[EXT] Véranda, Jardin & Portail

Sa ruse avait parfaitement fonctionné, et elle parvint à planter ses griffes dans le dos d'Eleonore. Un sort et elle n'aurait plus mal, ce n'était que quelques égratignures superficielles. Mais ça devait faire quand même un peu mal... bah, ça faisait partie du "jeu". Après quelques instants un peu flous, Eleonore réussit à se dégager de son emprise avant de courir droit vers le pommier. L'écureuil émit un petit rire intérieur. Elle aussi elle savait monter aux arbres! Même sous forme humaine d'ailleurs! Confiante, elle s'approcha par petits bonds de l'arbre. Elle s'apprêtait à commencer à grimper lorsqu'un boule de poils lui atterrit dessus - une boule de poils qui avait des dents, ce qu'elle remarqua douloureusement lorsqu'elle se fit mordre au flanc. L'écureuil poussa un petit cri de douleur, puis un gémissement de soulagement lorsque l'opposum se retira... avant qu'Eleonore ne prenne sa place, baguette à la main, pointée sur elle. Rily recula jusqu'à se retrouver le dos colé au tronc de l'arbre. Elle était à la merci de son amie et ne comptait pas rester ainsi.

Alors? Tu reprends ta forme normale?

L'écureuil lui tira la langue, avant de bondir dans l'arbre. En quelques coups de pattes bien placé, elle grimpa sur une grosse branche large. Son côté animal était lasse de se battre et envisageait avec gourmandise une belle pomme à portée de patte, et elle faillit céder à sa délicieuse envie de l'attraper et de croquer dedans (les écureuils mangeaient-ils des pommes?) avant de se souvenir qu'elle avait un combat en cours. Elle barricada son côté écureuil et reprit forme humaine. La branche, épaisse et solide, ploya à peine sous son poids. La Phénix récupéra sa baguette dans sa manche. Le feuillage l'empêchait de voir où se situait Eleonore, elle prit donc soin de se déplacer sans faire bouger de branches. Les cheveux de son amie lui apparurent plus ou moins entre le feuillage. Au risque de mal visé, elle préféra favoriser l'attaque indirecte.

- Séismus, incanta-t-elle en se tenant fermement à l'arbre.

Pour une fois, elle avait quasi champ-libre pour lancer son sort, elle avait pris donc soin de viser là où elle était sure qu'Eleonore ne se trouvait pas. Aussitôt, le sol se mit à trembler, suffisamment violemment pour que quiconque se trouvant debout et n'ayant pas beaucoup d'équilibre tombe. Avec beaucoup de chance on pouvait rester debout. Mais bon, elle avait préféré se camper en sécurité. Plutôt être secoué et bien accroché dans un arbre qu'au sol, même si ce sort n'était pas trop dangereux. Une fois que le sol se fut plus ou moins stabilisé, elle pointa sa baguette un peu au hasard au travers des arbres, et alors que l'arbre se stabilisait, elle lança un Metalo Scienco silencieux. Elle recula prudemment sur sa branche, curieuse de voir la suite.

Dès qu'Eleonore se fut remit en forme humaine, l'écureil avait bondi sur l'arbre. Eleonore ne put voir ce qu'il était devenu car le sol fut secoué de tremblements terribles. Comme si un orage se préparait au dessus de sa tête et qu'un éclair s'était planté dans le sol. Eleonore alors tituba, mais elle esquissa un sourire, Rily avait du reprendre sa form humaine car un écureil n'oaurait pa spu lançe run sortilège et ce n'était ni un tremblement de terre. Bref, a bout de focre, les jamas falegolantes d'Eleonore ne la porta plus et elle tomba sur le ventre. Dans un bruid sourd sa baguette lui échappa mais seulement poru quelques secondes c ar la mine renfrognée mais toujours de bonne humeur, la jeune sorcière rampa jusqu'a sa baguette puis la pointa sur l'arbre. Rily devait s'y trouver, les lèvres d'Eleonore ne bougèrent même pas et (un bombarda informulé plus tard )un éclair jaune clair sortit de sa baguette puis venir fonçé droit sur l'arbre. Normalement l'arbre devait exploser mais Eleonroe n'eut pas le temps de voir son résultat car elle était retombée par terre a cause d'une force surrhumaine.

La dernière fois qu'elle s'ait fait victime de ce piège de métal, c'était pendant son entrainement avec Peyton dans la forêt interdite pour finir sa formation de gardienne. Eleonore en avait gardé un bon souvenir, le soleil se couchait sur la plaine verte. Les arbres bruissaient avec le vent faisant tomber quelques feuillles écarlates par ci par là, l'une tomba dans une flaque d'eau ce qui provoqua des tremblements dans l'eau, des petites vagues pour les incultes. Mais là ellle était entrain de se faire enserré par un filet de métal, elle allait mourir étouffée si elle ne se débattait pas. Tout d'abord, Eleonore essaya avec un sortilège de découpes mais rien n'y marcha a part boussiller l'usure du métal ce qui ne servit a rien car le filet se serra encore plus fort sur Eleonore. Celle ci alors ferm el syeux et pour la seconde fois de la journée elle pensa a tout autre chose. Plus Rily, plus de baguette, plus de métal et de filet. Juste elle, pas tout à fait elle mais son animal. Alors le corps d'Eleonore se volatilisa pour laisser place a son opossum. L'animal se faufila entre les mailles agrandies du filet puis roula sur l'herbe. Conscient qu'il était la proie de Rily, l'opossum fit demi tour quand il voulut attraper un brin d'herbe pour se raviser a se retransformer.

