[Habitation] Demeure des Emerenziana

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Riant une deuxième fois, cette fois pour une tout autre raison, le lion jeta un regard taquin au préfet. Oh mais faut pas se vexer Hasturounet. Dit-il en prenant une voix infantilisante. C’est pas si grave d’être amoureux. Dans l’unique but de l’embêter. Arthur observa ensuite son compagnon de visite prendre en main la cigarette. Ça le rendait toujours curieux de voir les réactions des gens qui testaient l’herbe pour la première fois. Il était presque satisfait de l’entendre tousser... Il en oubliait même qu’il avait été lui aussi, un jour, comme un idiot, ne sachant pas vraiment quoi faire avec le joint, ni comment le fumer. C’est mes parents qui payent. Il haussa les épaules avec nonchalance. Enfin, ils me donnent la tune et ils savent pas ce que j'en fais. Et il vaut mieux pas qu’ils le sachent. Ils s’en doutaient fortement tout de même. Le lion ricana et reprit la cigarette. Mmh tu as raison, c’est mieux pour toi sinon tu risques de finir dans les toilettes avant la fin de la soirée. Ce serait dommage de la terminer comme ça alors que Jennifer t’attend.

Le bouclé hocha la tête de haut en bas à la proposition du préfet, alors, ils s'éloignèrent du garage, firent le chemin inverse, croisèrent l’elfe de maison en train de se dépoussiérer et ils regagnèrent enfin la terrasse. Ici, les choses avaient pas mal bougé. Morgana avait rejoint Gabin, bien évidemment, ce qui agaça Arthur qui détourna rapidement le regard. Et des invités, plus âgés étaient arrivés. Il désigna à son pote le buffet où se trouvaient de nombreuses personnes. Tout d’abord Jackson, la directrice de la maison Serdaigle, plusieurs personnes qu’il ne connaissait pas dont un (Adonis) qui... Dégageait une aura étrange, quelque chose de hypnotisant. A moins que ce soit les effets du joint ? Arthur tira longuement dessus avant de cracher sa fumée et posa le regard sur la dernière personne. Il était quasi certain que c’était le directeur de Serpentard, Elius, et le patron d’Aliocha. Il était enfin sorti de prison ? Je vais me reprendre un verre, tu veux un truc ? Demanda doucement le lion au préfet. Tout près du groupe, il écoutait distraitement les conversations, ricanant silencieusement de les savoir en train de jouer à action et vérité. Le bouclé se servit le même mélange que plus tôt et se posa contre le buffet. Tiens, Aysha jouait aussi ?

Lui, avait une tout autre idée de jeu à proposer à son ami, mais dans le même genre. Il but une gorgée dans son verre puis s’approcha d’Hastur pour lui chuchoter : Pour combien tu vas voir la meuf là bas ? Il désigna du menton la brune entourée d’un vieil homme et de deux hommes qui n’avait pas l’air commode du tout. Il fallait être gentillet avec le serpent, ne pas trop lui en demander. Je suis curieux de savoir comment tu t’y prends pour charmer les femmes. Dit-il avec un sourire en coin, limite provocateur. Et puis, s’il avait besoin d’un peu de courage : Tu peux en reprendre. Alcool, la soirée n’en manquait, l’herbe, Arthur n’en manquait pas. Sinon, s'il refusait, il avait très hâte de proposer sa participation au jeu "action et vérité". Question de s’occuper un peu.

Monsieur Jackson ne paraissait pas avoir entendu la proposition de Lorelaï, mais elle n'avait pas échappée aux autres membres du comité. Pour commencer, Adonis servit un verre d'eau à la bleue qui rougit jusqu'aux oreilles... il s'inquiétait pour elle, si c'était pas adorable. La jeune directrice s'apprêta à le remercier, quand il fut intercepté par le Confetti qui échangea l'eau avec un verre de vin, et le tendit à Lorelaï. Adonis s'en alla rejoindre Monsieur Jackson et le vieille homme en costard, et Aysha exprima son désir de jouer, ce qui fit atterrir Lorelaï. Mais quand avait-elle décollé ? Cet Adonis... qui portait si bien son nom... Quelle prison ? Celle qui comment par un D et se termine dans les pierres précieuses. Celle qui l'ancrait pour mieux l'envoler par de-là les mots et la tendresse. Celle qui la oubliée. Comme on oublie la rosée du matin quand on vit entre le bitume et l'asphalte. Celle qu'elle laissa au fond de son verre quand deux mains magnifiquement vernis se posèrent sur ses blanches hanches à découvert et l'emportèrent dans une valse sensuelle aux allures souveraines. Lorelaï se laissa portée par le cygne noir, comme un souvenir d'enfance qui se réveillait dans le regard jamais adulte-toujours ado.les.sangs. Le Grand Prince, Tsar souligné de noir, s'arrêta, passa son regard royal sur le peuple toujours à ses pieds, désigna l'élu. Il dira la Vérité. Pure. Nette. Blanche. Une gorgée de ce nouveau vin dans les veines. La sorcière obéit.

