Le printemps a déjà pointé le bout de son nez. Les beaux jours vont commencer à arriver et je dois dire que je suis plutôt content. Évidemment, je le serai davantage lorsque j'aurai eu tous mes examens avec une belle mention. Mais ne vendons pas la peau de l'ours avant de l'avoir tué. Pour le moment, je dois aller en cours. Défense Contre les Forces du Mal. C'est une matière que j'affectionne relativement bien, puisqu'elle est me paraît semblable à celle des Sortilèges. Pour l'heure, je suis encore dans ma salle commune, le nez plongé dans un bouquin passionnant. Et pourtant, je dois me préparer si je ne veux pas être en retard. Je referme donc mon livre et me dirige dans mon dortoir afin de me changer pour aller en cours. J'attrape de quoi prendre des notes et enfonce tout ça dans mon sac à bandoulière. Je ne sais pas vraiment pourquoi, mais je suis très euphorique. Ce n'était pas réellement le cas dernièrement. Il faut dire que j'ai traversé une sale période, en parti à cause de problèmes personnels. Alors que je déambule dans les couloirs du château, je me demande quel sera le thème du cours. J'espère que ça sera quelque chose de passionnant, ou alors, je risque de piquer du nez tout le long, ce qui ne sera pas agréable pour l'enseignant comme pour moi. En arrivant devant la salle de cours, je me décide à franchir le seuil et constate avec surprise que je suis le premier arrivé. Je m'avance vers le bureau du Professeur :

- Bonjour Professeur, j'ai hâte de commencer le cours !

Je lui adresse un large sourire laissant des dents impeccablement blanches apparaître. Puis, je m'installe sur une chaise (table 5). Je commence à déballer mes affaires et pose ma baguette devant moi. Je la contemple un instant, songeant à beaucoup de choses. J'espère que les autres ne vont pas tarder à arriver. En levant les yeux au tableau, je m'aperçois que le cours portera sur la protection. Voilà qui promet d'être intéressant !

Voilà un bon moment que le Poufsouffle n'avait pas assisté à un cours de Défense Contre les Forces du Mal. Et l'heure allait bientôt sonné le début de celui-ci, auquel il avait prit grand soin de s'inscrire une fois revenu de ses escapades chez Ollivander's.

Attendez, c'est même, plus que bientôt, que le cours allait commencer. Bon sang, le voilà déjà en retard, tout ça à cause d'une petite sieste d'une heure. Math est encore dans son dortoir alors qu'il se lève rapidement, les cheveux encore en batailles d'avoir lutté contre son oreiller afin de trouver un peu le sommeil. Pas qu'il est du mal à dormir, non, - bref.

Celui-ci une fois sur ses guibolles, se saisit alors de son sac, d'un carnet et du nécessaire pour prendre des notes, quoiqu'ils doivent sûrement le mettre à disposition en classe. Enfin, peu importe, on n'est jamais trop prudent, ou prévoyant, n'est-ce pas ?

Il se précipite dans les couloirs, courant à vive allure, du moins autant que ses grandes jambes et son endurance ne le lui permette, manquant d'envoyer bouler quelques élèves sur sa route. C'est qu'on se croirait presque à un jeu de bavboules grandeur nature, avec les élèves comme "billes". Le jeune homme n'en démords pas, grimpant les marches des escaliers deux à deux, les descendant quatre par quatre alors qu'il manque à plusieurs reprises de se casser la figure.

C'est finalement au bout de quelques courtes minutes, qu'il atteindra la salle de classe. Une chance qu'il connaisse plutôt bien Poudlard, maintenant, et qu'il arrive à s'y retrouver plus aisément. Faut dire qu'il est en quatrième année, aussi, donc bon, il y aurait un problème dans le cas contraire.

Il franchit le seuil de la salle de classe, et remarque avec surprise que seul deux élèves sont arrivés avant lui.

- Pfiou. pense t-il.