Eleonore alors réapparu après avoir pensé a son corps et en se disant qu'elle n'était pas ce stupide animal mais la jeune femme de 25 ans, drole et studieuse. Ne voyant toujours pas Rily Eleonore garda sa baguette en main.

Le tremblement de terre cessa doucement. Rily poussa un soupir de soulagement discret: elle avait les mains en feu à force de s'aggripper à sa branche, et elle devait bien avoir une ou deux échardes plantés dans les doigts. Se formalisant peu de ces épines, elle tenta d'observer à travers le feuillage comment Eleonore s'en sortait. Tombée ou pas? Elle n'eut pas la réponse. La seule chose qu'elle vit fut un éclair jaune qui percuta l'arbre de plein fouet, le faisant exploser... et elle avec. La Phénix effectua un magnifique vol-plané et atterrit violemment sur le sol. Elle resta piteusement allongée, dans une position biscornue, en attendant de recouvrer l'ensemble de ces capacités musculaires. Lorsque ce fut plus ou moins le cas, elle se redressa en grimaçant. Le sol était bien dur, et son dos n'était pas apte à ce genre d'exercice de vol. Elle se leva avec précaution et s'étira de tout son long, non sans faire craquer ses os - ce qui n'était pas forcément agréable -, elle vérifia qu'elle avait sa baguette et se dirigea vers ce qu'il restait du beau pommier qui l'avait accueillit. Quelques bouts de bois avaient vaillamment résisté, mais ce n'était pas grand chose... Son côté écureuil soupira à l'intérieur d'elle-même; dommage, elle aurait bien gouter une de ces belles pommes!

Rily refoula cette pensée avec un sourire. Elle n'était pas là pour manger, il fallait qu'elle se concentre sur le combat! Son regard fouilla les environs à la recherche de son amie, qui ne tarda pas à apparaître, non dans le filet de métal, mais à l'extérieur. Elle devait s'être transformée en opposum pour en sortir, c'était une excellent idée! La jeune femme aux cheveux blonds resta dissimulée derrière le reste du tronc du pommier, hors de vue de son "adversaire". Elle balaya l'enclos d'un regard circulaire. Les dernières traces de brume disparaissaient, et le calme revenait doucement. La situation ne devait pas durer.

- Terorim... souffla-t-elle discrètement.

Le sortilège de la terreur. Un sort qu'elle ne souhaitait jamais avoir à affronter. Eleonore était de trois quart, elle ne voyait qu'une petite partie de son visage. De plus, la jeune femme ne savait pas où était Rily. Cette dernière souhaitait envoyer un dernier sort "test", en quelque sort. Avoir affaire à une illusion. Bon, ce n'était pas tout à fait une illusion, mais ça ne rendait que plus désagréable le sort. Elle grimaça. Et enchaîna sur un Vicero, comme ça sa recrue aurait droit à la totale, puis elle lança un Ragnarok face à elle, puisqu'on pouvait clairement identifiée là où elle était. Elle préférait les boucliers, mais les murs de pierres, c'est pratique aussi...

Eleonore qui ne savait toujours pas où se tenait son amie après l'explosion de l'arbre, n'eut pas le temps de penser a se protéger de toute attaque, quand une sensation de compression la prit tout à coup. Soudain, Eleonore trembla, le signe de la peur pensa elle, même si le fait de penser lui faisait tout aussi peur. Son imagination devait lui jouer des tours car Eleonroe baissa les yeux vers son ventre quand elle sentit comme une impression de vide. Le néant peut etre? Nan Eleonore n'était pas morte enfin elle ne le savait pas... C'était bête de mourir sans le savoir.. 'Fin ce qu'elle vit cependant, sortit du réalisme mais complètement! Ses propres entrailles sortaient de son ventre pour venir voleter dans les airs sans qu'Eleonore ne puisse faire quelque chose. D'ailleurs cet air n'était juste que du noir, Eleonore avait trop peur pour ouvrir les yeux enfin..comment pouvait elle voir ses entrailles qui se dérobaient d'elle en ayant les yeux fermés? La sorcière d'interrogea sur cette question quand une voix lontaine, très lointaine la sortit de la torpeur. Rily avait du lui jeté quelques sorts quand elle avait le dos tournée. Alors Eleonore reprit confiance en elle et attendit que les deux sortlège ne disparaissent, ou du moins que leurs effets ne s'estompent.