.Jackson.

Quelle est ta plus grande peur... quant à Élius

Soirée entre inconnus

Saison 31 - Août - RP Libre - LA de Lucianno et d'Halsey durant tout le RP

Les yeux sondent ceux du mafieux, à quoi pense-t-il ? L'intervention d'Askin aurait-il capoté les choses ? Le jumeau semble être le plus sérieux de la famille ce soir, restant de côté il observe sans rien dire. Soudain, une drôle d'aura entoure les sorciers et sorcières présents. Les regards se tournent vers l'inconnu qui arrive, les cheveux si blond qu'ils sont presque blanc, les yeux si bleus qu'on dirait qu'ils sont transparents. Combiné avec le magnifique costume et l'aura, tous se concentre sur le jeune homme qui se présente à l'hôte des lieux.

Signore Evans, je suis ravi de faire votre connaissance. Je ne connais pas votre père mais je serais ravi de le rencontré. Je suis moi-même très proche des animaux et souhaite devenir Magizoologiste. Peut-être pourrions nous travailler ensemble un de ces jours ?

Les yeux suivent le roi fou qui se déhanche sur une nouvelle chanson, celle-ci colle tellement à sa peau. Les mirettes brillent, la peau frissonne. Un sourcil se lève. Vérité ? Quel question vas-t-il poser à l'italien fou ? C'est la Directrice des bleus qui demande la vérité. Concernant Askin. Les dents grincent.

L'hôte des lieux rejoint la table pour prendre un nouveau verre de vin. Tel un félin chassant sa proie, ces pieds le mènent vers lui et elle. Du haut de sa grande taille, il penche la tête pour observer la gracieuse Femme. Lâchant un petit sourire en coin, Jackson tape son verre contre le sien.

Qu'il disparaisse. Élius est à jamais accroché à moi. S'il pars de nouveau, mon coeur serait brisé à jamais.

Élargissant son sourire, le Magenmage pose ces doigts sous le menton de Lorelaï et lui hausse le visage.

Miss Peony. Que pensez-vous de moi ? Dites là vérité.

Se penchant vers son oreille, Jackson chuchote sensuellement.

Toute la vérité.

jawn

Le liquoreux disparaît entre les griffes du serpent qui se donne en spectacle (Élius). Il entame aussitôt une chorégraphie adroite jusqu’à la belle. Lorelaï est sa cible, il lui glisse le nectar sucré. Il swing jusqu’à son épaule, courbes et déhanchés et y pose son menton une fois la sentence haut et fort prononcée. L’hôte (Jackson) sera la première victime et son bourreau, la jolie fleur déshydratée. Il est fort le reptile, la belle est pervertie. Ève n’hésite pas et succombe à la tentation. Elle croque le fruit de la Discorde à pleine dents. Une gorgée d’alcool en plus pour le faire glisser. Une fois Jackson dans sa ligne de mire, elle vise et elle assène le premier coup d’épée.

Adonis se tait. Il tend l’oreille mais ne lâche pas du regard le drôle d’oiseau, posé sur l’épaule de la jeune femme. Qui es-tu réellement, Askin ? Quels sont tes désirs, quels sont tes secrets ? L’hybride cogite, ses lèvres sont closes. Seuls ses yeux bavardent, avec la soie du perturbateur. Discrètement, les deux lagons le déshabillent. Les pupilles courent sur son corps d’ex-embastillé, étudiant la subtilité de ses traits. Ils le découpent centimètre par centimètre, mais rien de voyeur ou de pervers, l’ange s’interroge simplement sur cette étrange identité.

Le jeu continue, Emerenziana rétorque. Sa réponse est désespérée, les mots sont forts. Le serpent l’obsède, il n’y a pas de doute. Les griffes pailletées se sont d’ores et déjà plantées dans la chair italienne, l’abreuvant de poison à chaque baiser. Le malin tire les ficelles, ses danses sont toxiques. Il est marionnettiste et Jackson poupée. Qu’en pense-tu Askin ? Sa réponse, elle te plaît ?

Les autres invités observent le spectacle. Adonis glisse jusqu’à la belle brune (Aysha) qui semblait elle aussi vouloir jouer. Elle est jeune, peut être autant que la vendeuse de baguette. Pourquoi est-elle venue ici, quelles sont ses ambitions ? Il ne la regarde pas dans les yeux. Seuls ses cheveux charbon apparaissent dans les limites de sa vision. Sent-elle la douce chaleur émaner du corps de l’angelot ? Il ne s’attarde pas. Ses pupilles fusent à nouveau. Voilà autre chose.

Se sentant attaquée, la poupée d’Askin riposte. À son tour, il s’avance vers l’éméchée. D’une voix sensuelle, il lui susurre quelques mots. Lui aussi veut la vérité mais à son propre sujet. L’égocentrique se sent puissant, mais va-t-il choir de son piédestal ? Il s’attend à un écho avantageux mais qu’en penses-tu Lorelaï, vas-tu lui faire ce cadeau ?

