Dortoir [Garçons]

Réponse à Jace

C'est après avoir terminé cette journée qui pour moi semblait interminable que je décida de me rendre à mon dortoir. Les cours m'avaient épuisés et il me fallait trouver un peu de calme. Bouquins de cours sous le bras gauche, je récitais le mot de passe de la salle commune devant le mur des cachots et entra. La salle commune était particulièrement vide, peut-être deux ou trois filles qui gloussaient assez fort sur un canapé mais rien de plus. Je ne m'attardais pas plus longtemps que ça ici, à quoi bon, et monta vers le dortoir des gars pour avoir un peu plus de calme. Ici, personne. Ou ouais peut-être juste un gars mais ça, c'est qu'un détail, en plus, il avait pas l'air dérangeant. Je posais - ou plutôt jetais - mes livres sur mon lit et m'affala dessus en soupirant. C'est lassant ces journées qui se répètent sans cesse. J'fixais le gars qui était occupé à lire un livre quelques lits plus loin. Pfeuh. Un studieux ? Il ne semblait pas m'avoir vu. Quoique vu tout le boucan que j'ai fais en entrant ya des chances qu'il m'ait entendu. Va falloir que j'essaie de faire copain-copain, histoire de paraître un peu sociable. Je me relevais et descendis rapidement du lit pour rejoindre le gars et m'asseoir sur le sien.
Avant qu'il ait le temps de refermer son livre, je le saisis et le ferma brusquement sans lui laisser le temps de protester. La politesse c'était écouter la personne et pas lire en même temps qu'elle lui parlait. Le mec avait les cheveux noirs et les yeux bleus, ouais, pas mal.
Mais pas mieux que moi en fait non. Bon. Fallait bien qu'un de nous deux lance la conversation sinon ça allait finir par être gênant. Quoique.. Ca l'était déjà.

Hm. Salut. J'espère que j'te dérange pas. D'ailleurs y'a plutôt intérêt parce-que tant pis pour toi si je te dérange, j'bouge pas d'ici moi.

Rétorquais-je peut-être d'un ton sec. Oh et puis, si ça ne lui plaisait pas, tant pis ! Qu'il soit déjà content que je lui ais adressé la parole, non mais !

Hrp : excuse moi c'est un peu petit..

Du bruit.
Quelqu'un dans le dortoir, aucune importance. Il n'est rien.
Voilà qu'il décide de se lever et de venir s'asseoir sur mon lit.
Le seul espace où normalement je peux être totalement seul avec moi-même... et mes cicatrices...

Et par-dessus le marché il me gêne dans ma lecture, en le prenant et le fermant.

Me dit-il avec un ton sec.
Je le regarde de bas en haut, grand, blond, vairon. Au vu de ses manières, de ses paroles et de son incommensurable envie d'embêter le monde... Sans aucun doute un Sang-pur. Alors, que vais-je bien pouvoir lui dire... J'ai une petite idée...

-Salut, tu déranges pas dans le dortoir en revanche, mon lit. C'est mon lit. Je te prie de bouger de là, tu gênes mon espace vitale. -Je m'arrête un instant- Si tu veux "papoter" Tu peut rester sur ton lit, je suis sûr que tu as beaucoup d'histoire sur ta famille Noble à raconter.

Je reprends donc mon livre, et continue ma lecture.
Je viens clairement de blesser son ego... tans mieux.

-Soupir-

Impossible de me concentrer et avec lui en plus... ça va pas du tout aider...

Plus bête que je ne pensais celui là. Déjà que je ne m'attendais pas à beaucoup de la part d'un gars comme lui, alors là. Je viens faire l'ultime effort de lui adresser la parole et monsieur n'est pas content ! Non mais je rêve ! Je ne vais pas me déplacer car ça ne plait pas au petit jeune homme, à ce que je sache, j'fais c'que j'veux ! Voilà qu'il reprenait son livre, non mais je rêve ! Il avait l'air parfaitement décidé à m'ignorer. Du mois jusqu'à ce que je retourne sur mon lit. Et je ne suis pas si sûr d'y retourner si vite. Fronçant les sourcils et croisant mes bras sur mon thorax comme j'avais si bien l'habitude de le faire.

Tu peux toujours aller sur mon lit si je te gêne. Mais moi, je reste là. Et c'est pas tes caprices qui vont m'faire changer d'avis vois-tu.

