Salle commune

Alors qu'elle s'attardait sur la jeune serpentard en pleine révision, une autre fille l'accosta. Sa remarque était fortement sacastique. Elle apprécia tout de suite la nouvelle venue et un sourire à demi voilé se dessina sur son visage. Son piercing la brûla instantanément et le sourir se transforma en grimace. La fille en face d'elle semblait être très sure d'elle. Trop peut-être. C'téait là un des plus grands "problème" des serpentards pendant un temps. Mais ils en avaient fait une vertue. Puis les joues légèrement rosie par la faible douleur sur sa lèvre, elle répondit :

"_ Simple entrée en matière. J'ai entendu dire que certaines personnes n'appréciait que très peu qu'on les abordent sans les connaître. Alors quitte à paraître un peu... hum désorienté, je préférais lui parler ainsi. Je suis Erzebeth. Et tu m'as dis t'appeler...?"

Erzebeth attendit la réponse, le regard malicieux et la bouche pincée. De sa main, elle caressait le bras de son fauteuil. Elle fit une bulle avec son chewing-gum et la fit éclater bruyament.

Ann tourna la tête vers un petit groupe, de deux ou trois personnes, qui discutaient. Un peu fort, on entendait quelques bribes de la conversation, mais elle n'écoutait pas vraiment. La jeune demoiselle tourna de nouveau la tête vers la fille au piercing, se tenant toujours aussi droite, et la regardant d'un air plutôt plat.

"_ Simple entrée en matière. J'ai entendu dire que certaines personnes n'appréciait que très peu qu'on les abordent sans les connaître. Alors quitte à paraître un peu... hum désorienté, je préférais lui parler ainsi. Je suis Erzebeth. Et tu m'as dis t'appeler...?"

Elle s'inclina doucement, faisant preuve d'une politesse irréprochable, comme à son habitude.

- Et quelle belle entrée en matière, quelque peu ratée cependant, ce qui gâche un peu. Mon nom est Ann Soledad, enchantée de faire ta connaissance, Ezrebeth. En quelle année es-tu ? demanda-t-elle alors, pour faire plus ample connaissance.

Elle se releva doucement, prenant place sur une chaise près de là, ne faisant pratiquement aucuns bruits, ne troublant guère le calme général. Mis à part les quelques personnes dans le coin, la Salle Commune était belle et bien vide.

Erzebeth écouta la jeune fille se présenter et la regarda s'asseoir. Elle ne tarda pas à répondre.

"_ Et bien Ann, je suis en 5éme année ayant eu la ... hum malchance de doubler une classe après quelques... facheux problèmes. Contente d'avoir fait ta connaissance. A présent excuse moi mais je vais aller me doucher. Passe un agréable moment en compagnie des autres Serpents."

Erz' appréciait Ann. Seulement, elle n'était pas d'un naturel très sociable et les longues discussions l'ennuyaient rapidement. Mieux valait faire court. Elle ne voulait en aucun cas se montrer impolie et partir sans raison valable. L'idée de la sois disant douche lui était venue spontanément. Elle se releva prestemment et étira son dos. Son corp très mince (peut être trop?) dessinait une ombre longue et inquiétante sur le mur. Elle salua la fameuse Ann et se retira.

[sortie de Erzebeth]

Ann sourit nonchalamment, posant à la même occasion, son livre de révision sur la table. Elle n'aimait pas beaucoup discuter, mais c'était mieux d'être "bien vue" de ses camarades, plutôt que d'être haïe par toute l'école.

"_ Et bien Ann, je suis en 5éme année ayant eu la ... hum malchance de doubler une classe après quelques... facheux problèmes. Contente d'avoir fait ta connaissance. A présent excuse moi mais je vais aller me doucher. Passe un agréable moment en compagnie des autres Serpents."

Elle l'écouta distraitement, lui faisant un petit sourire moqueur lorsqu'elle lui dit qu'elle avait doubler une classe avant de lui faire un petit salut de la tête.

- Je te remercie, et te dit à bientôt, peut-être aurons nous l'occasion de se reparler un de ces jours, fit-elle alors.

Ann se mit alors au travail à son tour, ouvrant son livre. La jeune fille aimait bien la dénommée Erzebeth. Elle l'amusait, en quelques sortes. Cependant, elle cessa ses pensées, et s'en retourna à son livre, tentant d'inscrire dans son cerveau la moindre information qu'elle lisait. Elle était naturellement douée.