Qu'il disparaisse.

Le disparu.

Ô Ironie. Implacable réalité qui surgit quand on la fuit. Un éclair dans les yeux. Tristesse et fureur. Elle ne sait que trop bien la sensation du disparu. Pas un. Pas deux. Tous se sont perdus, de présence ou de corps, tous sont partis, une seconde et n'est plus.

Lorelaï sourit, crispée. Un regard vers le Tsar. Il aime avoir le pouvoir. Il jubile certainement. Elle se souvient des vagues. Et de la mer. Plonge ses yeux dans le souvenir. Puis, elle se reprend quand l'hôte lui adresse sa question. Dommage Monsieur Jackson, vous ne semblez pas connaître les règles du jeu, et je n'ai pas envie de vous satisfaire ce soir.

- Non, désolée. Mais je choisis gage. Action, je veux de l'action.

Peut-être aurait-elle choisi la Vérité, s'il n'avait pas semblé tant vouloir savoir, connaître sa pensée, son avis sur le Maître. des lieux.

Mais elle n'en avait plus envie.
- Dites-moi, que voulez-vous que je fasse ?

Et à qui ?

< RP précèdent : Dites-moi qui je suis
L.A. Lorelaï & Jackson

Bang bang, l'heure de la récré a sonné - bienvenue dans mon coffre à jouets. Donne-moi du rythme (Lorelaï) allez, chaloupe entre mes phalanges habiles, laisse-les basculer ton monde tellement dilué. J'veux sentir le sol disparaître sous nos talons. Regarde comme ils approchent maintenant, tous prédateurs de cette attirante légèreté, séduits par l'idée même de perdre pied. La foule s'assemble, témoin résigné d'une confession imprudente dont j'suis le centre, évidemment. Glissant ma bouche tentatrice depuis son cou auburn jusqu'à tes soumises lèvres (Jackson) un ricanement s'échappe en retour de ta question. Parfait, mais t'aurais pas trop pris la confiance ? L'encre parlait d'une fête en mon honneur, claquement de doigts vernis, sourcil levé ; j'attends.

Trois secondes suffisent, et ton clin d’œil, pour m'offrir le gage de la belle Directrice sur plateau. Good boy* Jackson, on va pouvoir pimenter ça. Mes iris parcourent une autre fois les invités, toujours fuchsia d'excitation, toujours dilatées quand la musique annonce le show. Au milieu d'une scène fantasmée, je dénoue la sangle soyeuse de mon peignoir devenu presque superflu, dévoilant les ravages d'Azkaban. Faites pas semblant M'sieur Evans, c'est exactement c'que vous espériez. Côtes décharnées, cicatrices significatives, deux pans colorés s'écartent sur ma chair pâle comme l'avril mal réveillé. Installant l'épais ruban contre les paupières de Lorelaï, j'explique en même temps la mascarade qui animera dix minutes ou plus dans cette soirée.

— Ceux qui jouent, venez ! Suivez ma voix un peu folle lorsque mes babines prononcent encore devant la masquée ces mots titubants : Fais des couples à l'aveugle, tu prendras la dernière personne. Et ça tourne, et ça tourne, mes paumes sur tes épaules, mon rire vers le plafond - manège terrifiant. I want it, I got it, I want it, I got it ♫ ** Chers pantins, entre deux éclats, voici la suite : Après vous avez sept minutes ensemble dans une chambre, un placard, c'que vous voulez. Autrement dit, sept minutes au Paradis, sept minutes sans interdits, pour ceux qui en avaient ici. I see it, I like it, I want it, I got it ♫ *** Elle s'envole, la libellule lâchée parmi vos têtes bourdonnant d'impatience, ses mains cherchant des poignets, des hanches, des corps à unir pendant quatre cent vingt courtes secondes.

*"bon garçon", ou "bon chien", ça marche aussi
** Je le veux, je le prends, je le veux, je l’ai
*** Je le vois, je l'aime, je le veux, je l’ai

Précision HrRp :

Le serpentard soupirera en entendant le surnom que le bouclé lui avait sorti; il avait vu beaucoup mieux comme tentative pour le vexer. Il lui tapotera l'épaule, un petit sourire aux lèvres. « Oui oui c'est ça Arthurounet. N'oublie pas qu'on a quasiment le même prénom. Ça pourra se retourner contre toi un jour. » dit-il en lâchant un petit rire. Après avoir redonné la roulée à son nouveau compagnon, il écoutera ce qu'il avait à dire sur la façon dont il trouvait tout cet argent, et ce n'était rien de bien compliqué ni de très original; il utilisait l'argent des parents. Les pauvres devaient croire qu'il s'achetait des trucs essentiels ou tout autre chose que de la drogue en fait - petite drogue tout de même, certes. Le concernant, il savait qu'il se mangerait une belle raclée si ça venait à se savoir qu'il avait consommé. Peut-être même qu'il se retrouverait à la rue, qui sait. Quoiqu'il n'était pas majeur encore. Ils n'avaient pas - encore - le droit de faire ça. S'il en était à songer à ça au milieu d'une conversation, c'est qu'il avait de sérieux problèmes familiaux, maintenant qu'il y pensait ... Il écarta ces pensées d'un coup de main mental, se recentrant sur le lion.