Dis-je d'un ton des plus amer, en le fixant avec un air sérieux qui était en mon habitude. Qu'il comprenne que c'est pas lui qui va me dicter mes actes et que je fais ce qui bon me semble.Que cela plaise, ou non. Il avait l'air calme. Tant mieux. J'aime pas les mecs qui se croient gangster au dessus de tout le monde. Moi je suis bien au dessus de lui, ça se comprend tout de même ! Non ? Je n'avais plus du tout envie de lui parler, et je restais là, plusieurs minutes à le fixer lire dans le plus grand des silences. Je soupirais de fatigue. Si c'est pas la situation des plus gênantes ça.. tuez moi bon sang me voilà coincée dans un pièce avec le plus grand des abrutis.

Bon ben t'as de la chance ! J'me fais chi*er ! Donc j'vais aborder un sujet. Par contre, t'es pas mon pote ! Et j'vois pas en quoi tu devrais l'être en fait ! Mais vu que moi j'ai appris les bases de la politesse, je me présente ! Moi, c'est Mike Anderson, et tu vas probablement souvent entendre parler de moi vois-tu.

J'avais enchainer mes paroles à la vitesse de l'éclair ! Même si j’éprouvais en quelque sorte un peu de dégout envers.. ça. J'avais quand même envie de faire bonne impression, alors, je souriais comme je pouvais. Ou plutôt, je souriais de cette façon moqueuse dont j'avais tant l'habitude. Parce-que ouais, j'me moquais bien de ce Serpentard qui semblait plus perché que ce qui me semblait.

Moi faire des caprices . Est-ce que ce bonhomme s'est regardé dans le miroir ? J'en doute. Il serait tombé amoureux de son propre reflet.

J'abaisse légèrement mon livre. Il me fixe et je le fixe à mon tour.
Monsieur se croit au-dessus de tout le monde à ce que je vois. Je donnerais mon âme à la traîtresse pour la voir s'acharner sur lui.
Que dis-je...

Au lieu de regarder cette énergumène. Je reprends donc ma lecture des plus passionnantes sans pour autant qu'il bouge de mon lit.

Au moins deux bonnes minutes passèrent sans que Monsieur ne bouge ou ne dise aucun mot.
Tans mieux, je le préfère la bouche fermer.

Et pile au moment ou je finis de penser cela, qu'il se remet à parler à une vitesse folle...

Mike Anderson, l’ennuyeux de première à un nom.
Il croit que cela m’intéresse peut-être ? faisons semblant de s'y intéresser.
Tout en le répondant, je continue ma lecture.

-Salut Mike Anderson, tu n'as qu'à lire si tu te fais chi*er à ce point. T'en fais pas va, je n'ai pas envie d'être ton « pote ».

Je terminai ma phrase et j'optai pour un léger silence de quelques secondes.

-Moi s'est Jace Becker. -lui dis-je en lui faisant un léger signe de main en tout en lisant- J'en doute pas un instant que je vais entendre plein d'histoire merveilleuse à ton sujet.

Contrairement à ce mec, je parlai calmement. Et je lui rendis son sourire totalement faux et moqueur.

Autorisation de Jace pour poster
Post unique
LA de Galway

Pleine après-midi. La plupart des élèves sont en cours. Toi, t'as une heure de libre. Et tu sais exactement à quoi l'utiliser. T'as déjà passé une bonne partie de ta nuit à redécorer la Grande Salle avec Nash. Mais cette fois-ci, c'est quelque chose de plus grand. Une mission. On t'a demandé de le faire. Alors tu ne dois pas te rater. Faut que tu fasses les choses bien. T'es repassé à ton propre dortoir pour récupérer une bombe de peinture et l'affiche de l'Ordre du Phénix que t'as volé dans la Grande Salle pendant la nuit. Baguette en poche, tu te diriges vers un dortoir bien particulier.

C'est celui de ton préfet. Un rouquin. Mais surtout, un né-moldu. Et c'est ce qui importe. C'est pour ça que tu l'as choisi lui. Bon, le fait qu'il soit préfet joue aussi, à choisir, c'est encore mieux de retourner le dortoir d'un membre de la Direction. Tu ne sais pas trop pourquoi tu les détestes à ce point là. Ce ne sont que des élèves comme les autres, insigne en plus. Mais tu ne peux pas les saquer. Sans doute leur volonté de faire respecter les règles à tout prix. Ou le fait qu'il leur arrive d'essayer de t'empêcher de faire ce que tu veux. Tu n'acceptes aucun ordre venant de leur part. D'ailleurs, la plupart du temps, tu n'acceptes même pas que l'un d'eux t'adresses la parole. Ils ont le don de t'hérisser le poil.