Alors la lumière éblouissante du soleil fit, brusquement, fermer le syeux de la Wonderland en quête de vengeance. Elle rouvrit les yeux et remarqua qu'une mur de pierre s'était dressé entre elle et un pomier. Rily était derrière, en tout cas Eleonore en était sure. Bref, agissant en moins de 5 minutes, la sorcière fit sortir de terre une motte de terre destiné a avaler le prochain sortilège que Rily souhaiterait lui renvoyer. Puis quand le mur se volatilisa Eleonore pointa sa baguette sur Rily et lança un "Flemjemb" inaudible ou presque. Si Rily était touchée, ses jambes seraient atteintes d'une fatigue, telle que Rily devrait surement romber a la renverse et Eleonore pourrait enfin soupirer car son entrainement serait fini. Toute fois elle resta ses ses gardes, attendant une réaction.

Rily attendit, campée derrière son mur. Aucun cri d'agonie ne lui parvint - non qu'elle s'y attende, seulement elle pensait que le sort de terreur infligeait une peur sans nom à la victime la poussant à hurler; c'est du moins ce qu'elle, elle aurait fait! - et elle se prit à s'ennuyer ferme. Lasse, elle s'assit dans l'herbe un peu roussit par l'explosion du pommier. Même pas une attaque contre son mur, rien. Le silence. Que Rily ne brisa pas, à l'écoute des bruits. Plus loin, un hippogriffe s'ébroua, un oiseau s'envola affolé, la caresse du vent fit plier l'herbe, que des choses insignifiantes. Elle patienta, consciente que son mur risquait de disparaître à tout moment. Et assise, franchement, elle risquait gros. Bon, Eleonore ne comptait pas la tuer - pas plus que, elle, elle le voulait - mais tout de même, elle était fatiguée et un peu ennuyée. Finalement, elle n'aurait peut-être pas dû se proposer pour entraîner son amie parce que, justement, c'était son amie. Et le combat ramait un peu. Mais Rily jugeait que tout avait été tester, à peu près, et ce qui ne l'avait pas été devrait être découvert sans elle.

Lorsque son mur disparut, la jeune femme sursauta. Elle s'était mise à réfléchir au moyen de finir et en avait presque oublié qu'elle n'avait, justement, pas le temps de réfléchir. Un sort la toucha presque immédiatement, sans qu'elle ait même le temps de lever sa baguette, et encore moins de se lever, elle. La Phénix ne ressentit rien, d'abord. Juste une violente douleur au dos qu'avait causé les dents de opossum/Eleonore quand elle se redressa. Elle voulut se relever mais ses jambes étaient complètement vidées d'énergie. Après quelques essais infructueux, elle renonça et resta assise. Sa recrue était derrière une motte de terre bien connue, qui aspirerait son sort sans difficulté. Rily haussa les épaules. Ça c'était bon pour les attaques directes, mais elle ne comptait pas attaquer directement. Elle jeta un rapide coup d’œil dans l'enclos. Elle remarqua une brouette dans un coin, remplie de... crottin d'hippogriffe. Beurk. La jeune femme essaya de trouver autre chose, mais rien ne vint. Elle résista à l'envie d'appeler Wisp et elle agit rapidement.

- Personnificatum Bellicis, lança-t-elle.

La brouette s'ébroua, tressauta un peu, puis se mit à rouler en direction d'Eleonore, en balançant de son contenu un peu partout. Les lèvres de la Phénix se tordirent en un rictus de dégout. Beurk, beurk, beurk, elle n'avait pas envie d'être à la place d'El... Elle se détourna de la brouette, et visa la motte de terre.

- Systam Mefet! Extéo Stattiga!

Elle verrait suivant la riposte de son élève, si elle arrêtait là où si elle poursuivait encore un peu. C'était la dernière phase: l'attaque multiple. Bon, l'attaque double, plutôt. Occupée à se battre contre la brouette (ça va, elle, elle s'était battue contre une fourche enragée !), verrait-elle les flèches? Rily avait volontairement visé de tel sorte à ce que les flèches ne touchent pas de points vitaux, elle ne voulait pas risquer de tuer Eleonore par erreur.

La fin de l'entrainement? Surement pas, Eleonore qui pensait qu'elle allait bientôt finir de se cacher derrière des arbres ou encore d'arrêter de riposter sembla surprise par un effet excexptionnel. Que dis je? Un spectable incroyable, stupéfiant quoiqu'un peu effrayant sur les bords. Devant elle, se profilait deux petites brouettes chargées de crottins d'hyppogriffes. Eleonore aurait voulu rire devant cette plaisanterie, dont Rily devait surement etre la coupable, mais quelque chose l'en empecha. Les crottes odorantes des animaux si succeptibles étaient lançées dans sa direction, alors la sorcière qui avait été prise par surprise s'assura de ne pas bouger les lèvres puis lança un Protégo tout simple mais informulé. es crottes alors rebondirent sur le bouclier puis retombèrent en un tas dégoutant sur le sol d'herbe fraiche. Eleonore prit soin de se décaler ouvertement de ce fumier puis leva sa baguette enformulant un RagnarokEn effet elle n'avait pas beaucoup d'imagination. Ellle et Rily avaient bientôt fait le tour des sortilèges peu communs et maintenant la Wonderland faisait ressortir les sorts du début.