« Mmh tu as raison, c’est mieux pour toi sinon tu risques de finir dans les toilettes avant la fin de la soirée. » Ah oui quand même. « Parce que ça peut donner la gerbe ce truc ? » demanda-t-il visiblement curieux. S'il fallait être honnête, il n'y connaissait pas grand chose. « J'aurais bien dit le cancer, mais la gerbe ... De toute façon, j'ai déjà un pu*ain de mal de coeur. Je vais arrêter de prendre de l'alcool, au moins jusqu'à ce soir. Pas envie de dégueuler sur le sol de cette baraque. Après c'est moi qui vais devoir payer les réparations. » dit-il en riant en pensant à la scène. Oh, dieu que ça lui foutrait la honte. Absolument tout coûtait une montagne d'argent dans cette villa. Valait mieux qu'il se tienne sur ses gardes et ne fasse pas de connerie. Ce n'était bien sûr pas son genre, mais il préférait être prudent. Le bouclé acceptera au final sa proposition, ce qui signa la fin de leur visite des lieux - bien qu'elle était quasiment fini, à quelques exceptions près puisqu'ils n'avaient pas pu visiter les zones qui étaient privées. Ils arriveront au final sur la terrasse, où quelques nouveaux invités semblaient avoir apparu. Les mains dans les poches, il jettera un coup d’œil aux nouvelles têtes, avant que sa contemplation ne se fasse interrompe. « Je vais me reprendre un verre, tu veux un truc ? » Il hochera la tête, demandant cette fois-ci une boisson non alcoolisée. Il en reprendra plus tard. Il avait envie de faire une petite pause.

Le lion reviendra rapidement, son verre avec lui. Il se penchera ensuite à son oreille, lui faisant une proposition qui le surprit quelque peu ; « Pour combien tu vas voir la meuf là bas ? Je suis curieux de savoir comment tu t’y prends pour charmer les femmes. » Avait-il bien entendu ? Un peu confus, il jettera un regard vers la femme dont il parlait. La femme d'une personnalité importante au vu des gorilles qui l'entourait. Il se tournera vers le lion, un sourcil haussé. « J'ai pas encore assez bu pour ça. Et ... je suis pas infidèle. » ajouta-t-il en soupirant. « Quoique ça veuille dire vu qu'on est pas encore officiellement ensemble ... Enfin bref, pour être honnête, j'ai aucune technique pour ''charmer'' les filles. J'imagine ... qu'il suffit d'être soi-même, j'en sais rien. J'ai pas grand chose à te montrer. » Il haussa les épaules d'une façon caricaturale, montrant bien qu'il était désolé. « Eeeeh, désolé mec, je suis pas le genre de personne à faire ça. » Il lui donnera deux tapes sur l'épaule en guise d'excuse. Il fallait qu'il tombe bien bas pour commencer à draguer la première fille venue alors qu'il déjà quelqu'un pour lui. Il sera un peu étonné lorsque le bouclé lui crachera sa fumée au visage avant de partir rejoindre un autre groupe qui semblait jouer à un jeu. Un peu confus sur le moment, il se passera une main sur le visage par réflexe, avant d’hausser de nouveau les épaules. Ils se reparleraient plus tard, il imaginait. Hastur se mit à la recherche de Jennifer, se disant qu'il était temps de la retrouver. Il tombera sur celle-ci alors qu'elle était en pleine discussion avec un groupe invités. Le garçon la saluera avant de lui sourire. « Tu veux faire quelque chose ou t'es occupé ? » La serdaigle semblait un peu gênée, pour une raison qu'il ignorait.

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Je jouue

Prévisible. Arthur aurait dû s’en douter. Non, en fait, depuis le départ il s’en était douté. Il avait juste eu un léger, très petit espoir qu’Hastur soit assez alcoolisé pour se prendre au jeu. Malheureusement non. Non seulement le préfet avait encore besoin de boire quelques verres pour oser draguer une inconnue, mais en plus de ça, il se sentait déjà fidèle envers Jennifer. L’idiot. Il n’était pas encore en couple qu’il se montrait déjà fidèle envers la jeune femme. Qu’il se fermait déjà des portes. A sa place, le bouclé en aurait profité. S’il y avait bien quelque chose qui lui manquait depuis qu’il était en couple, c’était de s’amuser avec d’autres personnes, voire des gens qu’il ne connaissait pas, ou que depuis quelques heures. Bien sûr, certaines fois il s’amusait à draguer, à charmer, mais cela n’allait pas plus loin. Plus maintenant, plus depuis qu’il était avec Aliocha. L’idiot. Le serpent s’excusa et en guise de réponse, le lion lui cracha à la figure la fumée de son joint. Tant pis pour lui. Il se retourna avec un sourire aux lèvres, pas vraiment vexé par son nouveau pote et leva son index et son majeur en l’air pour le saluer, cependant toujours en lui faisant dos. A plus tard mec ! Passe une bonne soirée avec ta future petite-amie officielle.