Loïlyd toujours dans son almanach voulu faire une petite pose car il lui semblait avoir entendus des bruits de pas dans le couloir, effectivement quelque seconde plus tard une jeune fille entra dans la salle commune, elle semblait visiblement tourmenté et elle portait des livres de cours. Au moment où il replongea dans sa lecture, elle dit a voix haute
"La vache, on est les deux seuls qui lisent dans leur coin...Je me sens un peu seule, là, pas toi ?"
Il en fut surpris car il s’attendait a une part de discrétion venant de la nouvelle arrivante, mais il répondit de bon cœur, un peu gêné tout de même
"Je ne révise pas, j'apprends juste quelque truc..."
Puis en observant son interlocutrice il remarqua qu'elle était plutôt jolie mais un peu âgé par rapport a lui tout de même.

Epistula n'avais pas eu de chance au coin de la cheminée, personne ne lui avait adresser la parole, elle n'était pas triste, mais juste mélancolique, mélancolique de son ancienne vie, et de sa famille. Elle se dirigea donc vers la salle commune, où elle pensait qu'enfin elle oserait parler à quelqu'un mais dès qu'elle arriva, elle se sentit toute petite au milieu de tous ces gens qui se connaissaient déjà.
Tout doucement, elle s'hatarda à prononcer cette phrase :

Bonjour, je suis nouvelle ici, comment vous appelez-vous ?

Et elle attendu une réponse ...

Ann était plutôt plongée dans sa lecture, obsédée par la réussite dans ses examens. Elle devait être la meilleure, dans tout. C'était son but. Elle ne voulait rien d'autre, et pour elle, être entrée à Serpentard, était le meilleur des moyens pour arriver à ce qu'elle désirait le plus au monde.

Une jeune fille entra alors dans la pièce, plongée presque dans un silence quasi religieux, puis vint s’asseoir près des quatre attablés, dont elle faisait partie. Elle l'observa longuement, un long moment, avant que la demoiselle ouvre la bouche pour parler.

Bonjour, je suis nouvelle ici, comment vous appelez-vous ?

Ann la regarda encore un peu, avant de lui répondre. De toues évidences, elle en attendait une.

- Bonjour, bienvenue chez les Serpentard. Je m'appelle Ann Soledad, et toi, quel est ton nom ?

Quand Epistula s'assit à la table des Serpentard, toute la salle était silencieuse, car, il n'y avait que très peu des personnes, 4 personnes plus précisément. Elle se mit à coté des ces 4 personnes, etaprès s'être présenté, une jeune fille lui répondit :

- Bonjour, bienvenue chez les Serpentard. Je m'appelle Ann Soledad, et toi, quel est ton nom ?

Epistula craignait de l'avoir dérangée car Ann était complètement plongé à travers son livre, elle avait surement peur pour ses examens qui approchaient. Epistule se disait que Ann serait probablement sa première amie à Poudlard, il fallait donc être sympathique et essayer de ne pas la vexer. Elle lui répondu donc :

Moi, je suis Epistula, je viens d'Irlande. et toi ?

[ Epistula, fais gaffe aux conjugaisons mon enfant u__u. ]

Ann ferma doucement son livre. Il est vrai, qu'elle était obsédée par sa réussite, et elle voulait clouer le bec à ces gryffondors, qui se croyaient tellement supérieurs. Elle leur clouerait le bec, oui, ça c'était sûr. Elle leur montrerait qui était la vermine.

Pour le moment, la jeune fille de quatorze ans écoutait la réponse de sa nouvelle "amie".

Moi, je suis Epistula, je viens d'Irlande. et toi ?

Ann se plongea un peu dans ses pensées.

#Flashback#

- Maman, maman !! Regarde, je suis à Serpentard ! Mi-Niu, elle était pas contente, elle a dit que c'était pas bien.
- Serpentard ? bougre de graine de chou ! Moi qui croyais que le Choixpeau était gâteux, le voila qui refait des choix intelligents.
- Mais toi tu étais où ?
- Tu réalises qu'il a réussi à me mettre à Gryffondor... Ah, j'ai bien ris à cause de lui !"
- Ah bon ? Moi je les aime pas, ils sont méchants avec nous. Maman, Mi-Niu m'a dit que tu partais, tu vas où ?
- Et m'appelles pas Maman, gamine.

Là-dessus, elle partit, sans même me dire où elle allait. J'ai appris, plus tard, qu'elle était allée en Irlande. Pour moi, c'est ma maman. Pour moi, ma vraie mère, c'était Adalbrechta Sullivan.

#Fin du Flashback#

- Moi, je viens de Londres, du côté de Derby. Mais je suis née en Corée du Sud.