Mais il s'avéra qu'Eleonore n'avait pas formé assez vite son mur de pierre car un sortilège de la phénix le fit exploser, enfin par "le" j'entend les quelques briques de pierres debout a ce moment là! Surprise, la sorcière sourit, le combat n'était pas finit même si elle avait hate que tout cela cesse. Elle se sentait a bout d'énergie, plus aucune envie de riposter ou d elançer des attaques. Ainsi quand trois flèches suivirent deux secondes après l'explosion du mur, elle eut de la chance de les remarquer malgré cette baisse de moral. Bref, la sorcière n'eut juste a se souvenir du souverir (aa) dans la foret interdite après sa dernière année de scolarité avec Peyton. Gloire avait fait omme cette dernière. Alors Eleonore éleva sa baguette vers Rily et dans une volonté surhumaine, une corde surgit de sa baguette et enlaça les trois flèches en les serrant si étroitement qu'elles retombèrent a terre. Un peu satisfaite, la sorcière ne fit plus rien. assez fatiguée comme cela.

Tandis qu'elle observait la scène, Rily ne se débarassait pas de son écœurante envie de vomir. C'était vraiment ignoble d'imposer à Eleonore l'obligation de se battre contre une brouette pleine de crottin, mais c'était sa dernière idée. Elle fut surprise lorsque la prétendante Phénix esquiva sa brouette grâce à un simple bouclier; simple mais néanmoins assez puissant pour la détourner. L'ancienne Gryffondor entreprit alors de lancer un Ragnarok, mais le second sort de Rily le toucha, et les quelques briques debout explosèrent. Puis ses trois flèches surgirent, et de la baguette de son amie sortirent des lianes, qui attrapèrent les flèches et les empêchèrent de la toucher. L'entraîneuse sourit. La jeune Wonderland s'en était merveilleusement bien sortit. Elle sortit de sa semi-cachette et avança vers la recrue, calmement, sa baguette rangée au chaud dans sa manche. Elle s'approcha à pas mesuré, laissant planer le suspens.

- Ton entraînement est fini, déclara-t-elle, un léger sourire sur les lèvres. Elle laissa s'écouler quelques secondes, le temps qu'Eleonore réagisse, puis elle lui fit part de ses impressions: Tu as parfois un peu manqué de sérieux, et tous ça aurait été certainement un peu plus corsé si je n'avais pas été une vieille connaissance, mais tu t'es quand même bien débrouillée. N'oublie pas, il est plus difficile d'affronter ses amis que ses ennemis, acheva-t-elle avec un clin d'oeil. Je peux avoir tes impressions sur le combat ? lui demanda-t-elle.

* Tout est bien qui finit bien! Au moins, t'as retrouvé ton amie, ma cocotte! Mission accomplie!*. Rily était ravie. Absolument ravie. Et heureuse. Absolument heureuse.

Rily conssentit alors a sortir de sa petite cachette de fortune. Eleonore esquissa un sourire puis attendit la réponse de Rily. Celle ci ne fit attendre quand l'ex-Serdaigle conclut que l'entrainement était définitivement fini, conclusion? La Wonderland exclama un petit rire nerveux mêlé d'un sourire encore plus grattifiant envers son amie. E,fin bref, elle regarda Rily puis rangea sa baguette dans sa poche intérieur de cape de voyage puis laissa son regard se poser vers le tas de crottes d'hyppogriffes. Que dirait Nathalie et les autres membres si ils voyaient tout ce tas de fumier malodorant? Eleonoe n'en savait rien, mais toutefois, elle pensa nettoyer tout ceci après avoi palé un peu de ce petit combat amical. Oui car, si Rily et Eleonore ne se connaissaient pas, la Wonderland serait persuadée qu'elle aurait été beaucoup plus agressive mais qu'elle n'aurait pas pû se débrouiller si bien, enfin au moins a la hauteur de ce que venait de dire son amie.

Merci, je suis contente d'avoir fini bien évidemment!

Enfin Rily jugea qu'Eleonore n'avait pas toujours été sérieuse. Ce que, cette dernière, comprit bien vite. Le fait que Rily lui ai sauté dessus, sous forme d'écureil et qu'Eleonore soit éprise du petit animal au lieu de rester sur ses gardes. Eleonore soupira sur cette petite scène ridicule mais qui faisait toute la différence entre une personne sérieuse et une personne idiote. Dans ces cas là, la Wonderland avait tendance a se questionner sur son propre sort mais là, elle sourit, encore et encore jusqu'a ce que des picotements se fassent sentir au niveau des zygomatiques. Apparemment Rily attendait une quelconque réaction sur le combat, alors Eleonoe prit garde a cette tache pour lui répondre aimablement, massant ses joues rosies.

