encore, avoir des caméras. Néanmoins rien de tout cela, la verte dut donc se contenter de son imagination lorsqu'elle commença à se diriger vers son nouveau lieu de mission. Un dernier tract sur la porte et elle était partie.




L'Étincelle




Cher.e.s étudiant.e.s, professeur.e.s, membre du personnel.



Ces derniers jours ont été une grande épreuve. La prise en otage de certain d'entre vous, l'attaque au sein même de l'école de magie la plus réputée au monde, et la disparition d'un directeur qui ne vous protège plus par son absence. Ce message est pour celles.ceux qui doutent, celles.ceux qui ont peur, celles.ceux qui sont dégoûté.e.s, celles.ceux qui se rebellent, celles.ceux qui n'en peuvent plus de ces situations.

Nous vous demandons de vous relever de ces épreuves. Cette expérience face aux attentats ne vous ont pas rendu plus faible. Seulement, pour certain, plus vulnérables encore par la fatigue et l'habitude. Nous vous demandons de ne pas céder à toute avance des mages-noirs autant dans la vie que dans vos esprits, dans vos cœurs comme dans vos corps. Certains ont été blessés, certains sont indemnes. Mais votre résistance font de vous des combattants contre l'injustice, le doute et la peur. Certain d'entre vous ont-il déjà reçus des cours sur les Patronus, ou en ont peut-être déjà enseigner ce thème: un formidable bouclier, défenseur contre la peur. Et bien, cher étudiant.e.s, professeur.e.s, membre du personnel, nous vous demandons de lever ces boucliers face à la peur d'un attentat nouveau. Nous vous demandons de résister aux Mangemorts, véritables Détraqueurs de notre société. Mais n'oubliez pas, étudiant.e.s, professeur.e.s, membre du personnel, que les Mangemorts sont de piètre Détraqueurs. Il est plus facile de se battre contre un homme, une femme, un adolescent emplit de haine et chercheur d'un faux pouvoir que de se battre contre la peur elle même et son baiser de mort. La peur de la faiblesse ont fait d'eux des illuminés capable de tuer leurs familles, et de se briser eux-mêmes. Cher ami.e.s, l'humanité n'est pas une faiblesse. C'est une force qui se nourrit de ce que nous avons de plus commun. De plus ancien. Chaque pas vers la solidarité, vers le courage et vers la tolérance vont vous rapprocher d'une magie ancienne, plus combative et plus forte encore. Les meilleurs boucliers ne se forment pas avec plusieurs baguettes ? Les Patronus ne viennent pas en aide grâce à vos meilleurs souvenir ? Ceux-ci ne sont pas emprunt d'amour ? D'amitiés ? De compassion ? D'empathie ?

Étudiant.e.s, professeur.e.s, membre du personnel. Nous ne vous demandons pas de vous battre sous un même étendard. Nous ne vous demandons pas de vous battre sous les feux du Phénix. Nous vous demandons de vous battre et de résister pour vous, et avec vos propres armes. Vous qui formez l'individualité dans la société. Vous, qui, par vos actions individuelles, sauvez l'Humanité et votre intégrité,  telle une fourmilière. Si chacun d'entre vous se bat pour lui… Alors c'est toute la société qui se rassemblera sous une seule et même force, une seule et même puissance : Votre renoncement à la peur, au doute, afin de participer au combat contre les ténèbres qui vont si souvent vous priver de quelque chose, de quelqu'un, et même parfois de votre propre vie. Que vos baguettes se lèvent. Que les Patronus se rassemblent. Luttons tous contre l'obscurité pour être encore libre de nos propres choix, et nos propres vies. N'oubliez pas, si vos baguettes vous ont choisies, ce n'est pas pour être esclave des ténèbres, mais pour être manipulés par vous et par vous seuls. Pour vos propres capacités, vos propres pensés. Brandissez là, faite lui confiance. Vous vous protégerez mutuellement.





L'Ordre du Phénix.

Codage de Louna ©


Edit Lizzie : Bonjour Rachel. Conformément au Règlement RPG, en zone RPG, votre post doit contenir un minimum de 600 caractères, citations et formulaires exclus. Celui-ci en fait 354. Merci de bien vouloir éditer votre message pour le compléter et de faire plus attention à l’avenir. Cordialement.
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Re: La nuit dans la bibliothèque
Invité, le  Ven 7 Juil - 22:44

Une nuit bruyante et une virée à la bibliothèque

ft. Lucie Kyle

Le soleil c'est coucher de puis un moment.
Je vais pouvoir allez dans la bibliothèque, normalement, je ne devrais croiser personne, mais on va éviter de se promener avec un lumos dans les couloirs... ça va être un peu compliqué...