Finalement, il prendra une légère inspiration, pour se remettre de sa longue cavalcade, et constatant qu'il est finalement à l'heure, viendra simplement s'avancer jusqu'à un bureau du premier rang, pas en face du professeur non plus, parce que ça fait vraiment trop lèche-bottes. Avant de s'asseoir, il saluera l'intervenant, inclinant légèrement du chef.

- Bon-bonjour professeur !

Il finit par se poser sur la chaise du troisième bureau, sortant donc de quoi prendre des notes, et ne remarquera que maintenant l'intitulé écrit au tableau. Un fin sourire se dessine sur ses lèvres, alors qu'il est clairement question des sortilèges de protection, à priori, sur lesquels Math dispose déjà d'un peu de connaissances.

Un peu d'appréhension pour ce cours. Je n'excelle pas dans l'art de lancer des sortilèges. C'est même une catastrophe, selon les dires de mes parents. Mais pour ce qui est des défenses contre les forces du mal -pour reprendre encore une fois les termes de mes géniteurs, "on touche le fond". Le fond de quoi, je n'en sais rien : je comprends simplement qu'encore une fois, je suis source de déceptions.

Mais c'est tellement habituel que je n'y prête plus réellement attention. En quelque sorte, j'y suis résigné. Au moins, je me débrouille bien ailleurs : en histoire de la magie, en potions et en astronomie, tout va à peu près bien. Et il y a mes tire-bouchons mais ça, ce n'est hélas le sujet d'aucun cours à Poudlard. Néanmoins, ils me rendent heureux et quand je les nettoie ou que je les dessine, je me sens enfin moi-même et complet.

Tentons tout de même de ne pas offrir une trop piètre performance aujourd'hui en cours. J'arrive en salle de classe à l'heure. La ponctualité est importante.

« Bonjour professeur, j'aime bien vos cheveux. » dis-je à l'adulte avant de me tourner vers l'une de mes places préférées -fort heureusement encore libre. Il faut compenser, m'ont dit mes parents. « A Poudlard, sois toujours poli, serviable, obéissant, et... » Là, ils m'avaient regardé longuement de haut en bas. Même en étant plongé dans la contemplation de la citrouille posée sur l'étagère derrière eux, je sentais leurs regards sur moi. Et je n'aimais pas cela, mais, c'était habituel. « ...Si tu as des difficultés dans un domaine ou que tu ne comprends pas tout ce qui t'entoure, c'est d'autant plus important. Tu peux faire des compliments par exemple, ça met les gens dans de bonnes dispositions. Comme ça, ils font moins attention à tes... défauts. » Et encore une fois, je n'ai pas tout compris, mais j'ai remercié mes parents pour leurs sages conseils puis j'ai complimenté Papa sur son choix de cravate.

Donc théoriquement, si je complimente le professeur sur ses cheveux, il sera peut-être plus à même de me mettre de bonnes notes. Peut-être ?

Je m'installe au premier rang sur le côté, à une place tout près du mur. [Table 1] D'ici, je devrais être tranquille. Je sors mes affaires, mon tire-bouchon porte-bonheur est délicatement posé à côté de ma plume. Je suis prêt.

Sa cape volant dans les couloirs, Awanne se rendait maintenant en cours de défenses contre les forces du mal. Il avait lieu de l'autre côté du château, histoire de bien perdre du temps à marcher.
La jeune fille n'attendait pas ce cours avec impatience, mais elle voulait tout de même savoir comment le nouveau professeur allait aborder la matière. La blonde adorait la classe de défenses contre les forces du mal pendant ses premières années, mais elle s'était peu à peu lassée. Elle ne déteste pas cette matière, mais elle y porte peu d'importance contrairement à la plupart de ses camardes serpents. Il faut dire qu'elle ne trouve rien de très beau dans cette matière... Elle, elle préfère l'astronomie, les étoiles, l'infini du ciel et les constellations plus magnifiques les une que les autres ! Ou le vol, c'est prenant, ça remplit d'adrénaline et rien n'est plus excitant que de sentir la vitesse et le vent sur son visage !