Et bien, j'aurais pû etre beaucoup, beaucoup plus sérieuse. Mais je suis tellement contente de te revoir que..C'est sur oui!Aussi non, je sais que j'ai du mal sur les sortilèges de défence comme le mur de pierre qui ne se construit pas aussi vite que toi...Enfin un peu d'entrainement...Non?

La réponse à sa question ne tarda pas; et Eleonore lui avoua qu'effectivement, elle aurait pu être beaucoup plus sérieuse, mais que dans sa joie de la retrouver... et bien elle avait, forcément, été un peu déconcentrée. Rily le comprenait très bien: elle-même s'était sentie un peu décontenancée par le fait de revoir son amie dans des conditions qui leur permettaient de ne pas se taper dessus! Un large sourire s'étala sur le visage de la jeune femme qui se retint de la prendre dans ses bras. Très tactile, cela faisait un bon moment qu'elle n'avait pas eu de câlin - charge que ses parents n'étaient plus en mesure d'accomplir depuis qu'elle avait quitté le foyer familiale, des années auparavant... Un élan de nostalgie s'empara d'elle, bien vite dissipée par son enthousiasme du moment présent.

- Bon, et bien je pense que tu as une petite idée de ce qui t'attends maintenant ? lui demanda-t-elle. La dernière étape de ton entrée dans l'Ordre: le Serment Inviolable ! Est-ce-que tu te sens prête?

Elle se tu le temps que son amie réponde, puis elle aborda une question qui lui tenait à coeur; elle aurait du la lui poser au début mais l'émotion l'avait fait reculer bien loin, et elle venait tout juste de lui revenir. C'était l'occasion en or pour lui demander. Mais avant, elle remit l'enclos en état d'un coup de baguette, et seul le pommier explosé faisait office de témoin de leur combat. Les hippogriffes étant bien là où ils étaient, Rily les laissa, puis elle se tourna vers Eleonore. Elle avait, bien entendu, prit en compte sa précédente réponse.

- Dis-moi, El'... tu étais du côté du ministère que nous pensions infiltrés par les mangemorts, et qui l'est peut-être toujours, je n'en sais rien, mais j'aimerais savoir quelque chose. Elle fit une petite pause, le temps de peser ses paroles. Qu'est-ce-qui t'a poussé à vouloir rejoindre l'Ordre du Phénix ? Et... excuse-moi encore une indiscrétion, mais ça me traumatise depuis... ce soir-là, je pense que tu t'en souviens, avec Wena, et l'autre Auror, mais est-ce-que tu avais rejoins le ministère pour des raisons politiques ou juste pour le job ?

Soulagée de se débarrasser d'une interrogation qui la perturbait depuis longtemps, elle put se détendre davantage. Une fois qu'elle aurait sa réponse, elles libèreraient l'enclos et pourraient aller bavasser ailleurs. Wisp choisit ce moment pour apparaître dans un tourbillon enflammée, et elle se posa sur son épaule. Rily la gratifia d'un sourire, lui intimant d'une caresse de patienter un peu; et qu'après elle s'occuperait d'elle. Pour l'instant, c'était Eleonore qui l'intéressait !

Toujours avec son sourire, Eleonore écouta attentivement son amie. Le Servent Inviolable...Eleonore sourit, elle en avait entendu parler une ou deux fois et elle avait hate de le faire. Malheureusement quelques paroles vinrent heurtées la bonne humeur d'Eleonore qui garda quand même son sourire, baissant légèrement la tête. Bien sur Rily n'était pas au courant de tout ce qui s'était passé quand elle même était gardienne sous le mandat de Rabou. Pourquoi elle s'y était engagé? a devenir gardienne? Eleonore savait que Rily allait comprendre cette réponse, aussi elle employa un ton serein.

Ahh..Je vois..C'est normal que tu me le demande. D'ailleurs j'ai une convoquation au ministère pour ceci. Mais je tiens a te die que je n'étais pas au courant de tout ce qui se passait derrière l'équipe des gardiens..J'étais là pour travailler car je venais de sortir de Poudlard et je voulais trouver un boulot.

Puis se souvenant d ela première partie de la question, Eleonore ne tarda pas a répondre doucement et aussi calmement que l'autre instant. Peut etre Rily allait elle la croire, ou pas, c'était son problème mais Eleonore admira que son amie lui avait donné le droit de s'exprimer sur ses gestes et fait lors du mandat de Rabastan, bien qu'elle n'eut rien fait. Mais bon, elle affirma qu'elle voulait répondre, même si elle ouvait se faire virer des phénix. Mais était ce possible de se faire virer de l'ordre du phénix en étant juste en formation? Eleonore ne se questionna, tout de même, pas plus.