[ Adalbrechta Sullivan m'a autorisée à l'utiliser pour ce RP u__u. ]

Epistula regarda Ann dans les yeux et elle cru y apercevoir une pointe de tristesse; mais elle n'osa pas lui demander ca qui la bouleversait autant, mais, déjà, elle lui répondit :

"- Moi, je viens de Londres, du côté de Derby. Mais je suis née en Corée du Sud."

La Corée du Sud, un des plus grand rêve d'Epistula car dans on enfance, elle avait lu tant de livres à ce sujet.

Epistula vit au loin une ombre qui lui semblait connue, elle avait cru voir sa mère qu'elle n'avait plus vue depuis 3ans au moins. Elle demanda donc à Ann :

Un professeur au nom de 'Pratrna' enseigne ici ? "

Elle s'inquiétait beaucoup de la réponses car si s'était réellement elle, cela voudrait dire que sa mère lui cachait la vérité depuis si longtemps... Ce serait une destruction pour elle !

Chez les Moldus c’était ce qu’on appelait se prendre à vent. En effet, le jeune élève à qui je venais de proposer de se joindre à nous, n’avait en aucun broncher d’un millimètre. Comme si je n’existais pas. Tant pis, pensais-je. Je ne pouvais m’en vouloir pour cette initiative ; il la refusait, je ne pouvais rien y faire.

-Je n'étais pas présente, lors de l'attaque. C'est avant que Gloire en fasse l'acquisition. Je ne sais pas vraiment ce qui s'est passé d'ailleurs.

Alors que je me rasseyais sur le canapé, et sur le catalogue de magie noire qui me mettait toujours un peu mal à l’aise, j’écoutais Axelle réintroduire le sujet Mangemort. Moi qui pensais ne plus en parler de peur d’être trop indiscret ou d’entrer dans des sentiers de malaise, je fus surpris d’entendre la jeune préfète en parler de nouveau.

-Hum, c’est compliqué. S’il n’y a pas eu de mort, et si les blessés ne sont pas dans des états critiques ; c’est le plus important. On peut toujours reconstruire ce qui est détruit. Pas la vie.

Puis le silence revint. Ce n’était pas vraiment un de ces silences qui apparaissaient dans des moments où aucun des deux parleurs ne savaient que dire. C’était seulement dû au sujet de notre conversation. Et puis nous étions tous deux fatigués, surtout elle d’ailleurs. Ces étirements et autres signes physiques en témoignaient.

En revanche, d’un coup, sans prévenir, elle se leva, et s’approcha de moi ; l’air relativement menaçant. Gloups. C’est que dans la lumière ambiante, elle en jetait la préfète avec ces cheveux noirs. Un peu comme dans la forêt interdite. Enfin. Là, elle me prenait au dépourvu…Elle me surplombait de toute sa ~~petite~~ hauteur.

-Tiens, tiens. Qu'est-ce que tu me caches Riverside ?

Oups. Avait-elle aperçut le catalogue ? Peut-être voulait-elle parler d’autre chose ? Mais de quoi ? Que devais-je faire ? Je savais au fond de moi qu’Axelle se moquait de moi, qu’elle appréciait de me taquiner de la sorte. Son sourire narquois en disait long ! Je savais également qu’elle ne me dirait rien de spécial si elle découvrait le catalogue de magie noire. Mais c’était plus fort que moi. Que l’on découvre cela de moi me mettait mal à l’aise. C’était comme si mon père, en un instant, en sera au courant. Et sa future colère me paralysait. Que devais-je faire ?

Malheureusement pour moi alors que je croyais que les nombreux arrivants puissent me permette de dévier l’attention de la Serpente, mes espérances furent vaines. Elle continuait de me regarder avec cette intensité malicieuse qui la caractérisait tant.

-Et bien…c’est…c’est rien…, je sortais le catalogue de magie noire, tiens mais qu’est-ce que ça…disais-je essayant de feindre la surprise, mais je n’étais vraiment pas doué pour ça, je le feuilletais c’est tout…et puis…enfin, voila…, concluais-je, sans savoir que dire. J'étais comme un enfant grondé par sa mère...je me sentais honteux.

Derrière elle, la sorcière entendit des voix. Un mélange de petites voix haut perchées, aiguës et mesquine. Ça y est, de nouveaux Serpentard venaient d'arriver, et une majorité de fille qui plus est. Gé-ni-al. Entouré de garçon depuis son plus jeune âge, la Serpent avait de la difficulté à se faire des amies de sexe féminin. Enfin, pas vraiment, mais il fallait passer le test. Bizarrement, les filles de Serpentard échouait régulièrement le test, ce qui faisait que la préfète pouvait compter ses amies sur les doigts de sa main.