Enfin arrivée devant la salle de classe, Awanne entra. Elle n'était pas la première, quatre élèves étaient déjà là. Une fois la porte passée, elle salua son professeur et ses camarades rapidement.


- Bonjour à tous.


Les élèves déjà présents s'étaient placés principalement vers l'avant de la salle mais n'y voyant aucun intérêt, la vert s'approcha d'une table toute proche [table 7]. Son sac pausé à sa droite et sa cape sur le dossier de la chaise elle s'assit alors.
Un seul de ses camardes lui était familiers, un pouffsoufle de septième année. Ils étaient ensemble dans plusieurs cours, mais ils ne se connaissaient pas. Les trois autres étaient totalement inconnues au bataillon.

Saison 30
Printemps

Défenses contre les Forces du Mal. Voilà un cours que j’appréciais, même si je n’y avais jamais vraiment excellé. Mon impulsivité avait tendance à entacher ma concentration, à la détériorer au détriment de sortilèges précis. J’étais trop pressante, trop impatiente de réussir, au final je mettais trois fois plus de temps que la plupart de mes camarades. C’était frustrant.

Et pour une fois j’arrivais à l’heure, c’était presque un exploit. Voir toutes ces tables vides me procuraient une joie étrange. C’est donc ça d’avoir le choix ! Je butinais un peu sur le pas de la porte, encore indécise, puis finis par m’avancer dans la salle la démarche hésitante. Je jetai un coup d’oeil au professeur, assis tranquillement sur son bureau. C’était notre premier cours sous sa direction, et pourtant il ne montrait aucune appréhension. Il avait même l’air plutôt à l’aise... Cela dit, rien d’étonnant, quand on savait quelle matière il enseignait !

La main crispée sur la lanière de mon sac, je lançai un timide Bonjour professeur..., je lorgnai sur le tableau, ... Montgomery, avant de filer à une place libre du troisième rang (Table 9). J’y installais ensuite mes affaires studieusement, plaçant mes plumes parallèlement à mon parchemin. Puis, je croisai les bras, en fixant obstinément le tableau, me refusant à accorder le moindre regard à mes camarades.

Les bases de la protection... Ce titre me laissait songeuse. J’en aurais probablement eu besoin contre ce Mangemort. Ce maudit corbeau. Sur ce toit. Une douleur intense se réveilla d’un coup à ces souvenirs, je ressentais encore l’ombre de son sortilège flotter sous ma peau.

Nouveau cours, nouveau prof ! J'ai trop hâte. J'adore rencontrer de nouveaux professeurs, ça veut dire que je peux encore changer de prénom. J'en ai plein. Des tas et des tas, et j'ai bien envie d'en tester un nouveau aujourd'hui, le cours de Défense contre les Forces du Mal est parfait pour ça. Je débarque dans la salle avec un enthousiasme débordant, même que la porte claque contre le mur à cause de mon geste un peu trop ample. Oups, sourire contrit, je lève la main en signe d'excuses, et parle d'une voix forte, comme d'habitude.

- Désolé ! J'ai pas fait exprès, c'est la joie de venir en cours ! Bonjour à tous, j'espère que cette journée saura vous illuminer de savoir et de bonheur comme je m'efforce de le faire chaque jour que je marche sur cette Terre !

Petit salut, main sur le coeur, il faut dire que souhaiter tant de bonne chose et de perfection aux autres est vraiment altruiste de ma part. Je vois Gabin du coin de l'oeil, et je dépose mon sac sur la même table que lui (Table 8) avec un clin d'oeil, avant de me diriger vers le professeur à qui je tends la main pour me présenter, sourire éblouissant sur les lèvres, comme à mon habitude.

- Bonjour à vous Monsieur. Je suis Hypérion Adams, et je suis ravi de vous rencontrer !