Lorsqu’il rejoignit le groupe qui jouait au jeu d’action et vérité, il s’approcha de la seule jeune femme dont il connaissait le prénom. Aysha. Sublime dans sa robe. Il se passe quoi ? Lui demanda-t-il alors qu’Elius venait de lâcher la directrice de Serdaigle qui avait les yeux fermés. Il venait pour jouer. Mais pouvait-il au moins connaître le gage qui avait été lancé à Lorelaï ?

C'était sans doute un exploit de se rappeler de certains visages quand on travaillait depuis peu de temps à Ollivander's au vu du nombre impressionnant de clients qui passaient chaque jour. Dans un sens, cela me rassura. Cela voulait dire que je ne perdais peut-être pas totalement la tête. Adonis ne tarit pas d'éloges tout en me confirmant mon doute. Un doute minime soit-il. Au moins, à présent, j'en avais le cœur net. Le regard pensif, je réfléchis un cours instant avant de reprendre. « Hum oui, je me souviens bien maintenant. De votre baguette notamment. Bois de sapin et crin de licorne si je ne m'abuse. »

Oui. Le jeune homme avait été un client au comportement des plus appréciables. Ses compliments me donnent très vite un nouveau sourire, ou peut être est ce à cause de cette aura qu'il dégage, tout comme son compliment sur ma tenue même si en vrai ce n'était pas à lui que je voulais plaire ce soir bien qu'il ne soit de loin pas désagréable à regarder. Un sourire également envers la préfète de ma maison qui ne manque pas de compliment. « Je te remercie Aysha. Tu es très en beauté aussi ce soir et, c'est un plaisir de te voir ici. »

Certains se passeront de ses présentations qu'ils trouveront un peu trop pompeuses mais mes compliments envers la jeune femme étaient sincères. J'avais toujours trouvé la brune très jolie même quand elle portait l'uniforme lambda de l'école. C'est au tour d'un énergumène au look extravaguant qui parvient à faire détourner mon regard comme pas mal d'entre nous. Visiblement, il ne connaissait pas le code vestimentaire de la soirée mais parfois l'originalité avait du bon dans cette arrogance suprême qu'il dégageait... Il me rappelait un certain cours de botanique auquel je n'avais pas assisté à sa fin enfin passons car ce n'était vraisemblablement pas là le thème de la soirée. Jackson réapparaît soudainement ensuite répondant au fameux jeu qu'avait lancé notre chère directrice de Serdaigle. What ? Je crois buguer un cours instant. Ce n'est pas tant sa question qui me dérange mais plus son geste envers elle. Après, il pouvait faire ce qu'il voulait hein juste que mon passif avec lui me revenait du coup soudainement en mémoire, il était normal que je sois un peu gênée, non ? Puis, coup de théâtre, Elius revient à la charge. Hum, bon, il était grand temps que je me sauve de là.

« Tu veux faire quelque chose ou t'es occupé ? » Mouvement de tête envers cette voix que je reconnais à présent sans aucun mal. « Oh bien sûr. Non, ne t'en fais pas, j'allais m'éloigner du groupe, ça commençait à devenir trop intime par ici. En fait, ta présence ne peut pas mieux tomber. » Carrément, l'arrivée du Serpentard me procure un soulagement indéniable et je ne perds pas de temps pour m'éloigner du groupe et le rejoindre. La plaisanterie avait de nouveau fait surface sous un sourire taquin. « Alors tu as fait quoi avec Arthur ? » J'avais fait en sorte de poser la question de façon innocente mais je devais avouer être intriguée par la nouvelle relation que les deux camarades pouvaient entretenir surtout au vu de ce qu'il s'était passé lors du stage. « Tu veux qu'on se rapproche du buffet ? Tu as peut-être faim sinon on peut faire peut-être un tour ? » Cela me fait penser qu'il faudra que je récupère ma valise avant de rentrer dans nos chambres. Je lance un regard en direction du Serpentard, je ne voulais surtout pas lui imposer mes choix. Peu importe ce qu'il choisira car tout me convenait au final en fait tant que j'étais avec lui. Peut-être ressentait-il la même chose, en vrai je l'espérais mais déjà le fait qu'il soit venu en Italie avec moi n'était pas anodin à moins que je ne me fasse des idées... « Tu sais, je ne sais pas si c'est pareil pour toi mais je suis bien avec toi. » Rapprochement subtil que j'effectue sous ses mots qu'il trouvera directs ou pas, marchant à ses côtés sous un demi sourire. Il ne coûtait rien d'essayer et il fallait bien commencer quelque part, non ? La soirée était propice peut-être à ce genre de confidence.