- Et bien…c’est…c’est rien…

Il accompagna ces mots d'un geste qui dévoila le catalogue de magie noire.

- Tiens mais qu’est-ce que ça… fit-il en feignant la surprise.

Axelle secoua la tête. Aloys n'était pas vraiment doué pour le mensonge. Il semblait penser la même chose, car il enchaîna :

- Je le feuilletais c’est tout…et puis…enfin, voila… conclut-il.

Sans un mot, la préfète s'installa sur l'accoudoir du fauteuil occupé par le Serpentard. D,une main, elle lui prit sèchement le catalogue. Elle l'observa d'un oeil critique, avant de le rouler et de frapper la cuisse de son condisciple.

- Tsk... Vilain garçon.

Au moins, madame Jones ne pourrait pas dire qu'elle n'était pas impartiale. Elle punissait même les membres de sa propre maison. Son regard moqueur se dirigea vers Aloys et, lorsque leurs yeux se croisèrent, son visage s'illumina d'un sourire narquois. Elle redonne sa forme d'origine au magazine et l'ouvrit :

- Hum, rien de bien nouveau ou abordable, soupira la jeune femme.

Axelle savait qu'elle venait d'en dire trop, mais la sorcière ne dévoila rien de ses multiples visites à la boutique et encore moins des objets qu'elle avait acheté.

- Tu prévoyais acheter quoi ? lança-t-elle sur le ton de la désinvolte, comme si elle parlait de friandises.

Son visage ne broncha pas, elle se trouvait donc à toujours de profil à Aloys.

Les petites fourmis présentes sur les autres fauteuils continuaient de parler, et parler. Mais j’étais trop concentré par les mouvements d’Axelle que leurs mots m’étaient inaccessibles ; en fait, je m’en fichais un peu, beaucoup même.

- Tsk... Vilain garçon, dit-elle après s’être emparé du catalogue avec violence, ce qui eut don de me faire sursauter ; mais le plus surprenant fut sa tape –amicale ?- sur ma cuisse. Je ne m’attendais pas un tel geste de la part de la jeune brune. Ce genre de formalité populaire comme le signifiait mon père, était prohibé, par mon père d’ailleurs, dans la famille. Alors bon, cela me surprenait toujours.

Axelle plongea son attention dans le catalogue, j’attendais une réaction de sa part. Quelques secondes plus tard, et mon regard dans le sien, un sourire moqueur apparut sur son visage.

-Hum, rien de bien nouveau ou abordable, soupira la jeune femme.

La jeune femme savait se faire surprenant, y avait pas de doute. Ces mots voulaient-ils dire qu’elle avait l’habitude de feuiller ce genre de revu ? Ou même de se rendre dans la boutique de magie noire ? Oh, et puis mince Aloys, chacun faisait ce qu’il voulait de sa vie ! Et ce n’était parce qu’on regardait un simple catalogue de magie noire que l’on était forcé d’acheter, ou d’avoir de mauvaises attention ! Ce fut ce que pensait une petite voix au fond moi, une petite voix pas encore assez puissante pour s’imposer à mon être tout entier ; mais cela ne serait qu’une question de temps. En outre, les propos de la jeune femme m’avaient interpellé.

-Tu prévoyais acheter quoi ? Continua-t-elle ne me laissant pas le temps de poser mes questions.
-Eh bien, je ne sais pas, je feuilletais simplement. Je réfléchis un instant. Je regardais les Pensines, c’est que ça coute chère c’est chose là. Je fais souvent des rêves, des cauchemars pour être honnête, mais ce ne sont que des moments coupés. Je me suis dit qu’une Pensine pourrait m’aider à y voir plus clair ? J'en disais un peu trop...qu'est-ce qui me prenait de tout déballer ?! Le catalogue regorge d’articles tous aussi étranges et maléfiques les uns que les autres… Qu’en penses-tu Tu es déjà allé dans la boutique de magie noire, dans l’allée des Embrumes ?

Cette même enseigne qui se situait près du bar des ténèbres. En revanche, jamais je n’y avais mis les pieds de ma vie. Je scrutais le visage de la préfète, en guise d’une émotion, en espérant que l’attention sur porte plus sur elle que sur moi…

Ann s'était replongé dans son livre, et je ne voulais pas l'embeter avec mes questions, car je ne pensait pas que ma mère puisse m'avoir caché la vérité depuis si longtemps ... Enfin, je ne l'esperait pas ...

