Au Bar

Ne travaille plus ici, nouvelle propriétaire, problèmes avec le bar... des mots qui s'engouffrent, mais ne trouvent aucun sens en mon esprit. Pourquoi ne travaille t-elle plus ici ? Pourquoi avoir tout lâcher du jour au lendemain ? Pourquoi n'avoir rien dit à personne surtout ? M'éclaircissant la gorge, je poursuit le plus naturellement du monde.

Sauriez-vous à tout hasard où je pourrais la contacter ? Elle n'a pas laissé une adresse ou quelque chose qui puisse nous assurer que tout va bien pour elle ?

Faibles chances, peu d'espoir, je glisse la main dans ma poche à la recherche des deux photos que Lizzie m'a envoyé pour enquêter sur une autre personne. Les glissants sur la table, je m'adresse à nouveau à la nouvelle propriétaire de l'établissement.

Spoiler:

Auriez-vous déjà vu cet homme ?

Simple et efficace. Un bar voyait pas mal de sorcières et sorciers passé alors avec un peu de chance, le visage ne lu serait pas inconnu.

REMORDS IMAGINAIRES
— suite pv. Eliott.

Mémoire d'un proche étoilé qui a cette fâcheuse tendance à s'accrocher aux cieux comme un ange et ses ailes écarlates d'enfant accidenté. Tu prends de moins en moins conscience de ton je-u personnel - et pourtant tu parais plus solide qu'à l'ordinaire. Cette bouteille, qui t'apportes plus de lucidité qu'on ne pourrait le penser. Tu sens encore la note poivrée s'engouffrer le long de ton œsophage filiforme, de tes muscles étirés, de ton esprit décharné, maison cabossée.

Ressentir le fourmillement jusqu'au bout des doigts, les ongles qui s'émerveillent et pianotent entre le verni du comptoir et la surface encore froide de la bouteille misérable que vous avez jetée ensemble à la mer. Un genre de SOS maîtrisé. Le garçon choisit de se perdre un instant dans ses explications inutiles et obscures. Le regret. Le souvenir d'un soir trop excentrique pour être revécu. L'indifférence du lendemain. En soi, t'en avais rien faire. Ce qui t'importe, c'est l'instant présent. Insaturable. T'as trop longtemps terni ta propre image pour qu'elle s'auto-détruise. L'autre devrait en faire de même.

Tu n'aimes pas tellement promettre aux autres.
T'as perdu ce principe-là, non pas que t'es pas quelqu'un de confiance -
plutôt que la promesse ne doit pas être prise à la légère.

On t'a trop souvent promis des couleurs que tu n'as jamais connues. Mais... étrangement et comme pour outrepasse toujours, ce conformisme trop confortable justement, t'acceptes sa demande en acquiesçant de la tête qui retombe un peu trop facilement au goût de ta nuque irritée.

Tu le regardes.
Quitte à paraître lourd là-dedans.

- Il avait vraiment un truc.

Artemis

J'ai un haussement d'épaules distrait lorsque môssieur l'Auror demande si je sais où il pourrait trouver Leo. Mes sourcils se mettent même en accent circonflexe quand il parle de s'assurer que tout va bien. Eh, c'est pas la garderie le Ministère, j'me trompe ? Et même si c'était le cas, Leo n'a jamais été placé là-bas. Bon, okay, pas sûre qu'il aurait pu s'en sortir tout le temps tout seul, malgré son âge adulte. Mais bon... c'était les 3B, sa maison, pas le Ministère. C'était nous, qui veillions sur lui, le ramassant dans les pires moments, lui sauvant même la vie, parfois. Comme ce jour où je l'ai retrouvé blessé de partout, à moitié décédé dans l'arrière-salle.

-Je ne pense pas qu'iel soit parti.e pour être retrouvé.e. Iel n'a laissé aucune adresse. Mais je ne m'en fais pas à son sujet. Je suis sûre que tout va pour le mieux.

Vague sourire mélancolique.
J'espère que tout va pour le mieux. Parce que je n'aime pas l'idée qu'il soit parti loin pour se retrouver dans les mêmes m*rdes qu'ici. Peut-être en souvenir et mémoire des sourires sincères d'autrefois, des espiègleries d'adolescence, des farces enfantines et de la candeur de l'époque, j'ai envie qu'il puisse retrouver sa part d'innocence et de légèreté.
Apparemment, le sujet change, le vent tourne. Il n'est plus question de Leo ou de Shae. Mais de photo d'un type jamais vu. Ou alors déjà croisé et je l'ai oublié. Possible. S'il était insignifiant pour moi. Ou que je le trouvais terne.
Je gonfle ma joue, souffle par la bouche, en ce typique bruit du connais po.

-Nope, jamais vu. C'est qui ? Y'a un lien avec Shae ?

Ou p't'être qu'il ne fait que le tour des différents cas qu'il a à traiter. Avec sa checklist mentale et tout.