L'ordre du phénix..Et bien, j'avais envie de lutter contre les mangemorts après mon expérience auprès d'eux. Enfin auprès d'eux..tu me comprends? Quand je travaillais comme gardienne sans savoir qu'ils l'étaient. Mais pour cette soirée avec Wena...Et bien... c'est bizarre mais.. c'était sans doute sous l'influence du ministère. Même si c'est ausis ma faute de m'avoir laissée m'être manipulée..

Rily sentit une vague de soulagement l'envahir lorsqu'Eleonore lui expliqua qu'elle avait rejoint le ministère parce qu'elle sortait de Poudlard et qu'elle avait besoin d'un boulot. Elle n'était, à l'époque, pas au courant de ce qui s'y tramait. C'était tout à fait compréhensible, et Rily crut son amie sur parole. Elle n'avait pas le courage de chercher un indice quelconque et, de toute façon, elle avait confiance en Eleonore et ne comptait pas lui montrer le contraire. Elle accueillit donc sa tirade avec un soupir de soulagement qui reflétait parfaitement ce qu'elle ressentait. Du soulagement. Cette immense vague de soulagement, qui menaçait de l'emporter de puis qu'elle avait reçu la candidature de son amie. Cette dernièr elui expliqua ensuite qu'elle rejoignait l'Ordre pour combattre les mangemorts après son expérience involontaire auprès d'eux. Rily la crut tout autant, et ne se formalisa pas du fait qu'Eleonore s'était faite un peu manipulée. C'était pour son boulot, c'était donc normal, si elle voulait vivre il fallait bien qu'elle se prête aux exigences du travail.

- Merci de m'avoir répondu, El', je comprends mieux maintenant et je suis largement rassurée! Que dirais-tu qu'on rentre, maintenant ? J'ai l'impression qu'il va pleuvoir, on sera mieux à l'abri pour soigner nos blessures, lui proposa-t-elle en levant les yeux vers le ciel.

Le ciel se couvrait, effectivement. Wisp ne tarderait pas à revenir, et, effectivement, quelques secondes plus tard, son phénix apparut dans un tourbillon enflammé. Elle vola jusqu'à Rily et se posa délicatement sur son épaule et gratifia sa maîtresse d'une note douce et celle-ci lui rendit un regard doux. Wisp revenue, c'était que l'orage n'allait pas tarder à éclater. Une première goutte tomba, droit sur la tête dorée de son oiseau de feu, qui se secoua avec indignation, ce qui arracha un rire à Rily.

Apparemment Rily sembla soulagée, enfin c'est ce que put voir Eleonore avant de fermer les yeux pour pousser un long soupir. Fatiguée..Oui c'était exactement ce qu'elle était. Mais surtout soulagée d'avoir fini cet entrainement rude et dur. Rouvrant les yeux pour regarder Rily droite comme un piquet, Eleonore l'entendit dire qu'elle voulait rentrer enfin elle le suggérer. Ce que la Wonderland affirma d'un hochement de tête. Elle leva, cependant la tête, puis remarqua qu'il allait vraissemblablemment pleuvoir d'ici peu. Alors elle mit sa main dans sa poche puis de l'autren elle entoura l'épaule de Rily comme pour la réconforter. Ce geste était plutôt affectif que remonteur de moral. Mais Eleonre s'en fichait, elle était heureuse comme pendants ses années d'études, et avec sa meilleure amie! Rily semblait heureuse elle aussi alors Eleonore sourit puis porta son atention sur le phénix de Rily qui venait d'apparaitre dans une magnifique pluie de gerbe oranges. L'animal était magnifique et Eleonore ria légèrement quand une goutte de pluie s'écrasa sur la fine tête de l'oiseau.

Puis levant la tête, la Wonderland affirma qu'il allait pleuvoir et sans doute y avoir de l'orage. Alors prenant toutes les précautions du monde et très artistiquement, elle recula de l'endroit où elle était avec Rily puis accourut vers l'arbre déterré a cause des sortilèges du combat et s'accroupit en frappant ses jambes de ses mains. #Taïgo viens ici!# Un faible miaulement se fit entendre derrière un buisson. Eleonore pencha sa tête et remarqua que son petit chat venait de sortir de l'enclos aux hippogriffes pour venir froler ses jambes. Le visage d'Eleonore se renfrogna tout en avançant vers l'entrée du Q.G., son chat dans ses bras, quand le tonerre, au loin, gronda. Chassant une image de sa tête en secouant cette dernière la jeune femme suivit Rily pour rentrer dans le grand batiement dans lequel Eleonore pouvait venir s'y réchauffer.