Le dortoir de Lynch est étonnement plutôt mal rangé. T'étais persuadé qu'il était du genre à tout mettre à sa place, sans rien qui dépasse. T'as bien fait de ne pas parier là-dessus, t'aurais perdu. C'est dommage, c'est encore plus jouissif de retourner tout quand c'est bien rangé. Mais tu t'en contenteras. Tu vérifies une dernière fois que t'es bien tout seul, et tu te mets au travail. Tu commences par sortir absolument toutes les fringues de son armoire pour les balancer partout. Tu pourrais utiliser ta baguette, mais pour le coup, tu prends vachement plus ton pied à tout faire à la main. Après les fringues, c'est le matelas qui se retrouve par terre. Les rideaux arrachés, réduits en lambeaux, cette fois-ci à l'aide de #Diffindo. T'en balances quelques uns sur le matelas et les fringues aussi, histoire que tout soit assorti.

Et tu jettes un #Reducto sur l'armoire, et un #Bombarda minima sur le sommier du lit. Pour tout mettre en miettes. Tu profites que ta baguette soit sortie pour balancer des #Atshum Draconis et des #Merdum Draconis sur ses draps, ses fringues, et son matelas (ou ce qu'il en reste). T'observes ton oeuvre avec un sourire fier. Faut dire que c'est plutôt réussi tout ça. Il ne manque plus que la touche finale. Celle qui accusera l'ennemi de la cause que tu veux servir. Un coupable idéal, puisqu'également illégal. Tu sors l'affiche de ton sac. La belle affiche de l'Ordre du Phénix. Celle que t'as trouvé dans la Grande Salle, mais aussi sous forme de prospectus à différents endroits. Ils ont finalement bien fait de faire le petite propagande. Toi, en tous cas, ça t'arrange.

Tu balances un coup de #Leglutten au mur et tu la colles soigneusement. Bien droite, sans le moindre pli. Pour être bien sûr qu'elle soit pénible à décoller. Et bombe à peinture en main, tu écris quelques mots à côté. En rouge pétant. Rouge sang. Bien gros, pour qu'il ne puisse pas passer à côté.

Les Sang de Bourbe ne sont pas les bienvenus chez nous

La phrase prend une bonne partie du mur. T'es vraiment fier de toi sur ce coup là. Tu signes "ODP", quand même. Des fois que l'affiche ne suffise pas. Et tu récupères tes affaires avant de quitter le dortoir discrètement.

Envers et contre tout

- Éliza -

Démêler le vrai du faux, 13 ans.

RP précédent : Cours d'Histoire de la Magie

L.A. de Zack.

Quinze heures_couloirs_déserts, j't'ai suivi jusqu'ici Slavski. Salle_commune//comme une_rancune, le regard_noir - toi, tu t'enfonces dans l'dortoir. Ok_j'reste planqué/un moment_ isolement, il m'faut bien ça ; s'remémorer_le cas, le pourquoi_ du comment_ça_a commencé. C'est maladif, j'dois assembler l'motif, démêler la vérité. Déter à déterrer, fossoyeur affamé_ questionnaire aiguisé, j'me ramène dans l'arène _sur la scène. T’assène de_2_yeux décidés. Essaye pas de m'embrouiller, embraye pas ton refrain rouillé - Balec mec, du masque angélique _ton sec_ j'balance la réplique :

— Kestufouté Slavski avec cette photo d'ma mère ? Vazy là, réponds, j'tourne en rond - presque Lion - dans ma cellule_incrédule, gesticule/ Ça sert à rien d'mentir.m'attirer dans ton délire m’attitrer encore un personnage d'ton entourage. Range tes théâtralités - aujourd'hui Slavski - j'veux d'la réalité.

Let's play hide & seek, Little Red Riding Hood.L'épée de Damoclès au-dessus de ma tête, n'attends que toi, que t'apparais dans mon monde, pour le faire voler en éclat. Dans mon silence, j'attends que tes mots me percutent, que ta violence me charcute. Ton venin s'écoule de tes lèvres, comme le sang dans mes veines. T'es censé être de la famille, dire que je mets un poing d'honneur à ce qu'elle soit sacrée. Pourtant, je n'ai pas envie de m'embêter avec ces bêtises, de foncer tête baissée dans ce ramassis de conneries. Ton visage d'enfant incompris face au mien, impassible. Lentement, je ris. C'est nerveux, je le commande pas, mais tu me fais pitié, je n'ai pas le choix.

En Vérité, je sais qu'on n'a pas besoin de tout ça, de tout ce cinéma. Seulement, tu veux jouer les grands, être celui qui pose les questions pour exiger des réponses, sauf que je n'ai pas envie de rentrer dans ton jeu. Tu me fatigues, gamin. Tellement. Je sais que mon sourire narquois s'affiche sur mes lèvres, que je te défie du regard avec une témérité tempérée, une ruse serpentine jusqu'à que ma langue de Vipère, opère, son spectacle théâtral, dans les règles de l'art, véritable cliché de Serpentard.