Avec Kohane W. Underlinden

L’enseigne des Trois Balais m’avait attirée comme un aimant quand je l’avais aperçue alors que je me promenais, seule, cette fois, mon père étant parti en urgence pour une affaire au ministère. Il faut dire qu’avec tous ces achats, je commençais à avoir mal aux pieds et une petite pause n’était pas de refus. De plus c’était la première fois que je découvrais cet endroit.

Une fois à l’intérieur, je me mis en quête d’une place libre. Apparemment, il était fréquenté par pas mal d’étudiants, ce qui était en soi une bonne chose. Je nota donc l’adresse pour plus tard, au moins tout ne me sera pas totalement nouveau lors de ma rentrée à Poudlard. Une fois installée confortablement, je pouvais observer un splendide comptoir qui, depuis le temps, avait dû voir passer de nombreux clients et verres.

En attendant ma commande, je sortie un livre sur l’Histoire de la magie et me mis à le feuilleter. Etre seule ne me dérangeait pas le moins du monde mais je détestais rester sans rien faire. C’était une manie chez moi.

Bref, divers pages défilèrent sous mes yeux racontant la célèbre histoire d’Harry Potter. Cela faisait des années qu’elle s’était passée pourtant elle m’intriguait toujours autant. Quelque part, je crois que j’admirais le courage du jeune homme. A peine sorti de l’adolescence qu’il devait affronter un des plus puissants et terribles mages noires risquant de se mettre à dos en même temps toute une communauté…

Un soupire s’échappa de mes lèvres au moment où mes yeux s’attardaient sur un article concernant les Mangemorts qui avaient attaqués un pont en plein jour ou se promenaient de nombreux moldus. L’affaire avait fait parler d’elle à l’époque et avait été relayée dans la presse.

« Pfff ces Mangemorts toujours à vouloir mêler les Moldus à nos histoires… finis-je par dire secouant la tête dépitée. »

Ce n’était pas très malin de faire chuter un pont en plein jour. Même si les moldus n’appartenaient pas à notre monde, ils n’étaient pas pour autant idiots… Si à l’époque j’avais pu prendre part au combat, je l’aurais fait sans aucune hésitation. J’aurais bien aimé d’ailleurs pouvoir donner quelques leçons à ces Mangemorts qui se croyaient tout permis…

We'll be okay

ft. Elly Wildsmith

Petit oiseau deviendra grand ♥

Boire des coups, routine perpétuelle et bientôt trop commune à l'humain. Que cela soit sorcier ou moldu, le refuge dans l'alcool était quelque chose qui était devenu tellement banale. Non, ce soir il n'y aurait pas de confession, en tout cas pas pour la propriétaire du Heurtoir. Une deuxième tournée demandée et tu t'impatientais, à croire que le serveur se faisait désirer. Peut-être quelqu'un d'autre viendra vous servir ?
Tu faisais glisser le verres sur le bar, d'une main à l'autre, de gauche à droite, hypnotisée par ce verre vide qu'il fallait remplir. Métaphore de ton humeur. Une humeur vidée, de tous sentiments positifs, qui avait besoin d'être comblée. Par quelque chose, oui mais quoi ?
Fermant les yeux la tête vers le bas, la seule chose qui te réconfortait était de sentir la présence du petit vert contre toi. Apaisé, apaisant, pour ton âme. Comme s'il guérissait tout tes mots. Mais heureusement pour toi, en venant ici tu n'étais pas destinée à restée seule.
Un questionnement pour une réponse bien trop compliquée, oui, beaucoup trop compliquée. A quoi bon ? A quoi bon expliquer la raison de tes maux, est-ce que ça allait les effacer, les mettre de côté à tout jamais ? Non, ces maux resteraient encrés dans ton âme, pour un temps indéterminé. Yeux clos tu lâchais brouillais un enchainement de syllabes et consones pour former des mots « Je crois que la meilleure solution et de consommer, comme vous l'avez dit... »

Mais ces consommations se faisaient désirés, alors tapotement léger sur le bar, claquement de verre « S'il vous plait ! ». Observant la jeune femme d'un reflet noisette, une femme belle. Qui ne méritait pas d'avoir de la peine. Alors tu tapais du plat de ta main contre le bar et te levait d'un bond. Il fallait se ressaisir.

- Il faut se ressaisir, venez avec moi, on va se dégourdir les jambes avec une danse.

Même toi tu n'en revenais pas de ce que tu disais, une danse ? Sérieux Theya ? Mais déjà dans ta tête une playlist se formait, une playlist chérie de ta narratrice. Avec laquelle vous pourriez vous défouler, et vous vider l'esprit.

Theya

Non... aucun rapport... rangeant la photo dans une poche de ma veste, je m'installe sur le tabouret face au comptoir. Je n'ai pas l'intention de laisser tomber aussi rapidement pour ce qui est de Shae, elle travaillait ici alors m*rde vous allez pas me dire que personne n'est foutu de se renseigner quand sa patronne décide de tout claquer du jour au lendemain ?!