Je décide de me lever en silence, j'enfile une veste, je mets de vieilles chaussures, et je prends ma baguette. Ça peut être utile dans la bibliothèque.

Je quitte donc la salle commune, le tableau ne semble pas heureux de me faire sortir, mais je m'en moque je continue mon chemin.

J'arrive devant la bibliothèque.
J'entre en silence, personne.

#Lumos

Je me promène dans les différents rayons de la bibliothèque, je trouve enfin l'un des livres qu'il me faut.

-Léger Bruit-


Je me retourne en sursaut, personne, un fantôme ? Non impossible...
Je décide de continuer ma recherche sur différents livres, j'arrive au livre qui m'intéresse le plus.
Rien.
Le livre est déjà pris.

Je sens la colère montrer.
Quelqu'un a pris mon livre...

-Bruit beaucoup plus proche-


Cette fois-ci je me retourne beaucoup plus rapidement, et je pointe ma baguette en direction de la source de ce bruit.


Dernière édition par Jace Becker le Mer 19 Juil - 12:02, édité 1 fois
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Re: La nuit dans la bibliothèque
Lucie Kyle, le  Sam 8 Juil - 1:41

Une nuit bruyante et une virée à la bibliothèque

ft. Jace Becker

Lucie avait réussi à sortir de sa salle commune après le couvre-feu qui était alors bien avancé, sans se faire prendre et s’était dirigé jusqu’à la bibliothèque, en particulier dans la réserve. Elle avait essayé de jouer de son charisme pour avoir un passe-droit pour la réserve mais... Et bien, ses tentatives non pas réellement étaient concluantes si vous voyez ce que je veux dire. Elle avait donc profité de cette nuit pour aller dans la réserve. Pourquoi voulait-elle donc absolument aller dans cette partie de la bibliothèque ? Tout simplement pour avoir des informations sur la magie noire. Cette forme de magie qui était à peine mentionnée par les professeurs l’intéressait grandement. Elle ne savait pas à quoi s’attendre et voulait connaître toute la théorie de cette magie, souhaitant un jour pouvoir trouver quelqu’un qui pourrait l’aider à, peut-être, manipuler cette magie ? Élargir ses connaissances en magie, c’était ça l’objectif principal de Lucie. Pouvoir manipuler plusieurs types de magies serait vraiment une satisfaction de soi et la jeune Serpentard était prête à mettre tout en œuvre pour accomplir cette ambition.

C’est alors qu’en pleine lecture du livre qu’elle avait trouvé sur une étagère qu’elle entendit quelqu’un entrer dans la partie interdite suivit d’un murmure, un, lumos qui éclaira le bout de sa baguette. Elle resta sans bouger, essayant de repérer cette lumière et finit par fermer son livre – ce qui fit peut-être un léger bruit de fond- en voyant la lumière s’approcher dangereusement d’elle. Cette dernière ne savait pas qui était là et ne voulait pas faire perdre de points à sa maison. Elle prit alors le livre sous le bras et s’appliqua à contourner les étagères pour ressortir de la réserve et continuer cette lecture plus tard. Sauf que n’ayant pas allumé de lumos pour ne pas se faire repérer, elle ne voyait rien et se bruit le coin d’une table - n’étant même pas sûre d’être vers la sortie - et reprit difficilement son équilibre avant de se redresser et d’apercevoir un jeune homme qu’elle avait déjà vu quelque part, la baguette brandit en sa direction. Lucie déglutit difficilement avant d’avoir un éclair de génie et de se rappeler d’où elle l’avait déjà vu. Il était en effet également à Serpentard et l’avait déjà vu dans la salle commune ainsi qu’aux repas. Elle prit alors la parole, doucement, chuchotant d’une voix très basse, ne voulant pas alarmer quiconque se trouvait à quelques mètres de là, s’il y avait quelqu’un. Enfin elle prit la parole… Elle ouvra plutôt la bouche, lâchant un mini "Euh…" ne sachant pas réellement quoi dire, avant de trouver quelque chose à dire, enfin ce n'était pas réellement très recherchée ni très... logique vu la situation mais bon, la jeune fille ne voulait pas ressembler à une carpe sans intelligence.

- Qu’est-ce que tu fais ici ?


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Re: La nuit dans la bibliothèque
Invité, le  Sam 8 Juil - 19:17

Je venais de me retourner, et je me retrouve nez à nez avec une jolie fille, châtain, yeux noisette.
Reprends-toi Jace...
Je décide baisser ma baguette pour éviter de trop l'éblouir.