- ☾ Ta mère, elle a oubliée de t'enseigner les bonnes manières ou ça se passe comment, Huh ? T'es vraiment un sale capricieux pour te rabaisser à ce jeu-là, je te croyais plus intelligent que ça, Askin ! ☽

Ainsi, sans surprise, l'impertinence aux bouts des lèvres, ma stature suinte l'assurance, frôle l'arrogance et assure avec insistance que t'es dans de sales draps. T'as beau faire le malin, t'as trouvé bien plus fort que toi. Ce n'est pas un hasard si on se ressemble, si on a le même comportement. Que tu le veuilles ou non, on fait partie de cette même famille. Que tu le veuilles ou non, sache que j'l'ai pas choisis. Alors, pas de doute, tu finiras par céder, par l'accepter, dans le cas contraire, ça ne changera rien pour moi, tu me fais l'effet ☾ Ni chaud, ni froid ☽, tu sais.

Pour finir, je ne sais pas trop si j'ai envie de m'assoir, envie d'aller dans ma chambre pour ne pas avoir à croiser ta tête qui me file, en ce moment, plus le cafard qu'autre chose ou simplement, rester là pour te faire vivre un véritable cauchemar. Quoiqu'au final, vu ton comportement, j'en rie intérieurement et croise mes bras devant toi, te jugeant silencieusement, comme tu le fais souvent avec moi. À ce jeu-là, de nous deux, c'est toi qui perdras, qui abandonnera, crois - moi.
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❥ note hrpg ; Cette photo, Lili, elle est tellement amour

! ~ ♡© 2981 12289 0 & Azryel - RP PV with Élius Askin.

Envers et contre tout

- Éliza -

Démêler le vrai du faux, 13 ans.

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T'es vraiment une imposture, c't'une vraie torture d'me reconnaître dans ta posture. _Mais - t'es en train d'me faire la morale ? Mec, franchement tu t'fais du mal... Vazy,_ arrête - tu vas t'taire :

— Calme-toi avec ma mère ! Envie d'tout foutre en l'air, m'casser d'.là. j'veux m'barrer, t'envoyer en balade_t'es qu'un grand malade. Dans ma poche .l.a. _p.h.o.t.o. - sur mon cerveau - accroche son étau_ TIN ! _j'm'en fous pas en fait_j'deviens fou, regarde ma tête ! Puis, d'abord pourquoi tu m'réponds pas ? _ Ok, j'comprends_contiens le volcan.forcer la communication,d'façon TU détiens les explications _ Vois ma grimace_Ma face se tord/trop_d'effort pour pas k'jme casse. J'ravale ma salive nocive, m'pose, retiens la psychose_m'assois - juste là - devant toi_tailleur/sur le lit_à l'intérieur/la folie me dévore_mais dehors, visage de décor, j'te sors :

— Ok. Mais dis moi juste ce que font ma mère et mon oncle là dessus ?_j'sens la sen.tence suspendue sous mon nez_Enfance rompue par la vérité _innocence perdue_can_deur_bri_sée...

Let's play hide & seek, Little Red Riding Hood.Véritable animal de foire, dire que tu es comme moi, à Serpentard. Venant à la simple conclusion, que ma bonne étoile est en pleine disparition. Je soupire tout en roulant du regard devant ton attitude ridicule. Dire que si je le veux réellement, rien qu'avec mes mots, je t'envoie dans le vestibule. Aujourd'hui encore, tu penses être le maître de la situation, être celui qui gère les décisions. Est-ce moi ou t'es simplement con ? Mensonge sur mensonge, face à cette machination machiavélique, je me disais que ma famille avait été loin d'être angélique.

Pour le coup, j'ai envie de m'en griller une, parce qu'à te voir comme ça, tu me déçois. Ma folie grimpe dans ma tête, fait battre mon cœur, espérant un jour, même qu'il s'arrête. De plus en plus nerveux et en colère, je me demande alors si je ferais pas mieux de te renvoyer chez ta mère. Tu m'agaces, l'ananas. Vas jouer l'hérisson au salon, parce qu'à jouer comme ça, tu seras le premier à crier à l'abandon.

Tu sais, je sais que tu m'dévisages, de ton regard, je devine que t'es loin d'être sage. De mon côté, d'un naturel penchant pour la froideur, j'envisage, dans mon plus fort intérieur, de te remettre les pendules à l'heure. À commencer par récupérer une bonne humeur. Ainsi, l'armoire à glace qui se repose dans ma poitrine, te fait comprendre que j'vais la jouer fine. Alors, d'une langue vipérine, lentement, je t'assassine.