Vous ne connaitriez pas quelqu'un qui puisse m'en dire d'avantage ? Ne serait-ce que pour être sûr qu'il s'agit bien d'un départ décidé... et non imposé. La dernière fois que je l'ai vue, elle avait fait mention d'une cure... peut-être que la nouvelle patronne saurait me dire où cette cure avait lieu ? Auriez-vous eu connaissance du nom de l'établissement où se rendait Shae pour ses ... problèmes ?

Je ne vois pas bien comment le dire autrement et je ne veux pas que cette femme se fasse des idées sur quoi que ce soit,a lors restons vague... et croisons les doigts.

Commande

Jennifer

Ce que j'aime, aux 3B, c'est qu'on croise de tout. Vraiment. Toutes sortes de gens, de tout âge. Avec des comportements bien souvents variés et des discussions diverses.
Observer ce ballet humain qui bouge sans arrêt dans ces salles est, parfois, un pur plaisir. Sans doute pour ça que je suis restée aussi longtemps ici. Que j'y suis encore. Monter les échelons, un à un. Stagiaire lorsque j'étais à Poudlard, serveuse une fois les études terminées, puis gérante, puis propriétaire.
C'est toujours étrange, lorsqu'on se retourne et qu'on voit tout le chemin qu'on a parcouru.
Je me suis creusé mon nid ici.
J'ai grandi.
J'ai aimé, j'ai ri, j'ai pleuré, j'ai hurlé, je me suis révoltée, j'ai abdiqué.
J'ai rencontrer mille et une teintes de gens. Personne ne se ressemblait. Et tous ont compté pour moi. A leur façon.

Aujourd'hui, c'est moi qui supervise le bar. Alors que j'ai l'impression que l'époque où la petite Kohane n'était qu'une vaillante petite stagiaire n'est pas si loin.
Pourtant.
Près de dix ans se sont écoulés depuis.
Dix années.
C'est long, hein. Court, tout en même temps.
Le temps a une étrange façon de filer.
On croit toujours qu'il est long. Infini. Eternel.
On a le temps, dit-on. Mais non.

Moi aussi, autrefois, j'ai pensé comme ça. Comme si les situations étaient éternelles. J'avais le temps. De dire ce que je pensais. J'avais le temps. De grimper une à une les marches vers la destruction de la Machine. J'avais du temps. A passer, entre deux chocolats chauds, en compagnie d'Asclépius.
Puis en fait.
Non.
On n'a pas le temps.
Il a filé.
Et moi, je reste. Avec tout ce que je n'ai jamais dit sur le coeur. Les projets avortés dans l'estomac. Le vide à l'intérieur de soi.
La pelote de laine s'est déroulé beaucoup trop vite pour que je suive.
Et je suis là. Sur le bas-côté. A attendre. Qu'il revienne. Attendre Godot, voir les jours ressembler aux jours, attendre encore, vivre pour cet espoir, que Godot pointe le bout de son nez, qu'Asclépius revienne puis les jours succèdent aux jours et il n'y a rien.

Seulement la porte des 3B qui s'ouvrent, en ce jour quelconque du calendrier. Je ne coche plus les jours. Je ne coche plus rien.
C'est une étudiante, jamais vue.
Qui s'installe tranquillement au bar.
Je la vois à travers la porte-fenêtre de la terrasse, sur laquelle je suis allée prendre un bol d'air frais. J'attends quelques secondes avant de revenir à l'intérieur du bar. Ce n'est pas encore le grans speed. Heureusement.
La jeune fille a sorti un livre -oh, studieuse ! Voilà quelque chose que je n'étais pas. Pas vraiment.
D'ailleurs, lors de ma première rencontre avec Asclépius, je l'ai embêté alors qu'il tentait de réviser. Jusqu'à ce qu'il abdique, ce petit aristocrate trop hautain. Oui, j'étais une charmante élève, à l'époque. Lui aussi, d'ailleurs. Charmants dans nos différends et nos joutes verbales.
La jeune fille marmonne, je l'entends parler des Mangemorts, arque doucement un sourcil mais vais vers elle comme si je n'avais rien entendu. Le temps d'analyser la situation.

-Bonjour, bienvenue aux Trois Balais. Qu'est-ce que je peux te servir ?