Oui, j'avais prévenu que je voulais tester un nouveau prénom. Voilà que je tape dans la mythologie maintenant. Un titan, mais pas n'importe lequel, le Titan de la lumière ! Parce que je suis une lumière, une vraie, et je resterai lumineux aussi longtemps que j'existerai. Voilà, c'est ma nature profonde, de briller, d'éblouir les autres par ma perfection. Autant avoir un prénom qui reflète ce que je suis, pas vrai ?

L'avantage d'arriver à l'heure, et même un peu en avance en cours, c'est qu'on avait tout le loisir de préparer ses affaires afin de pouvoir commencer à suivre dans de bonnes conditions, et qu'en plus, on pouvait jauger un peu les autres arrivants, histoire de voir comment ils se comportaient, ou du moins, se faire une idée pré-faite de leur comportement, et sûrement très clichée par la même occasion.

C'est le genre de choses que Math ne manqua aucunement de faire, bien au contraire. C'est presque s'il se retournait pour voir ses camarades arriver, histoire de mettre un visage sur leurs mimiques, et leur voix. Finalement, il résista à la tentation. Surtout parce qu'il se rappela que si il se mettait à se retourner ainsi, les autres se mettraient sûrement à le regarder, et ça le rendrait mal à l'aise pour le reste de la séance. Hors, il n'était pas question que ça arrive.

De ce que le Poufsouffle avait pu relever, il y avait trois catégories de personnes. Celles qui, comme lui, n'avaient prit la peine que de saluer le professeur, et c'était la majeure partie de ceux qui étaient arrivés après lui, à vrai dire. On notera tout de même un jeune Poufsouffle, qui avait trouvé le moyen d'être original en commençant par une remarque sur l'impeccable coupe du professeur. Math avait à peine sourit, à ce moment-là.

Ensuite, comme deuxième catégorie de personnes, il y avait celles qui prenaient le temps, ou qui étaient assez sûres d'elles en tout cas, pour saluer l'ensemble de la classe. Il y en avait un, une ou deux à vrai dire, et pas davantage après que Smith ne soit arrivé et se soit installé. C'était probablement la méthode de salutations la plus agréable, car au moins, on saluait tout le monde, on ne se contentait pas que du professeur.

Finalement, il y avait une dernière catégorie de personne, qui avait notamment fait tiquer le pauvre or et noir. C'était celle, bien baptisée du : " Bonjour, je suis le nombril du monde, regardez-moi. " Il n'y avait pas grand chose que Math n'aimait pas, voir détestait, mais ce genre d'attitudes, ça le dépassait. Notamment parce qu'il était incapable de se présenter ainsi lui-même, mais juste parce que, non, c'est tout. C'est juste qu'il n'était pas capable d'être aussi confiant en lui que ça, que ça lui sortait par le nez.

L'heure fatidique du début du cours arriva, et le jeune homme entendit la porte, au fond de la salle, claquer alors que le professeur avait prit soin de lever sa baguette. Aussi surprenant que cela puisse paraître, il n'avait pas sursauté. Il avait vu le prof' user de sa baguette, alors il s'était forcément préparer à une réaction en conséquence. Pour autant, la suite de ce début de cours s'avèra bien plus intéressante.

Math s'était retourné presque aussitôt, en voyant le Serdaigle qu'il avait déjà en horreur se faire transpercer de trois flèches qui s'avèraient finalement être des illusions. Il avait écarquillé les yeux, surpris l'espace d'un instant et avait retenu comme il se devait un cri de surprise. Pfiou, l'honneur est sauf, pour le moment. Il revint ensuite vers le professeur, qui rajoutait quelque chose au tableau. Le jeune homme ne se fit pas prier pour attraper sa baguette, la glisser sur le bureau, et poser sa main droite dessus, prêt à s'en saisir à la moindre occasion. Il était alerte. Il se contenta d'opiner ensuite, en regardant l'intervenant.