Étrange question de la part d'une jeune fille qui se trouve exactement là où elle ne devrait pas être.
Je la regarde de bas en haut quelques instants, sans pour autant la dévisager.
Le livre que je cherche, elle l'a dans ses bras.

Je pose doucement le bout de ma baguette contre le livre.
Et je commence à chuchoter.

-Toi de toute évidence tu es curieuse. Moi je cherche un livre. Ce livre.

Je recule de quelques pas, et je me place près d'une table.

-Tu t'intéresses à une forme de magie qui est interdite ici tu en es consciente ?

#Nox

Je continue de regarde là ou se trouver la jeune fille. Je la connais, elle est à Serpentard également.

-T'en fais pas, ce n'est pas moi qui irais te dénoncer, surtout pas une serpent. -Je m'arrête de parler un instant.- Tu veux savoir quoi ? J'ai lu quelques bouquin sur la magie noire. Si ça t'intéresse bien entendu.

Elle ne bouge pas, l'aurai-je effrayer ?
Je la comprends.
Être pointé par une baguette magique peut vite dégénéré...
J'en connais un rayon à ce sujet...

En tout cas, j'ai vu la curiosité dans son regard.

-Moi c'est Jace au faite.

Elle cherche des informations sur la magie noire...
Ce n'est pas courant par ici.
Ce n'est une sang-de-bourbe, ces gens-là préfèrent suivre gentiment les règles.

Sang-pur, ou sang-mêlé ? Qui sait... Je ne suis pas son ami, pas encore.

Mais pour le moment, si elle veut des informations, il faut éviter d'être dans le château...
Les murs ont des oreilles après tout.
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Re: La nuit dans la bibliothèque
Lucie Kyle, le  Lun 10 Juil - 0:30

Une nuit bruyante et une virée à la bibliothèque

ft. Jace Becker

Lucie détailla le jeune homme qui se trouvait devant lui. Son regard fût rapidement attiré par la balafre sur sa joue mais elle décida de ne pas s’attarder dessus, mais plutôt sur ses paroles.

- Toi de toute évidence tu es curieuse. Moi je cherche un livre. Ce livre.

Elle regarda le jeune homme reculer de quelques pas, quelque part heureuse de ne plus être sous la menace de sa baguette et regarde le livre entre ses bras, ne sachant pas réellement comment réagir.

- Tu t'intéresses à une forme de magie qui est interdite ici tu en es consciente ?
- Je le sais bien commença-t-elle doucement, murmurant elle aussi pour ne pas troubler le silence, on ne nous en parle jamais c’est… intriguant.

La lumière produite par le lumos provenant de la baguette de son camarade de maison disparu et Lucie posa un pied devant elle, regardant là où la lumière venait de disparaitre.

- T'en fais pas, ce n'est pas moi qui irais te dénoncer, surtout pas une serpent.

Un petit sourire se forma sur son visage, s’il y avait bien une chose que l’on ne pouvait enlever aux membres de sa maison, c’est qu’ils étaient solidaires entre eux.

- Tu veux savoir quoi ? J'ai lu quelques bouquins sur la magie noire. Si ça t'intéresse bien entendu.

Son regard s’illumina alors dans le noir en entendant que ce jeune homme avait des connaissances à propos de cette magie

- Tu n’imagines pas à quel point ça m’intéresse, je ne saurais réellement expliquer mon engouement pour cette magie. Peut-être que c’est le danger qui m’attire, ou autre chose… Je sens une connexion entre cette magie et la mienne, mais je ne saurais dire comment je la sens.


La jeune femme se taisa rapidement, paralysé, ayant peur d’avoir dit trop de choses. Elle n’aimait pas vraiment s’épancher comme elle venait de le faire mais, avec comme seul bruit leur respiration et le fait d’être dans les ténèbres les plus complètes, Lucie se sentait…. Bien. Oui, c’est ça, elle se sentait bien.

- Moi c'est Jace au fait.
- Enchanté Jace, je m’appelle Lucie. Et, à propos de ce que je veux savoir, il n’y a pas vraiment de sujets établis. Je veux connaître tout ce que tu pourrais me dire à propos de cette magie, tout ce que j’ai lu ici étaient… assez survolés, assez implicite. J’aimerais apprendre du concret. Si, bien sûr, cela ne te dérange pas de m’aider ?