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Pour Artemis

Je comprends rapidement que je n'aurai pas l'identité de la personne en photo et que ça n'a aucun lien avec Shae. Mais, au lieu de repartir, l'Auror prend place face au comptoir et remet ça.
Pourquoi remet-il en question son départ ? On a le droit de se tirer si l'air est trop vicié pour nous, m*rde ! Je commence à me dire que Leo a vraiment eu raison de se barrer de ce pays de fou -si on part de la supposition qu'il a vraiment quitté le pays. En vérité, je ne sais pas exactement où il est allé. Un endroit plus sûr, un endroit meilleur pour Tim et Enzo, sans aucun doute. Ce qu'il leur faut. Pour grandir au mieux.
Je prends un air agacé qui se mue en une moue colérique quand l'autre évoque les problèmes de Leo.
Je plisse les yeux, détaille d'un air un peu cinglant le visage de mon vis à vis.
Pourquoi s'acharne-t-il autant ? Qu'est-ce qui est si important à propos de Shae ? Laissons les gens faire leur vie en paix !
J'inspire un bon et grand coup, m'assois à mon tour de mon côté du comptoir, pour faire face à l'Auror à la bonne hauteur.

-Alors, non, je ne sais pas où est son institut. Mais de toutes façons, quelle importance ? Shae est parti-e, je vous dis. On l'a vu-e ! Oui, c'était un départ volontaire. Iel est parti-e avec les gosses, pour eux, sans doute, enfin, j'imagine. Pas la peine de lea traquer partout, il serait mieux plutôt de lui fo*tre la paix.

Respirer, encore un peu.
Reprendre dans un souffle contenu

-Il mérite au moins ça.

Après le Chaos qu'a été sa vie
Leo mérite au moins qu'on lui fiche la paix lorsqu'il a trouvé le courage de mettre les voiles.
Moi aussi, ça me fait mal. Ca fait mal aux souvenirs. Ca fait mal aux morceaux si fraîchement recollés entre nous. Mais c'est comme ça. C'était sa décision propre. Et je la respecte.

-Au lieu de vous acharner sur quelqu'un qui a décidé de partir pour tout un tas de raisons qui lui sont personnelles, intéressez-vous plutôt à ceux qui sont partis sans raison ! je reprends, d'un ton un peu énervé. P*tain, personne sait où a disparu Asclépius, pourquoi il est parti, s'il est vraiment parti, s'il est en vie ou bien mort... Aucune nouvelle, aucun signe de vie. Et vous, vous insistez pour quelqu'un qui a, en son âme et conscience, décidé d'aller voir ailleurs !

La voix monte d'un cran sous l'effet de l'énervement et de la fatigue.
Les larmes pointent au bord des yeux.
Nerfs qui lâchent.
J'peux pas croire qu'on recherche activement Leo alors qu'il n'y a aucune raison valable pour le rechercher et qu'Asclépius soit au fond des oubliettes.

Le ton monte, mais je bouge pas d'un pouce face à la furie qui se révèle à moi et qui déverse sa colère et sa rage sans raison apparente. Je laisse les paroles s'échapper sans réagir plus que de raison aux propos qui se présentent, mais ce n'est pas pour autant que je n'en prend pas note.

Elle termine sa tirade les yeux embués de larmes, et je lui montre d'un signe de tête les bouteilles rangées sur l'étagère derrière elle. Servez-nous deux verres, de ce que vous voulez, vous en avez besoin visiblement. Remuant le fessier sur le tabouret, j'extirpe de ma veste un calepin et une plume à papote que je pose sur le comptoir. Avez-vous une idée du nombre de sorciers qui composent la communauté magique ? Vous pensez peut-être que nous sommes en capacité de surveiller chacun ?

Asclépius, ce nom m'est totalement inconnu... autrement dit, sa disparition n'a été annoncée nul part. Ce qui est également le cas de Morgan et de Shae. Si j'ai eu connaissance de ces disparitions, c'est parce que le premier était étroitement surveillé et que le second était une connaissance. Les gens s'imaginent sans doute que les informations nous tombent du ciel comme la rosée du matin.

Si personne ne nous préviens, comment pourrions nous le savoir dites moi ? Si même ceux qui tiennent à ces disparus n'ont pas la lucidité de prévenir le Ministère, comment voulez-vous que nous soyons au courant ? Laisser l'idée faire son bout de chemin chez la jeune femme. Puis reprendre d'une voix toujours aussi calme. Asclépius... dites m'en d'avantage à son sujet.

Colibri

Elle ne répond pas vraiment à la question de la brune, elle élude un peu. Mais qu’importe. La propriétaire du Heurtoir hausse les épaules : après tout elle ne cherche pas à lui tirer les vers du nez. En tout cas, elles ont un point commun, au-delà de leurs tristesses qui semblent contagieuses, il y a le besoin d’un deuxième verre qui n’arrive pas. Mais que fait le service ? La jeune femme tapote son verre sur le bar, mais rien n’arrive. Elly laisse ses yeux vagabondaient dans l’établissement, à la recherche du serveur qui avait mystérieusement disparu.