Précedemment

RP avec qui veut bien me sauver D:

L'elfe déboula derrière le portail et poussa la grille, traînant Morgan qui geint dans son inconscience. La terre grattait, rouvrant des plaies qui se remettaient à saigner. Perceval referma la grille derrière lui et se mit à hurler :

-A l'aide ! Maître Morgan blessé, presque mort ! Du secours ! Vite ! L'elfe continuait de traîner le sorcier le long du chemin jusqu'à la maison. Ce n'était pas forcément une bonne idée, mais dans la panique, il ne savait pas quoi faire d'autres. Son maître était mourant, et il ne voulait pas se retrouver seul. Si son maître périssait, il n'aurait jamais sa bénédiction pour épouser Mollard. Il n'aurait plus les objets loufoques du monde moldu qu'il lui ramenait en guise de salaire. Il n'y aurait plus personne pour surveiller ses arrières de Bébénezer qui essayait sans cesse de le capturer. Et puis Morgan avait toujours été un maître aimable et gentil. Non, Percy ne pouvait pas le laisser mourir sans rien faire. Il ne pouvait pas le laisser mourir tout court. Il abandonna alors le corps sur le perron et se précipita à l'intérieur, hurlant de nouveau :

-MORGAN BLESSE ! DE L'AIDE ! VITE ! AIDEZ-MOI ! pendant ce temps-là il se précipita dans la cuisine, attrapa un bol et un chiffon. Il remplit le bol d'eau chaude et retourna jusqu'à Morgan, appuyant le chiffon trempé contre les plaies. Il ne savait pas si c'était utile, mais c'était la seule idée qu'il avait eu. Il espérait que quelqu'un était là dedans, que quelqu'un l'aiderait. Sinon, ça serait direction Sainte Mangouste et il n'avait pas vraiment envie d'aller là bas. Il savait à quel point Maître Delaube détestait ce lieu. Alors pour le moment, il épongeait, essayant de nettoyer les plaies comme il pouvait.

LA de l'efle, j'éditerais si besoin (parce que je ne sais pas si Percy connait bien la baraque ou pas)

Rachel remontait doucement les marches qui menaient au petit salon, vidée de toute énergie mais incroyablement paisible. C'était assez étonnant au vu de ce qu'il venait de lui arriver. Son entrée dans les Phénix marquait le début de quelque chose de grand en ce qui la concernait. C'était le résultat de plusieurs années, l'espoir de pouvoir bientôt tenir sa promesse. Sauver le monde ou, à défaut, sauver Kohane et ses proches. Sa famille pour commencer, de qui elle n'aurait jamais s'approcher, s'accrocher. Aimer ? Oui, au moins un peu, parce que l'inverse lui était presque impossible. La rancœur, le dégoût oui. La haine non. Elle n'y arrivait jamais.

En tout cas on pouvait aisément dire qu'elle était au ralentit lorsqu'elle poussa la porte de l'escalier et arriva dans le lieu souhaité. Elle fut plutôt heureuse de ne croiser personne : elle n'était peut-être dans les meilleures conditions physiques pour faire la bise de serrer des mains -peu importe ce qui ce pratiquait par ici. Néanmoins, elle aurait été encore plus heureuse de ne pas entendre crier soudainement. Il y avait mieux comme entrée en matière. Et surtout Rachel ne se considérait pas comme la plus qualifiée pour intervenir. D'autant qu'Ester n'était plus au commande à cause de cette entraînement qui avait duré trop longtemps.

Il n'y avait que Rachel la faible, la sentimentale, la rêveuse. Ce fut donc celle-ci qui se précipita vers ce qu'elle pensait être la source des hurlement. Bingo ! Un corps. Enfin... "Bingo" elle venait de trouver du premier coup et pourrait agir vite, pas "bingo" on a un blessé c'est cool. Bref. La sorcière se précipita donc de plus belle, les tripes presque dans l'herbe lorsqu'elle arriva. En chemin elle en avait profité pour dégainer sa précieuse baguette, elle ne tarda donc pas à informuler un #Curo As Velnus Maxima. Parce qu'elle n'avait jamais vu des blessures de cet importance et qu'à la place du type c'est ce qu'elle aurait voulu qu'on fasse pour elle en premier. Puis c'était aussi surtout parce qu'elle ne connaissait pas vraiment d'autres sortilèges de médicomage... Un point à travailler visiblement.

- Mais qu'est-ce que c'est passé p*tain ?!? demanda-t-elle à l'elfe à moitié paniquée (elle, pas l'elfe).

Rachel avait du mal à respirer, mais pour dire vrai elle ne s'en préoccupait pas trop. Ce serait difficile pour elle, mais certainement beaucoup plus simple que pour lui. D'autant que travailler son cardio ne lui faisait pas de mal ! Bref. Un charme du corps ondoyant plus tard, la sorcière se précipitait à l'intérieur suivit de près par l'elfe qui la guida comme il put vers la salle de soin (puisque Rachel ne connaissait du bâtiment que le jardin, le sous-sol et le salon...

Percy paniquait. Voir son maître dans cet état lui était insoutenable. Il ne savait pas quoi faire, il ne savait pas soigner les gens... Il ne voulait pas que Maître Morgan meurt ! Alors il regarda la nouvelle sorcière, celle qu'il avait trouvé car elle avait répondu à son appel.