Enfin, la théorie commençait. Il s'agissait de donner la formule du charme du Bouclier, ses variantes, ainsi que les effets pour chaque. Assez bon en DCFM, Math avait au moins deux réponses sur trois, mais alors qu'il s'apprêtait à lever le bras, il sentit, ou plutôt s'imagina les regards tournés vers lui.

- T'es déjà au premier rang, et en plus, tu vas faire le lèche-botte en répondant en premier, à la question du professeur. Bah bravo.

Allons, il fallait se reprendre. C'était des points facilement gagnés, ça, ce n'était pas le moment de faire son coincé, ou faire son timide.
Après quelques secondes à tergiverser avec son lui intérieur, Smith se décida à lever le bras, doucement, et pas bien haut.
Les yeux du professeur s'étaient alors posés sur lui, et d'un mouvement de tête, on lui avait donné la parole.

Pfiou, allez, du courage. Tu as l'occasion de répondre, et tu as la bonne réponse, alors il n'y a pas de raisons.

- Mh.. Le sortilège du Charme du Bouclier, celui de base, a pour formule Protego. Il n'est utilisable que sur nous-même, et protège des sortilèges mineurs qui nous sont jetés. Physiquement, ça donne lieu à l'apparition d'une barrière qui est capable de contrer également les agressions physiques.

Après sa tirade, le Poufsouffle vint se rasseoir au fond de son siège, expiant comme si il avait accomplit une tâche titanesque. Bon sang, il y avait aussi la formule du Protego Maxima, dont il avait entendu parler, et qu'il venait de zapper.
Math s'apprêtait de nouveau à relever la main, quand il se ravisa bien vite. C'est bon, tu as déjà donné une réponse, là, pas la peine d'en faire trop non plus. Les autres vont râler, après.

Même pas il me serre la main. La politesse, ça se perd. Au lieu de ça, il me lance un sort, et trois flèches se fichent dans ma poitrine. Je ne ressens aucune douleur, mais je regarde les armes avec des yeux écarquillés, complètement sous le choc d'un tel accueil. Mais avant que je ne puisse m'écrier quoi que ce soit et m'indigner, les flèches disparaissent. Il m'annonce que je suis mort. Je crois que je le saurais si c'était le cas. Je hausse les épaules avec une moue légèrement boudeuse. Tu parles d'une leçon. La pédagogie, elle, est bien morte.

Je vais donc m'asseoir aux côtés de Gabin, rejoignant mes affaires, et sortant ma baguette magique. Au moins, j'ai bien retenu la leçon. Peut être que finalement la pédagogie fonctionne ainsi. N'empêche que j'aurais préféré ne jamais voir mon magnifique corps transpercé par des flèches. Quelle vision d'horreur, on n'a pas idée de vouloir défigurer ainsi ses élèves les plus beaux ! Il dit qu'on peut se protéger de ses sorts mais qu'on peut pas en lancer. Mouais, bah il va pas être déçu. Comme si j'allais obéir à un type qui m'a lancé un sort, c'est pas la fête.

Si lui peut nous en lancer, j'estime qu'on a le droit également. Rien n'est à sens unique dans la vie, et il va vite le comprendre. Le cours commence alors, et portera sur le charme du bouclier. Apparemment, il risque de nous être très utile vu la façon d'enseigner du prof. Premier élève qui répond, j'écoute. A mon tour maintenant. Je lève donc la main, véritable élève modèle, et il me donne la parole d'un geste du menton.

- Y'a aussi un Protego spécial pour la magie noire, mais je me souviens plus de la formule...

Et j'en profite pour pointer ma baguette sur lui en prononçant un joli #Bombarda. La guerre est déclarée !

1 - 2 : BOUM ça va exploser sur le prof !

3 - 4 - 5 : BOUM... Enfin boum juste devant moi, ça sert à rien à part à faire voler mes affaires.

6 : Nooooon, rien de rieeeeeen, nooooon il ne se paaaaasse rieeeeeen

Le membre 'Benedict Adams' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

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'Dé 6 faces' :