Une première question lancée à la volée en direction de l'hôte, qui, pour la plus grande surprise d'Aysha - que le monde était petit ! - semblait tenir au sorti de prison comme à la prunelle de ses yeux. Et déjà ce dernier se déhanchait, se dévêtant sans gêne aucune, ondulant sur une musique aux sonorités rondes. Quelques invités, çà et là, restaient dans leur coin sans prendre part au spectacle, mais les questions échangées, les danses et les verres passant de main en main avaient attiré les plus curieux d'entre eux et nombreux étaient les joueurs désormais. L'hôte profita de l'occasion pour susurrer une question à l'oreille de Lorelaï, mais la directrice secoua une tête déjà embuée d'alcool. Non, elle voulait le gage, ou plutôt l'action. Et elle ne répondrait pas. Et cette fois encore ce fût Elius, devenu décidément le maître du jeu, qui laissa tomber la sentence. La main heureuse - ou pas - de Lorelaï devrait unir des amoureux pour sept minutes de bonheur. Il avait de bonnes idées, mais Aysha regrettait-elle déjà d'avoir décidé de jouer ?

Mais elle aimait l'inconnu, finalement.

Arthur avait glissé jusqu'à elle et s'interrogeait, et la préfète lui glissa un coup d'oeil amusé, certaine - ou espérant peut-être - qu'il voudrait jouer. Son verre était vide à nouveau et elle le déposa sur le bord de la table, maussade à l'idée que l'alcool descendait si vite sans monter rapidement. Une troisième verre à la main, piqué là sans savoir vraiment ce qu'il y avait dedans, avant de répondre au jeune homme d'où émanait une odeur âpre d'herbe enfumée.

- Action ou vérité. Version Elius. Tu joues ?

Bien sûr que tu joues. Puisqu'elle semblait destinée à ne rencontrer le jeune homme que dans ce genre de situations. Sans doute ne rechignerait-elle pas à ce que la main de Lorelaï, aveugle mais pas que, ne scelle sept minutes d'intimité avec le rouge qui n'avait pas perdu de son charme. Puisque ce n'était pas dans ses habitudes, elle voulait précisément y aller tout à fait. Avec lui ou n'importe qui d'autre, d'ailleurs : tous lui semblaient en cet instant incroyablement séduisants. Mais puisqu'il était là...

Mmmmmh.
C'était un vrai tricheur ce Jackson.
Déjà il posait pas la question et imposait un vérité, mais en plus maintenant il refilait son gage au Confetti.
Lolly prit sur elle, même si son côté Serdaigle et carré, un tantinet obsessionnel avait envie de dire qu'on jouait, ok. mais pas n'importe comment.

Puis bon... l'idée de passer sept minutes au Paradis avec... une certaine personne dira-t-on, ne la gênait pas, loin de là. Donc pourquoi pas jouer le jeu ?

Les mains du serpentin sur les épaules, elle ferma les yeux. Et désigna les duos : Aysha & Élius (devait-elle laisser faire ça en tant que directrice... et donc, responsable ?), Jackson & Arthur, Adonis & Ethan (Lorelaï n'avait jamais été aussi jalouse de Than, ce qui la fit rougir d'un coup et fortement), et pour finir... la jeune Awanne restait pour Lorelaï.

La directrice déglutit. La jeune sorcière ne devait pas avoir plus de 18 ans. Le Paradis ? Le retour à Poudlard oui.

Lorelaï réprima une grimace, passa sa mèche de cheveux derrière son oreille. C'est pas comme ça qu'elle avait envisagé le Paradis, pensa-t-elle en jetant un œil vers le bel Adonis, mais le jeu c'est le jeu.

- Mademoiselle ? dit-elle en tendant sa main vers Awanne, autorisation de vous amener au septième ciel ?

< RP précèdent : Dites-moi qui je suis
L.A. Aysha

Comme le gamin trépignant devant un carrousel, ses babines encore couvertes de crème glacée, j'envisage dans chaque figure une nouvelle monture. Vos bouilles impatientes deviennent paysages sous mes iris pendant trop longtemps privées de voyages, avalant la moindre hâte, dévorant le frisson pâle qu'une fièvre dessine autour de vous quand les dès sont enfin répartis. Impossible d'échapper aux regards qui se croisent, certains amusés, d'autres déçus, mais tous révélateurs du meilleur péché : l'envie. Pourtant n'est-ce pas délicieux de succomber à la chance sept petites minutes lorsqu'il nous appartient de décider entièrement du reste de notre vie ? Toujours délicatement harmonisée par les émanations suaves du vélane (Adonis) - pour un peu qu'on s'y laisse fondre sans réserve, l'ambiance s’alanguit soudain de notes plus douces, chargées d'ambroisie.