- ☾ Je n'ai pas d'ordre à recevoir de toi, morveux. Donc, baisse d'un ton. Et parce que tu m'fais ch**r avec ta question, j'vais te le dire franchement. Les personnes, là - dessus, de ce que j'en sais, c'est ta mère et sa sœur, ma mère et mon père, ton oncle. T'inquiète pas que t'es pas le seul que ça choque, j'ai du mal à y croire aussi. Maintenant que t'es au courant, tu décampes, tu te casses et tu vas voir ailleurs si j'y suis, j'ai autre chose à f**tre que d'avoir un boulet à mes pieds. J'ai suffisamment de choses à faire que d'avoir à te gérer aussi. Bref, déguerpis ! ☽

Tant de maladresse, si peu de politesse. C'est avec une certaine habilité que je t'agresse, sur le même ton que le tien, en espérant que cette mascarade cesse. Quelle sympathie, cette ironie. Le mauvais sort s'acharne sur nous comme dans une bergerie où s'y cacherait le grand Méchant Loup. ... Alors, je serais toi, petit chaperon rouge... Fuis avant que je ne t'attrape, parce que si je le fais, tu passes à la trappe.
© 2981 12289 0 & Azryel - RP PV with Élius Askin.

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- Éliza -

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TaP_TaP_Cœur battant - Vazy, tu mens ? - Quinze heure - maman n'a pas de sœur.. - trente pétante, c'ki cette tante ? - Les termes qui tombent sur le lit comme autant de pièces.puzzle inattendu. Visage ingrat, j'me lève_me fous devant toi. Maman ment _ maman _ ment _maman ment ? Maman - m'en.mêle pas Maman à ça ! m'en.mêle pas l'cerveau avec tes mitos/j'deviens barjot_jarte tes mots. Doigts accrochés aux tempes, roi tombé d'sa rampe/atterrissage forcé, ramassage instantané. Ça coule, s'écoule, s'écroule jusqu'à l'étage inférieur. Trois cents pas dans la piaule_ Attentat dans mon royaume_merde_merde_merde_faux pas_faut pas qu'je perde_le_con_trô_le. Mon regard s'égare, t'amarre, repart, te pare, se barre_j'me marre//silencieusement_j'me mords intérieurement, ça se tords dangereusement_ là _de.dans. Avis d'avalanche, attention le nid penche, chute d'oisillon derrière mon front.

Passe ta souris sur la fiche :mm:

To be continued...Somewhere beyond happiness and sadness I need to calculate what creates my own madness. And I'm addicted to your punishment, and you're the master, and I am waiting for disaster. I feel irrational, so confrontational, to tell the truth I am getting away with murder. It isn't possible, to never tell the truth but the reality is I'm getting away with murder.

Plus rien ne m'étonne, plus j'avance et plus, je suis blasé... Comme si j'avais l'air de me foutre de ta tronche, sérieusement. Comme si ne je n'avais que ça à faire de mentir sur un sujet aussi sérieux. J'ai les poings qui me démange, j'ai tellement envie de m'occuper de ta frange. Me disant qu'au fond, cette histoire ne s'arrangera jamais car on est loin d'être des anges. L'ananas de pacotille, tu vas vite descendre de tes grands chevaux et virer d'bord pour aller t'mettre sagement dans ton lit. Agacé par ton comportement, je marche d'un pas nerveux vers ma valise. Il est vraiment temps que tu saches ce que je sais, que je te fragilise. Attrapant le restant des preuves, les photos restantes qu'on m'a laissées à mon départ de ma Patrie, La Russie, faisant ainsi de toi, un nouveau membre de ma famille... un personnage de plus dans ma subtile fraterie... Bien que j'suis pas en mesure de dire si j't'apprécie ou si t'es mon ennemi.

- ☾ ... Si j'te mentais, c'est quoi, ça ... Et ça... Encore ça... Et ça. ...J'ai beau les regarder en boucle, ça m'dégoute. Et puis, tu sais quoi, va te faire f**tre, j'ai d'autre chose de prévu que de rester là, face à un mioche comme toi. ☽