Mais l’ancienne auror n’a pas d’autres questions à se poser, ou plutôt, Theya ne lui laisse pas le temps. Elle se lève d’un bond et entraine la brune à faire de même, lui laissant une phrase qui laisse la jeune femme perplexe. Elle se demande un instant ce qu’elle a fait aux Poufsouffles pour que chacune des femmes de cette maison veuillent la faire danser et / ou chanter. C’était propre à la maison des blaireaux ou c’était le visage d’Elly qui se prêtait à la danse ? Black Swan sort d’ici.

Faut dire que la brune n’est pas forcément fan de la danse. Elle va bouger son pied gauche, son pied droit, tenter un léger déhanchement, peut-être. Mais on sentira bien que l’âme n’y est pas du tout. Bien loin de ça même. Le regard se fait quasiment vitreux, comme un poisson qu’on vient de pêcher et qu’on tente d’évider alors qu’il s’y refuse. Se débattant dans tous les sens, et se laissant finalement faire. Pas le choix, manque d’eau.

« Non, je peux pas ». Epaules qui retombent, regard qui s’assombrit encore, si c’possible. Elle se remet accoudé au bar. L’explosion veille non loin. Elle cherche du regard, le serveur dont elle ignore le nom, la jeune Marjorie, le cousin Lïnwe ou encore Kohane. Mais personne à l’horizon. Jurons qui s’extirpent. « PUT*IN CA M’SAOULE ». Y’a bien quelqu’un qui va débarquer, nan ?

Apaisement et évasion étaient les différentes qualités que me procurait en général la lecture. J’avais toujours été studieuse et mon père me répétait sans cesse que si je continuais dans cette voie, je finirais par avoir un poste convenable, peut-être au sein même du Ministère, une fois, bien entendu, mes études à Poudlard terminées. D’autant que suivre sa voie était pour moi une chose des plus normales.. pourtant quelque chose d’autre que je n’expliquais pas s’insinuait de plus en plus profondément en moi. Depuis quelques temps, je ressentais comme un besoin, une envie particulière d’aller plus loin que lui bien que je respectais son travail et l’admirais même pour cela.

Je crois que c’était en fait depuis avoir lu plusieurs livres sur l’histoire de la Magie et, plusieurs articles sur le Ministère, empruntés en douce à mon père, que le mot « Auror » ne cessait de se répéter dans mon esprit comme un écho lointain mais toujours présent.

Ici était la réponse… et je pense qu’au fond, je la connaissais déjà depuis un certain temps.

Je voulais devenir Auror...

Pensive, les yeux braqués toujours sur mon paragraphe entre Harry Potter et les Mangemorts, je relève soudain brusquement la tête quand une voix, non loin de moi, me ramène au présent.

Léger sursaut.

« Oh bonjour Madame. Je vous prie de m’excuser, je ne vous ai pas entendu arriver.

Sourire d’excuse

Et bien... comme je viens ici pour la première fois, je vais tenter une de vos spécialités, s’il vous plait. Répondis-je d'un sourire cette fois nettement plus franc et chaleureux. »

Bien que je n’aie rien à cacher, je me mis à tourner la page instinctivement. Rien ne laissait paraître une expression semblable à de la gêne sur mon visage, je l’avais fait naturellement. Peut-être ce que j’avais dit plus tôt sur les Mangemorts avait été la cause de mon geste… Cependant, je me dis que personne n’avais pu m’entendre étant donné que j’avais fait que murmurer mes mots… enfin… il n’était jamais trop sûr d’être trop prudent... surtout dans notre monde...

Commande

Theya Alomora & Elly Wildsmith

LA de Elly et je pique celui de Andrew et Theya (si ça pose soucis hésitez pas)

Soirée animée cette fois-ci, c'est qu'il y avait des jours comme ça, où l'appel de la beuverie était plus forte. Une sorte de chant secret, discret, tocsin que je ne perçois pas, mais que les autres entendent. Alors ils rappliquent, doucement, dangereusement, dans le petit établissement de Pré-au-Lard. Mais jamais ils ne sortent, et le bar est plein. Alors l'ambiance suit, le bar s'anime, la musique résonne. Mais j'ai pas vraiment le temps de voir tout ça, d'apprécier cette vie si particulière qu'offre la nuit, dévoilant un autre monde. Moi je ne vois que la marrée de sorciers, composés des intemporels ivrognes, d'étudiants en quête de sensations, et parfois même tout simplement les habitués du coin, qui ne demandent rien à personne, juste une table pour discuter, et un cocktail pour s'abreuver. Mais je vois seulement les verres défiler, les quelques assiettes préparées. Je suis concentrée, j'essaie de ne rien oublier. Je m'occupe de la salle et Andrew, du bar. Pas le temps de se croiser ou de parler, faut servir, et vite.