Une onctuosité qui perdra des âmes ce soir, croyez-moi - à commencer par Aysha. Permettez mon bras, gracieusement courbé pour kidnapper votre sourire au creux de son filet. Un détour vers la table, et nous voici munis d'une pleine bouteille de champagne, en direction du Paradis. Pèlerinage débutant dans un couloir inconnu, feutrant davantage le bruit des autres à chaque mètre parcouru. Puisqu'ils sont loin maintenant, écoutez le velours de nos pas sur le tapis, de ma voix à vos oreilles et partagez-moi votre définition du paradis, Miss. Ou peut-être préférez-vous danser sous mes doigts, sous mon rire extravagant, sous le lustre cristallin, sous les milliers de lumières fragmentées brillant contre la tapisserie fleurie. Alors, suivez juste ma silhouette qui se balance. Sauf si vous vouliez être avec lui ? Ce châtain bouclés vêtu de résilles qu'il me plaît d'imiter vaguement grâce à la métamorphomagie ?

Le destin - auquel elle ne croyait pas - ou le hasard - souvent déconcertant - avait décidé des duos qui, pendant quelques minutes, seraient enfermés à l'abri des regards dans un endroit désert, sans moyen de s'échapper, et sans limite, surtout. Aysha contempla la silhouette d'Elius qui, en dépit de son charme et de son excentricité, était pour le moins la personne la moins rassurante et la moins prévisible de la petite soirée. C'était du moins ce qu'elle déduisait de ce qu'elle avait vu de lui depuis son arrivée, et de ce qu'elle connaissait du personnage en règle générale. Elle ne parvenait pas à savoir si elle devait se réjouir d'avoir l'occasion de faire plus ample connaissance avec le jeune homme - elle qui aimait par-dessus tout l'originalité et la marginalité - ou si elle devait craindre de se retrouver démunie face à son imprévisibilité. Elle n'était sans doute pas la plus à plaindre, par ailleurs, puisqu'Arthur s'était retrouvé avec le maître de maison - bien plus âgé - et que Lorelaï regardait Ethan avec un air de désespoir non dissimulé, jalousant sûrement les sept minutes qu'il passerait avec le bel Adonis qui semblait faire un effet fracassant à quiconque le croisait.

Elius lui offrit son bras, empoignant au passage une bouteille ou une autre, et entraîna bientôt la bleue à travers les invités, visiblement tout à fait décidé quand à leur destination ; et Aysha se laissa porter, ne rechignant jamais à laisser les rennes à l'autre, profitant du plaisir de ne pas avoir tout décider, contrôler, gérer, pour une fois. Et puisqu'elle craignait cette parenthèse, autant laisser son esprit derrière elle, sur la terrasse, pour ne plus penser et surtout profiter du moment. Vide. C'était sans doute là que se passaient les plus belles choses, ou les plus surprenantes, et si ce n'était pas le cas, au moins pouvait-elle se targuer de n'en être responsable en rien.

Ils parcouraient un couloir, le silence s'installait peu à peu, seulement troublé par le bruit de leur pas, le tintement de la bouteille, et le coeur d'Aysha probablement, qui battait si vite, à la fois à cause de l'alcool et de l’appréhension. Sa définition du paradis. En cet instant, l'ivresse lui chuchotait à l'oreille que le paradis pouvait être n'importe où, pourvu qu'elle l'accompagne, pourvu qu'elle fasse rosir ses joues encore un peu plus et qu'elle soit légère, dansante et étourdissante. Elius dansait déjà, comme toujours ou presque, dans le couloir, sur le tapis, feutré, dans l'espace de lumière miroitante qui scintillait sur les murs luxueux. Puis Elius ne fut plus Elius mais Arthur, à quelques différences prés, à la différence surtout qu'il continuait de danser. Et Aysha, avec un nouvel étourdissement, mesura soudain le potentiel, les portes ouvertes et sans limites que représentaient cette métamorphomagie, rarement vue à l'oeuvre, et toutes les silhouettes, toutes les formes que pouvaient prendre cet instant, les mille facettes d'une même langueur peut-être.

- Je veux tout voir.

Avant de se rendre compte qu'abandonner sa conscience derrière elle n'avait pas été une si bonne idée, que tout cela ne voulait rien dire, et que rien n'avait pourtant été aussi vrai, et que ça tournait dans sa tête, je veux tout voir, tout voir, tout. Et elle s'attendait déjà ce que l'homme interprète, et lui donne à voir tout, mais tout quoi ? Tout. Peut-être qu'elle était un peu ailleurs, en fait, et peut-être que c'était ça, son paradis, laisser les mots éclore hors de ses lèvres sans leur donner un sens parce que leur sens était si évident, au fond, et si sibyllin, en vrai. Et elle voulait juste danser, ou s'allonger sur le tapis, ou les deux, impossible, et faire quelque chose en tout cas qui sorte de l'ordinaire, quelque chose qui ferait honneur à cette ivresse délicieuse, et cette compagnie, à ces sept minutes dont il n'en restait sans doute plus que six. Je veux tout voir et que tu mènes la danse. Voilà.