Warning, my mind's blowing. La blague, quelle mauvaise blague, bordel. Je t'éclate tout à la tronche, comme si c'était des paillettes colorés et qu'on était en plein festival d'été... Qu'est-ce qui te prend à me prendre la tête, avec moi, t'es qu'une mauviette, retourne jouer des castagniette ou retourne te balader ailleurs avec tes sucettes sur ta trotinette. 13 ans et dire que j'en ai marre de voir ta face de bambin surexcité. J'suis blasé, fatigué, décomposé... Condamné. Alors, dans un excès de rage et de colère, je te mets face aux pieds du mur, sur un ton amer. Comme tu m'agaces, j'me casse. Alors, sur ce silence absolu, même si notre entente t'avais toujours déçu, j'irais pas jusqu'à te torcher le c*l pour rassurer ton esprit tordu. Ainsi, j'prends la porte, faut que j 'sorte, parce que si j'reste ici, notre histoire, jamais, ne sera fini... Et sur ces mots, je te mets à "nu"... car face à mon insolence, mon arrogance, j'ai déjà disparu.

hrpg ; départ de Zack, merci pour ce rp, Lili amour

RP unique précédemment
19h30 environs
Time traversa la pièce principale, les larmes aux yeux.
Il monta les escaliers, dépassa les élèves interrogateurs, et s'effondra sur son lit, la tête sur son coussin.
Larmes silencieuses,
Émotions ravageuses.
Une dizaines de minutes passèrent. Il prit finalement sa plume et jeta un regard à une chouette Harfang qui passait par là.

-tu vas devoirs bosser un peu pour une fois" dit il d'un souffle.

Il griffonna sur un papier, se relu et brûla la feuille d'un coup de baguette après l'avoir jeté par terre.

-Trop formel,

Elle avait dit qu'ils étaient amis, non ?
Ce mot le frappa à la poitrine.
N'étais-ce pas dangereux ? D'accorder sa confiance à un inconnu comme cela ?
Il connaissait les danger mieux que quiconque et son unique œil le prouvait.
Comme pour se rappeler, il caressa son bandeau, mais cela ne lui donna qu'une forte et soudaine nausée.
Il reprit sa plume et se calma.
Sous quelle jour devrait il se montrer ?
Pourquoi ne pas commencer par une question ? Ce serait une bonne introduction tiens !
"N'est point souffrance que"
La phrase n'étai pas terminé que le papier n'existait plus.
Stop.
Ce temps était révolu.
Terminé tout ça, les belles phrases, le beaux parlé et les grandes tournure grammaticale.
Il fini par laisser sa main le guider
Ce n'est qu'une petite heure plus tard,
Plume à la main,
Que Time se réfugia dans les bras de Morphée.

(fin, vous pouvez poster à la suite de ce RP Smile

)

La Lettre.
RP unique.
Lius répondra peut-être !

Andrew venait de rejoindre son dortoir, épuisé après une journée harassante. Des cours qui se succédaient presque sans pause, le reste du temps à la Bibliothèque. A peine avait-il pris le temps de déjeuner. Lorsqu’enfin Andrew s’allongea sur son lit, encore tout habillé, il sentit un papier se froisser sous lui.

*Oh, du courrier ! J’adore le courrier !*

Andrew se saisit de la lettre. C’était étrange, ça ne ressemblait en rien aux courriers de ses parents, encore moins à ceux de sa tante. Tout juste un petit parchemin de qualité moyenne, qu’on avait dû envoyer à la hâte. Andrew déplia le papier. La lettre venait d’Alexeï. Le badaud de Poufsouffle. Le septième année le plus lourd de l’histoire de l’Ecole. Pas le plus futé non plus. La mine défaite, Andrew se dit que la lettre serait peut-être au moins amusante.

C’était parti pour une petite séance de Andrew reacts to…

Andrew.

*C’est moi.*

Faut qu'on parle toi et moi.

*Quoi ? Tu veux déjà rompre, alors que notre histoire n’existe même pas encore… Quelle déception… Blague à part, on est pas obligés sinon.*

J'pense que tu crois que tu peux te permettre certains trucs avec moi … Mais tu oublie que je suis en dernière année.

*En dernière année, à Poufsouffle… donc en fait… Et puis, quel rapport, t’as cru que parce que t’étais un peu plus vieux tu valais mieux que moi ?*

Y’a des trucs qui vont pas et faut qu'on règle ça. Genre le ton condescendant que t'as quand tu t'adresses à moi, tes remarques un peu déplacée etc.

*Ah ouais, ça je veux bien te croire. En même temps, tu me laisses pas trop le choix chaton.*

J'suis gentil, j'te laisse me proposer un jour et une heure.

*Hmmm… Grand seigneur mais... Non.*

Bye.
Alexeï Le Grand.

*LOOOOL*

Finalement, cette lettre avait bien fait rire Andrew. Il hésitait entre affronter le Poufsouffle, ou simplement lui répondre qu’il n’était pas intéressé. Mais le manque d’énergie décida pour Andrew, qui se débarrassa simplement du papier en le lançant vers la corbeille qui se situait à l’entrée du dortoir. Il verrait le Poufsouffle bien assez tôt quoi qu’il arrive.