A côté de moi, les voix s'élevèrent, et sans le vouloir, je me mit à écouter leur conversations, ils parlaient d'achats magiques il me semble, mais je n'y comprenais rien, vu que je ne conaissait pas les objets dont ils parlaient, j'avais déjà entendu le mot "pensine" dans ma plus tendre enfance mais personne ne m'avait expliquer le sens de ce mot, voilà, désrmai, j'allais peut-être le connaitre, si jamais j'osait leur demander, je ne connaissais même pas leurs noms, et je ne savais pas comment les aborder, devrais-je dire : " Bonjour, je suis Epistula et vous ? " et ensuite, plus tard leur parler de la pensine ou alors :"Escusez-moi, mais qu'est-ce qu'une pensine, je suis nouvelle ici ..."

Soudain, je pris mon courage à dex mains, et lança en bagayant un peu :

"Bon-bonjour, je suis Epistula, nou-nouvelle ici et j'ai-j'aimerais connaitre le sens du mot pen-pensine, qu'est-ce donc ?i

J'esperait qu'ils me répondent même si je n'avais pas parlé très fort, car, je réflechissait que je ne conaisais rien à la magie et je voulais en apprendre d'avantage.

J'étais assise dans un fauteuil, près de moi se trouvait un garçon dont je ne connaissais pas le nom et une fille. La préfète de serpentard. Il parlait de magie noire, aux moins eux savent reconnaîtraient les bonnes choses. Je ne comprends pas les gens qui disent que la magie noire est quelques choses d'horrible, moi je trouve cela génial. Alors qu'il parlait tranquillement, une fille s'approcha d'eux.

"Bon-bonjour, je suis Epistula, nou-nouvelle ici et j'ai-j'aimerais connaitre le sens du mot pen-pensine, qu'est-ce donc ?"

Cela me choque et elle se dit à Serpentard ? Toute personne doit savoir ce qu'est une pensine !

"Tu rigoles j'espère ? Tout le monde doit savoir ce qu'est une pensine ! Dis-je d'un ton hautain"

- Eh bien, je ne sais pas, je feuilletais simplement. Je regardais les Pensines, c’est que ça coute chère c’est chose là. Je fais souvent des rêves, des cauchemars pour être honnête, mais ce ne sont que des moments coupés. Je me suis dit qu’une Pensine pourrait m’aider à y voir plus clair ? Le catalogue regorge d’articles tous aussi étranges et maléfiques les uns que les autres… Qu’en penses-tu ? Tu es déjà allé dans la boutique de magie noire, dans l’allée des Embrumes ?

Entretemps, Axelle avait enfoui son menton dans sa main gauche. Oui, elle avait fait plusieurs visite à la boutique de magie noire. C'était Kimoka, ancienne préfète de Serpentard, qui l'a dirigeait. La sorcière ouvrit la bouche, mais fut coupée par une petit voix aigüe, mais dont le ton était plutôt bas, presqu'un chuchotement :

- Bon-bonjour, je suis Epistula, nou-nouvelle ici et j'ai-j'aimerais connaitre le sens du mot pen-pensine, qu'est-ce donc ?

Puis, une voix teinté d'amertume répliqua, avant même qu'Aloys ou Axelle ne puisse répondre. La préfète coula un regard en coin à son condisciple, tandis qu'une moue boudeuse se formait sur son visage.

- Tu rigoles j'espère ? Tout le monde doit savoir ce qu'est une pensine !

Axelle soupira bruyamment. Impossible de discuter en paix, ici ? D'abord ils se faisaient interrompre par une timide bégayante, puis cette blonde qui répondait... lui avait-on seulement adressé la parole ? Depuis quand était-elle là, d'ailleurs ? Chose certaine, il était préférable de ne rien dévoiler ici.

- Je crois qu'elle ne rigole pas, explique-lui donc, fit la préfète d'un air moqueur, en pointant du menton l'autre élève.

La préfète reporta son attention vers Aloys et put enfin répondre :

- Ils vendent des cadenas mordants plutôt efficaces, contre les indiscrets.

Avec toutes ces interruptions, la sorcière Serpent avait fini par oublier quelque peu le petit jeu qu'elle jouait quelques instants auparavant. Puis, l'idée lui revint en tête, mais ses yeux se posèrent sur les deux élèves qui s'étaient plutôt maladroitement introduites dans la discussion. Non, définitivement, ce n'était pas le moment de continuer son interrogatoire. Ses doigts tapotèrent légèrement son menton, se demandant quelles pensées pouvait "hanter" Aloys.

À nouveau, trop tentée et trop curieuse, la préfète se tourna vers Aloys et lui dit à demi-mot, afin qu'il soit le seul à entendre.

- Et si je t'aidais à trouver une pensine, hein ? Il doit bien en avoir une, ici.