-Je... Je pas savoir. Perceval l'avoir trouvé comme ça, dans neige, dans pays étranger. Perceval l'avoir ramené ici parce que Perceval savoir que ici gens gentils ! L'elfe de maison regarda la sorcière pratiquer un sortilège, et passa et en tête pour la guider à travers la bâtisse. D'un claquement de doigt il approcha un lit rapidement pour que la sorcière puisse y poser son maître. Il jeta un coup d'oeil au bureau et vit un étalage de libre et de potion. Y'avait qu'à fouiller rapidement. Il se précipita là bas et commença à lire les étiquettes.

-Pâte à brûlure, potion de désinfection à ne pas avaler, philtre régénérateur à la mandragore, potion de Lonéat... Quoi être ça ? Potion régénération sanguine ! Goutte mort-vivant... Perceval avoir tout sorti. Vous devoir choisir quoi donner ! Perceval pas savoir ! Le pauvre elfe tremblait comme une feuille, les mains couvertes de sang. Il avait trouvé un livre expliquant l'usage des potions et l'avait posé à côté du tas de fiole. Il ne l'avait pas ouvert, car il ne voulait pas tâcher les pages de sang. Son regard désespéré se porta sur la salvatrice. Il attendait qu'elle fasse quelque chose car tout reposait sur ses épaules.

La sorcière ne s'était pas rendue compte, en arrivant quelques heures plus tôt, que le bâtiment était aussi grand. Elle était dans tous les cas bien contente d'avoir à ses côtés l'elfe, car sans lui elle aurait très certainement été obligée de laisser l'homme dans le salon. Puis elle aurait mit des heures à trouver la salle de soin, plus de longues minutes supplémentaire pour parvenir à mettre la main sur quelque chose d'utile. Pourquoi cette salle se trouvait si haut dans le bâtiment ? Ce n'était ni logique ni pratique.

M'enfin, elle n'avait pas vraiment le temps de penser à l'aménagement, c'était juste quelque chose qui lui avait traversé l'esprit tandis qu'elle avait suivit l'elfe dans les escaliers. Le sorcier était maintenant allongé sur un lit, toujours inconscient et Rachel devait bien admettre qu'elle était tout aussi perdu que la créature. Les soins ce n'était pas son fort, elle ne s'était que très rarement blessée dans sa vie et c'était bien la première fois qu'elle se retrouvait seule face à une situation de cette importance. Cependant elle restait lucide, ce qui lui permit de rapidement faire le tri dans les potions que l'elfe lui avait ramené.

- Pâte à brûlure, potion de désinfection à ne pas avaler, philtre régénérateur à la mandragore, potion de Lonéat... Quoi être ça ? Potion régénération sanguine ! Goutte mort-vivant... Perceval avoir tout sorti. Vous devoir choisir quoi donner ! Perceval pas savoir !

Rachel se précipita sur les flacons et Perceval recula pour lui laisser la place. Le sang qu'il avait laissé sur les potions provoquèrent un frisson intensse qui l'obligea à fermer les yeux, mais un simple coup d'oeil au corps meurtri de l'homme et elle se remet à chercher.

- Pas ça... oui ça.. non ! P*tain chais pas ce que c'est non plus...

Elle avait sélectionné la pâte à brûlure, le reste ne lui inspirant pas plus confiance que cela. Un rapide coup d’œil au livre ramené par l'elfe et la voilà qu'elle hésitait encore plus... Le Lonéat ça avait l'air pas mal aussi... Rachel attrapa donc les deux fioles à la volé, espérant -priant- pour ne pas faire plus de mal que de bien en donnant les deux, mais après quelques secondes de réflexions -de trop longues réflexions- elle avait fini par se rendre compte qu'elle ne connaissait pas assez la médicomagie pour faire un choix.

Perceval c'était de lui-même mis sur le côté et la sorcière lui en était reconnaissante pour cela. Gérer ses propres angoisses étaient déjà assez difficile, mais gérer celles des autres était presque impossible. D'autant que la verte tremblait tout autant que la créature lorsqu'elle appliqua la pâte avant de faire boire la potion.

Puis soudain il lui sembla que tout redevenait effroyablement calme et tandis que des larmes se mettait à couler, la sorcière empoigna le gallion d'urgence qu'elle avait autour du coup pour prévenir le reste des phénix. N'importe qui, quelqu'un qui pourrait réellement aider. Puis Rachel attrapa un bol qu'elle remplit d'eau, un chiffon et fit de son mieux pour calmer les battements de son cœur en nettoyant le sang que l'elfe et l'homme d'un geste qui se voulait réconfortant. Les potions et le livre elle s'en débarrassa d'un simple coup de main.

Rachel avait devant elle le résultat de la guerre. Ce pour quoi elle venait de signer. Alors une seule question tournait maintenant en boucle dans son esprit "suis-je prête ?"