Apnée nocturne
P.V Chouchou
Réconfort, 15 ans.
RP précèdent : Quand tu veux on y va, avec Lorelaï
L.A. mutuels pour tout le RP

Quatre heures de danse n'ont pas suffi à exorciser la peine qui m'étouffe ce soir. J'ai encore arraché mes pieds, lambeaux sanglants raclant frénétiquement le parquet d'la pièce désaffectée. Chaque pas empreignait mon buste nu d'une fièvre supplémentaire, sanglait mes mouvement de folie maladive. Quand, étourdi par l'entêtant tourbillon, j'ai fini par bouffer la poussière du sol. Le piano a étranglé les cris mêlés de larmes d'un enfant abandonné, les planches ont avalé la bave d'une bouche béante de douleur. Mon ventre a enduré les coups de poings d'une détresse inconsolable, vomit les hurlements essoufflés d'une frustration inhabituelle. Parce que cette nuit, une absence asphyxie mon insolence. J'sais pas combien de temps j'suis resté au sol, mais mes mèches collantes de transpiration n'aspirent maintenant qu'à une douche. Mes jambes se trainent, et mon esprit, jusqu'aux cachots, puis sous le jet brûlant. Un ruban de citron m'a suivi dans le dortoir, c'est que j'ai frotté, furieusement, cette peau tâchée d'un chagrin qui ne m'appartient normalement pas. Depuis mon pyjama, caleçon de soie, je constate peu d'expirations ce soir dans le nid. À la veille du week-end, beaucoup sont partis et demain - ou aujourd'hui - nous seront deux pour la grasse matinée. Trois, avec Camille.

D'ailleurs, on-ne-sait-combien-de-jours plus tôt, mes yeux avaient chuté sur le papier recroquevillé au pied de la corbeille. Quelques mots griffonnés dans une hâte étirant mes lèvres sadiques. Ainsi tu reçois des courriers de menaces ? Amusé à l'idée que tu retrouves - horrifié - la lettre dans ta table de chevet, j'en ai ouvert le tiroir violé par le passé. C'est à ce moment que j'ai reconnu le parchemin s'y trouvant déjà. Parce qu'une mystérieuse missive que j'avais reçu - il y a longtemps - y ressemble étrangement. Laissant le message du Poufsouffle à terre, j'suis retourné dans mes affaires. "Je t’admire énormément, et je t’admirerai sans doute longtemps" [...] "Tu m’obsèdes, et je ne sais plus où j’en suis." Des phrases que l'on n'oublie pas, rédigées sur le même papier que celui découvert de ton côté. Alors me voici cette nuit, oreiller en main, à tâtonner entre les rayons de lune filtrés par le lac verdâtre pour tirer doucement la couverture de ta couche. Sans un bruit, je me glisse derrière toi, passe un bras sous ton cou et colle mon torse à ton dos soulevé de longues respirations ensommeillées. Gamin en manque de tendresse, j'viens simplement répéter les seules consolations qu'on m'a apprises au cabaret.

Laisse toi faire
N'y pense pas car,
Il s'agit là de panser.

Qu'mon corps chuchote au tien dans un silence de velours. D'un geste, je remonte la couette sur nous. À mon odeur de savon s'ajoute la tienne ; toujours ce lierre grimpant jusqu'à mes narines cramponnées. Dans la chaleur du lit, j'ai passé mon bras libre autour de ton ventre, t'ai attiré un peu plus à moi en murmurant à ton oreille : Rendors-toi. Avant d'installer mon front contre ta nuque, y expirant le soupir humide du gosse cajolé. Sous mes doigts vernis, une parcelle de ton buste que je câline en attendant le sommeil ; doudou improvisé. Le baldaquin aux couleurs de la maison qui nous surplombe n'y verra - à travers la pénombre - que deux adolescents enlacés.

Compter les moutons. Andrew dormait mal ces derniers temps, et la seule technique qui lui permettait de trouver le sommeil, c’était ça, compter les moutons. Des cours plein la tête, des petites choses dont il faisait des montagnes sur les épaules. Tenir le rôle que lui imposait la découverte de sa famille était un lourde tâche pour un enfant de treize ans. Enfin, ce week-end, il avait le droit à une légère trêve. Peu de travail, peu d’élèves présents, peu de choses à penser. Et le quarante-deuxième mouton avait suffit à le faire tomber dans un sommeil sans rêve. Un sommeil lourd et régénérateur auquel il n’avait pas goûté depuis un bon mois, pas même troublé par les bruits de pas dans le dortoir.