Lucie resta alors sur place, statique en attendant la réponse de ce jeune homme, espérant qu’il l’aiderait à comprendre cette magie et la réelle raison pour laquelle il était interdit de la pratiquer ou de l’enseigner. Un frisson d’excitation, d’aventure prit alors possession d’elle sans qu’elle n’en connaisse l’origine.

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Re: La nuit dans la bibliothèque
Invité, le  Lun 10 Juil - 23:04




-Enchanté Lucie.

Elle ne s'approche pas beaucoup. Très curieuse, point commun que nous partageons avec les aigles c'est indéniable.
Que vais-je bien pouvoir lui dire ? Je n'aime pas parler de ça ici...
Bien, je vais commencer, mais il faut que je la mette au courant, que c'est risquer de parler de ça ici.

-Je veux bien t'en parler, je ne connais que la théorie. Et c'est bien suffisant quand on voit les conséquences.
La raison pour là quelle la magie noire n'est pas enseignée, c'est que pour la plupart il faut faire des actes horribles. Meurtres, tortures et j'en passe.


Il faut que j'évite de parler trop fort, si on nous entend parler de ça... ça risque de chauffer pour nous, surtout ici en pleine nuit....

-Tu connais les sortilèges impardonnables.

Je n'aime pas parler de ces sortilèges... Bon si elle me répond oui c'est cool... sinon. faudrait que je sois assez vague, je préfère ne pas en parler ici, surtout à l'école....

Je fixe la jeune fille.
J'ai l'impression d'avoir déjà vu ce regard curieux, chez moi peut-être je ne sais plus.

-Dit moi, tu es de quel sang ? Les enfants de sang pur savent que la magie noire c'est...mauvais. Certaines familles plus sujettes à la magie noire que d'autres.

Je continue de fixer la jeune fille dans le noir, en attendant sa réponse qui, j'espère sera positif dans le sens qu'elle sait ce que sait... sinon ça risque d'être interminable.
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Re: La nuit dans la bibliothèque
Lucie Kyle, le  Mar 18 Juil - 18:56

Une nuit bruyante et une virée à la bibliothèque

ft. Jace Becker

- Je veux bien t'en parler, je ne connais que la théorie. Et c'est bien suffisant quand on voit les conséquences. La raison pour là quelle la magie noire n'est pas enseignée, c'est que pour la plupart il faut faire des actes horribles. Meurtres, tortures et j'en passe.

Lucie hocha la tête, assimilant avec facilité tout ce que son camarade de Serpentard, Jace disait. Cependant, elle n’était pas vraiment sûre que parler de ça ici était très malin, ce qui était un comble pour deux « parfaits » Serpentard comme eux.

- Tu connais les sortilèges impardonnables.

Tout en fixant également ce jeune homme avec une mine curieuse, elle pris la parole, se sentant légèrement offusqué qu’il pense qu’elle ne connaissait pas ces fameux sortilèges.

- Bien sûr que je les connais qu’elle chuchota, Je ne suis pas totalement inculte non plus

Elle eût tout de même un petit sourire amusé, même si dans le noir il ne se voyait pas vraiment, ne lui en tenant pas rigueur. Elle regarda nerveusement autour d’eux, espérant qu’il n’y avait personne aux alentours, mais init par se retourner de nouveau face à son interlocuteur, en proie à une curiosité défiant toute concurrence.

- Dit moi, tu es de quel sang ? Les enfants de sang pur savent que la magie noire c'est...mauvais. Certaines familles plus sujettes à la magie noire que d'autres.

C’est alors qu’elle se fige, regardant fixement Jace. Elle détestait qu’on remette sur le tapis ses origines, elle avait très mal vécu cette histoire de sang parce qu’elle ne connaissait pas le sien. Elle espérait secrètement être au moins une sang-mêlé, pouvant ainsi trouver aisément une excuse à ses géniteurs et justifier le fait qu’elle n’existait pas dans le monde moldu avant que l’orphelinat ne lui créé des papiers. Elle commençait à partir dans des pensées plus profondes, mais un regard en direction de son camarade lui remit les pieds à terre et elle finit par lui répondre, avec un peu moins de confiance que précédemment

- Disons que ceux qui sont à l’origine de ma naissance n’ont pas pris la peine de me préciser s’ils étaient sorciers ou non.

Elle n’en dit pas plus, déterminant que c’était assez explicite et qu’elle n’avait pas besoin de donner plus de détails.

- Est-ce que ça importe réellement ?

Toujours à voix basse, Lucie espéra qu’il ne s’épanchera pas plus longtemps sur ses origines, voulant passer à autre chose rapidement.

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Dernière édition par Lucie Kyle le Dim 23 Juil - 12:10, édité 1 fois
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