Je vois pas le temps défiler, ni les visages, seulement les verres et les gallions encaissés. Au bar c'est la cohue, plus que pour moi, bien plus même, c'est qu'il faut dire que les gens installés aux tables, une fois servis ils sirotaient tranquillement. Au bar cela n'arrive jamais, alors forcément Andrew se retrouve débordé. Je me dis que je devrai l'aider, alors je passe derrière le comptoir et sers les premiers verres, principalement des bièraubeurre. Parfait, ça fait ça de moins à cogiter, car à chaque fois que j'ai le dos tourné, toujours une voix pour m'interpeller, me demander de le servir en premier. Je fais abstraction, je dois pas me laisser marcher sur les pieds. Et pourtant, une injure de plus me fait me retourner, oubliant presque le verre que je servais. Cette voix...

Et puis je la vois, Miss Wildsmith à la mine agacée, c'est qu'elle attend son verre on dirait, depuis un peu trop longtemps à son gout. Moi j'en sais rien, je sais pas depuis combien de temps elle est là, si elle est prioritaire. Mais tant pis pour tous les autres, est-ce que c'est parce que je la connais, si on peut dire ça comme ça ? Mais qu'importe, je m'approche rapidement, je vois dans son regard qu'elle est en colère, ou lassée, ou déçue. Je sais même plus. Je la trouve sombre, plus encore que la dernière fois que l'on s'est vu ici, et bon sang j'espère que cette fois-ci ce n'est pas de ma faute. C'est Andrew qui gère ce coté du bar, mais le jeune homme est introuvable, aux cuisines peut-être ou à la cave à bière. Qu'importe, faut bien que quelqu'un la serve.

- Bonsoir Miss Wildsmith ! Désolée pour l'attente, mon collègue semble occupé ! Je m'occupe de vous tout de suite, qu'est-ce qu'il vous faut ?

La jeune femme répète, lassée je crois, mais je veux pas perdre la cliente. Alors je vais m'activer, pour son Bonbon et son Estival. Boisson aux couleurs de l'été, pour cette femme au visage si fermé. Mais je ne m'interroge pas plus, et d'un coup de main, le jus de pastèque, la vodka fraise tagada sont servis. Et alors que je pose les 2 shooters devant elle, je comprends enfin qui est sa camarade de soirée. Décidément, soirée pouffy.

- Et voilà ! 10 mornilles s'il vous plait ! Salut Theya !

Sourire pour les 2 jeunes femmes, je crois que ça peut pas leur faire de mal... Je prendrai bien le temps de papoter avec elle, mais avec le rush de ce soir, cela s'annonce compliqué...

Commande:

Elly Wildsmith : Ticket de tombola n°2

We'll be okay

ft. Elly Wildsmith

Petit oiseau des îles ♥

Un bond dans le vent. Pourquoi t'étais-tu levé au juste ? Oh oui une danse avec la dame qui te tenais compagnie celle ci ne semblait pourtant pas décider à danser. Mais plutôt à boire. Boire ? Oui peut-être l'un de tes premiers verres d'alcool... Ou pas. Tu te rasseyais, en voyant ta préfète débarquer derrière le bar. Un peu surprise tu la regardais avec de gros yeux. Allait-elle cafter si tu buvais de l'alcool ? Oh et puis m***e, vu l'état dans lequel tu étais c'était le cadet de tes soucis. Tu posais tes fesses à nouveau sur le siège à côté de la brune et saluer Marjorie en la remerciant pour les verres servi. Tu te tournais vers ta voisine pour lui dire

-Merci pour le verre... et tu enchaînais avec un culsec. Au final il s'agissait du même cocktail' tu vois tu te fais des films. Ta mauvaise humeur te joue des tours. Et tel un lancé de dès raté que dis-je, un examen foiré tu retenais ta chance au près de la belle brune.

- Venez, imaginons la musique autour de nous et laissons nous nous envoler au gré des notes imaginaires

Deuxième tenative et tu espérais que celle ci ne s'avoue pas être un échec...

Theya

Colibri & Vache à lait (très sympa vos surnoms :mm:

)

Le premier serveur a disparu de la circulation, aspiré par le trou du Whoop. Tudutudutulu. Non, ce n’est pas vraiment la musique du com’pourdrier d’Andy mais on s’en contentera, n’est-ce pas ? Elly tape toujours son verre vide, et pour garder la mesure son pied rejoint le mouvement. Agacement suprême qui retombe pourtant dès lorsqu’une voix connue se fait entendre « Oh Miss Lunas ! Bonsoir ! » , l’ancienne auror répète sa commande, un brin lassée mais pourtant contente de voir la sorcière. Elle revient rapidement et pose la commande en annonçant le prix et en saluant Theya, oui oui, une stagiaire capable de beaucoup de chose tout de même !

Finalement, la jeune Poufsouffle revient et veut toujours l’emmener danser. « C’pas que j’veux pas, mais mon corps là, il n’est pas apte ». Non, juste apte à boire en fait, c’est un fait, faut juste l’admettre. « J’te propose un truc la miss », elle à quel âge ? Jeune, nan ? Qu’importe t’es pas auror, ni contrôleuse, donc peu t’importe si les Trois Balais font des entorses aux règlements du Ministère. Le verre apporté par Marjorie se vide, nouveau sourire, nouvelle demande « La même chose, mais tu devrais nous laisser la bouteille à portée de main ». Elle sort quelques gallions de sa poche, histoire de pouvoir obtenir la satisfaction de sa demande.