Au milieu de la nuit, le calme s’associa doucement à la sensation chaleureuse de l’étreinte. Ni totalement rêvée, ni totalement réelle. Comme ces pensées qui parfois vous envahissent au point de rupture entre éveil et sommeil, et qui si elles sont bien le fruit de votre imagination, trouvent le moyen de vous tromper. C’était étrange cependant l’efficacité avec laquelle cette sensation paraissait réelle. Jusque dans les petits détails. La localisation de la chaleur au niveau du dos, le chatouillement sur l’estomac, le souffle au niveau du coup. L’odeur du savon.

*L’odeur du savon ?*

L’élément de trop, sans doute. De la même façon qu’un élément trop absurde vous tire d’un rêve, l’odeur de savon ramena Andrew à la réalité. Quelqu’un.e se trouvait réellement dans son lit. Alors sans pouvoir le contrôle, son souffle et son rythme cardiaque s’accélérèrent, d’abord un peu paniqué par cette intrusion. Puis les pensées commencèrent à se bousculer dans la tête d’Andrew. Qui pouvait bien être là, collé à lui.

- Rendors-toi.

Le doute n’était plus permis, c’était Élius qui se trouvait là, derrière Andrew, qui le serrait dans ses bras. Bien entendu, Andrew n’en fut pas du tout soulagé. N’osant pas bouger, n’osant pas trahir le fait qu’il était réveillé, Andrew faisait de son mieux pour contrôler sa respiration. Mais son coeur, sur lequel il avait moins d’autorité, redoublait d’effort pour sortir de la cage thoracique qui le renfermait. Andrew aurait voulu sauter du lit, crier, remettre l’impudent à sa place, mais une force invisible l’en retenait. La forme de ce corps qui, plus grand que celui d’Andrew, réussissait à le couvrir, avait sur le Serpentard un effet qu’il ne comprenait pas et n’arrivait pas à analyser. Lui qui pourtant aimait tout calculer.

*Un mouton, deux moutons…*

RP précèdent : Quand tu veux on y va, avec Lorelaï
Contenu sensible

♫ Spi mladyenets, moi prekrasný,
Doucement s’endort la terre
Bayushki bayu
Dans le soir tombant
Tikho smotrit myesyats yasný
Ferme vite tes paupières
F kolýbyel tvayu.
Dors mon tout petit enfant.

Certains soir plus difficiles que d'autres, Maman enveloppe de douceur la chambre transformée en dortoir par les filles du cabaret. Au sol, des matelas étreints d'épaisses couvertures deviennent le refuge d'oisillons culbutés sans ménagement. La berceuse Russe accompagne les incantations formulées à demi-voix pour soigner leurs corps abimés. Mais les maux du cœur ne peuvent être réparés autrement qu'avec la tendresse ; elles connaissent déjà trop les ravages de l'alcool sur les esprits fragiles. Alors, ces nuits où les bougies ne vacillent pas en rythme avec les danses joyeuses et les gorges déployées des enfants de joie du troquet, on peut voir les doigts des unes s'entremêler dans les cheveux des autres.

Sois mon réconfort, comme je le suis parfois pour elles, comme elles le sont parfois pour moi. Une poupée tiède et palpitante que j'applique contre la béance qu'il a laissé en partant. Cette vallée douloureuse qui part du sternum pour arriver au nombril que je parcours à demi-doigts chez toi ; allers et retours de plus en plus fatigués. Bien sûr, j'ai senti ton battement accélérer, cogner entre des côtes trop jeunes pour être câlinées. Ça m'a presque fait sourire, un léger frémissement, avant de renfoncer mon visage dans ce parfum qui n'est pas le sien. Mes lèvres ont rencontré ta peau avant de s'écarter pour bailler, et tandis que le bras passé sous ton cou s'est étalé jusqu'à laisser pendre ma main dans le vide, j'ai scellé mes paupières d'un sommeil délesté de solitude.

Au creux des cachots retentit régulièrement l'écho de quelques tourments sous-marins, créatures noctambules heurtant la partie immergée du château. Des grondements qui sont un peu les orages de notre ciel liquide. Sur le dos, réveillé en sursaut par l'un d'eux, le bras prisonnier d'une nuque, je me rappelle que tu es là. Aucune odeur de pluie, ni même de clapotement contre les vitraux du nid ; seulement mes yeux encore endormis harponné au baldaquin couleur d'émeraude. Paume libre sur mon torse, je tourne la tête en direction de tes épaules et ramène mon autre main sur ton biceps de gosse assoupi. Les doigts à nouveau s'y perdent, cherchent la tiédeur d'une compagnie.