Puis elle se retourne vers Theya. « Tu veux que j’danse ? Okay, mais on doit boire un peu, annihilation tout ça. Et j’bougerais pas le p’tit doigt tant que tu m’auras pas dit ce que tu voulais oublier ». Allez, ça tentait le tout pour le tout, pour savoir. Parce qu’elle n’aimait pas demeurer dans l’ignorance la sorcière, elle ne supportait pas ça.

Commande

Theya Alomora & Elly Wildsmith

LA de Koko

J'étais retournée à mes torchons et mes serviettes, qui sont bien entendus, pas des tissus, mes des clients. Comment ça c'est pas poli ? M'en fiche, la patronne ne sait rien de ce que je pense ! Et puis je trouve que je fais bonne figure, à leur sourire tout le temps alors qu'ils empestent l'alcool. Quelle horreur. Mais les bièraubeurres défilent, et cela ne va pas en s'arrangeant. Arf ils sont pas méchants, juste très bruyants. Petit coup d'oeil aussi vers Hope et Spouik, qu'elles ne se fassent pas kidnapper. Satanées grenouilles, faut dire qu'on finissait par s'y attacher ! Nouvel aller-retour du regard à la recherche de verres vides à débarrasser ou de gallions à encaisser. En voilà 2-3 d'ailleurs, et puis finalement les verres de Miss Wildsmith et Theya se joignent au lot. Je retourne vers elles, et voilà 2 bouteilles de commandées. Bon, et bien allons-y ! Petit coup d'oeil sur la carte car je ne me souviens plus du prix, pour mon excuse je dirais que je ne suis pas là depuis très très longtemps. Mais me voilà rassurée de voir qu'aucun prix n'est indiqué, je ne suis donc pas folle. Pas rapides vers la patronne pour lui demander les prix, avant de retourner vers les 2 femmes, armées d'une bouteille de Bonbon et une autre d'Estival.

- Et voilà ! 1 gallion pour le Bonbon et 10 mornilles pour l'Estival s'il vous plait Miss Wildsmith !

Commande:

Elly Wildsmith : Ticket de tombola n°3

[/quote]

(Plus en retard, tu meurs)

Artemis

Imperturbable, l'Auror me regarde. Avant de me proposer de nous verser deux verres de quelque chose.
Encore un peu tremblante sous la déferlante d'émotions, je passe une main sur mon front, comme pour l'éponger. Avant de me tourner vers les étagères, regarder, un instant sans rien faire, les différentes bouteilles. Les noms dansent et sautillent devant mes yeux, sans que je ne parvienne, dans un premier temps, à les attraper. Lorsque ma vue se fait plus nette, je saisis une bouteille d'hydromel ainsi que deux verres.
Je n'entends, que d'une oreille, mon interlocuteur m'interroger sur combien de sorciers composent la communauté magique et en arriver à la conclusion que si personne ne les prévient, ils ne peuvent pas savoir.
En soi, c'est du bon sens.
Mais je refuse de m'accorder à ce bon sens. Incompréhensible et irraisonnée réaction des désespérés après la perte d'un être cher. Parce que l'être est toute leur vie ; il devrait en être de même pour les autres. Tout le monde aurait dû savoir pour Asclépius.

Je me rassois face au jeune Auror et nous sers, à chacun, un verre d'hydromel. Après avoir poussé le sien vers lui, j'avale une gorgée de ma boisson.
Après un silence, de part et d'autre, il reprend, me demandant d'en dire plus.
Je me masse la tempe un instant, comme pour rappeler les souvenirs à moi.

-Il... n'est jamais rentré. Un jour, il était là, puis après, plus personne. Parfois... parfois il partait, mais il prévenait toujours. Vous savez, on a des post-it, des post-it âne et hippopotame -sourire lointain à ce souvenir, quand avons-nous acheté ces post-it ? Je ne sais plus, mais c'était hautement symbolique, l'âne pour lui, l'hippopotame pour moi- il en collait un sur le frigo pour dire qu'il ne rentrerait pas. Mais là. Rien.

Nouvelle gorgée avalée.

-Puis rien n'a bougé, chez nous. Tout est... pareil. Enfin, je veux dire, les objets, sont pareils, les chaudrons dans la remise, ses robes, ses peluches... Tout est pareil, la présence en moins.

Ravaler de nouvelles larmes en se mordant les lèvres.

-C'est presque comme s'il n'avait jamais été là. Pourtant... vous le connaissez ? Vous connaissez Asclépius ?

Prendre à parti. Vous le connaissez pour faire dire bien sûr, il a existé, vous l'avez déjà vu, hein, moi aussi, d'autres aussi, mais il ne nous reste plus que les souvenirs pour en attester.
Et une nouvelle lampée d'hydromel disparaît. Comme si je pouvais noyer la peine et l'angoisse dans les verres ingurgités.

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Jennifer

La petite sursaute, s'excuse de sa réaction ; elle ne m'a pas entendue venir.
Mon regard tombe à nouveau sur son livre. Une studieuse ? Ou une petite curieuse qui a emprunté un livre qu'il ne fallait pas ? Je remarque qu'elle tourne la page comme pour en cacher le contenu. Pourtant, je parviens à lire le titre du bouquin, écrit en haut de chaque page. Un truc d'Histoire. Pourquoi cet air presque coupable ? Les profs seraient, au contraire, bien heureux de voir une élève bosser assidûment ses matières. C'est p't'être rare !
Elle m'annonce par la suite que c'est la première fois qu'elle vient ici et demande une spécialité.
Vu son jeune air, elle n'est pas majeure, donc pas de cocktail alcoolisé. Mais je peux lui en préparer un non alcoolisé ?

-Je t'amène ça, je lui réponds avec un sourire doux.

Je me saisis de mes bouteilles et m'applique, du mieux possible, à lui concocter sa boisson.
Lorsque je pose le verre sur le bar, je lui annonce fièrement :

-Voilà un Pepsi Lin, boisson spéciale 3B puisqu'elle porte même la signature d'un de nos stagiaires !

Je griffonne sur un bout de papier le prix, histoire de lui faire une petite facture à la fin. 8 mornilles, donc. Je m'assois sur un tabouret, de mon côté du comptoir. Je me sers un verre de jus de mangue -pas trop d'alcool pendant le service, hein- et commence à le siroter en regardant, au-dessus de l'épaule de la jeune cliente, la salle principale. Mais mon attention revient sur la jeune fille, son livre, évocation des commentaires entendus précédemment.

-Ca parle de Mangemorts, ton bouquin ? j'interroge, sans préambule.

Si c'est un livre d'Histoire, je me doute bien de quelle époque ça parle. Celle du célébrissime Harry Potter, qui a défait Lord Voldemort, le dark Lord de l'époque. Avec ses p'tites idées rétrogrades et puristes. Quelle gâchis pour la communauté magique ça aurait été, s'il avait fallu exterminer tous les nés-moldus voire sang-mêlés également. Vous n'avez pas trop envie de vous retrouver dans un monde peuplé de sang-purs consanguins et donc potentiellement fous et difformes, hein ? Bon. Voilà.

Commande:

Un sourire sur mes lèvres quand la jolie serveuse des Trois Balais part chercher ma commande. Il est toujours présent quand cette dernière revient avec ma boisson, un "Pepsi Lin" ? Rien que le nom s'annonçait fort prometteur.

« Merci beaucoup ! »

Elle me tend alors un papier tandis que je ne perds pas de temps pour porter le verre à mes lèvres et les tremper d'abord presque timidement. C'est une odeur de gingembre qui me prend direct les narines mélangé sans doute à une autre plante.

« En tout cas, elle est délicieuse ! Vous pourrez lui dire de ma part. » lui répondis-je en parlant de son stagiaire.

Ce dernier devait être plein de ressources et déborder de créativité. Regardant le papier, je me mets à chercher la somme demandée que je lui tends à mon tour après avoir posé mon verre pour le reprendre à nouveau afin d'en déguster cette fois sans peur son contenu. Je me rends compte alors qu'elle est toujours à mes côtés, non que ça me dérange personnellement car elle m'est plutôt sympathique. Cependant, je peux surprendre son regard curieux penché sur mon livre. Bien que je garde mon sourire, je ne peux empêcher à mon corps de se tordre légèrement. Je pensais pourtant avoir été discrète... Il fallait croire que non.

« Entre autre... » fais-je en haussant les épaules.

Mon regard passe du livre à elle me demandant ce que j'allais bien pouvoir lui dire de plus. A moins qu'elle ne partage un minimum leur point de vu, l'Ordre Noir n'avait pas des plus bonnes réputations dans le monde magique. Il n'y avait qu'à voir l'avis de mon père à son propos.

« C'est sur l'histoire du célèbre Harry Potter. Vous devez sans doute la connaître. J'en suis précisément à ce moment. »

Histoire qui je dois dire me fascinait même si bien sur avant ce livre détaillé, j'en avais déjà entendu parlée. D'ailleurs tout le monde aujourd'hui la connaissait.
Revenant à la page que j'avais tournée précédemment faisant mine de rien pour la cacher, au point où l'on en était vu qu'elle avait entendu mes propos... je lui laisse alors tout le loisir de pouvoir observer la page. Ainsi elle pourra mieux assembler le pourquoi de mon commentaire. Evénement raconté par l'auteur du livre ou ces derniers avaient investis des lieux moldus.