A peine le temps de boire un verre et la soirée devient déjà intéressante (ou plutôt amusante, si vous voulez être précis). Il semble maintenant être venue le temps de jouer à un jeu vieux comme le monde. Un jeu pouvant être sorcier ou moldu. Un jeu bien plus drôle lorsque l'on arrête de réfléchir ou que l'on ne connait pas réellement les gens avec qui on le partage.
Bon, en réalité la plupart des invités, Awanne les connait déjà de prêt ou de loin. Il faut donc choisir la première option et pour cela, un deuxième voir un troisième (ou même un quatrième) verre s'impose.

Un petit tour près du buffet tout en regardant le début ou tout du moins le semblant de mise en place de l'action ou vérité. Une ou deux questions se posent, mais la jeune serpentard n'y prête aucune attention car elle les considère sans importance. S'est à la suite d'une intervention faite par l'ami de Jackson que le jeu commence réellement. Il en profite d'ailleurs pour donner une action à la directrice de serdaigle. Cependant, le gage semble concerner plus d'une personne. Il s'adresse en réalité à tout ceux souhaitant participer.

Mme Peony ferme les yeux comme il lui a été demandé et commença à pointer son doigt en direction de quelques jeune gens. Quatre binôme se forment et visiblement la directrice sera en compagnie de la blondinette.

Une main tendu et quelques politesses presque tendancieuses, auxquelles Awanne répondit élégamment pour dissiper tout éventuel malentendu. Malgré sa réponse presque blagueuse le visage de la jeune femme resta relativement neutre (ou froid selon les points de vue).

- Si le septième ciel consiste à voler dans le ciel étoilé alors cela sera avec plaisir. Madame.

Bon, peut-être que le "madame" était de trop, mais la main posée dans celle tendu et la légère révérence allaient parfaitement avec.

Avertissement

Ce RP mentionne du contenu sensible :

Erotisme, Sexe (violence), Violence (physique)

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Soirée entre inconnus

Saison 31 - Août - RP Libre - LA de Lucianno et d'Halsey durant tout le RP - LA d'Élius

Un sourire sur les lèvres, l'homme observe la directrice qui refuse de répondre à la question préférant un gage. Arrachant un "tsss" à l'homme, avant que des lèvres vertes s'écrasent sur les siennes. Un seul claquement et un levement de sourcil fait baisser la tête de Jackson qui accorde à son roi la décision du gage. Reculant de quelques pas, il observe l'ancien prisonnier enlever ce peignoir.

Un hoquet de surprise s'échappe quand les yeux se posent sur tant de cicatrices. Les mirettes brillent de tristesse de voir tant d'horreur sur un corps si beau. Soupirant, Jackson écoute le gage d'Élius qui ordonne à sa compère de créer plusieurs couples qui auront 7 minutes devant eux pour faire ce qui leurs plaisent. A ces paroles, quelques personnes s'approchèrent du petit groupe dont Lucianno qui s'accouda sur son grand-frère.

Très bonne idée. Mais je ne jouerais pas. Si quelqu'un veut mon corps, qu'il vienne me voir.

Jackson roula des yeux en soupirant puis se concentra pour écouter les paroles de Lorelaï. La mâchoire tombe. Le roi fou ira avec une mineure... Une mineure... Tandis que lui devra aller avec un garçon qu'il ne l'attire même pas ! La colère illumine les mirettes du magenmage, un verre d'alcool apparaît dans sa main. Son frère lui accorde un sourire. Rapidement, l'italien avale le liquide ambré qui lui brûle la gorge.

Il aurait pu être avec son roi, avec le Professeur, le blond si sexy ou encore la belle Lorelaï ! Il y avait tant de choix... Et il tombe sur... un gamin. Sûrement puceau et adorant la drogue... La colère monte encore un cran quand Askin part avec la jeune préféte des bleus. Essayant de se calmer, l'italien observe sa cousine prendre la main de la directrice. Donnant son verre à son frère, l'homme s'approche de Lorelaï et lui vole un baiser.

Vous avez bien jouer. Mais je risque de me venger.

Souriant sensuellement, ces yeux trahissent sa colère. Abandonnant le petit groupe, le propriétaire des lieux prend une bouteille de whisky et fait couler le liquide dans sa gorge. Cette action décuplie ces sentiments, sa colère, son envie. Marchant rapidement dans le couloir, les mirelles se posent sur le duo formé par la Directrice des bleus.

Dansant sur le tapis, Aysha a une bouteille d'alcool dans la main. Dans ces bras... Le jeune garçon ? Non... Il est pourtant dehors... Alors c'est le Roi ! Le Roi transformé. Se stoppant net, les mirettes se posent sur un trou dans le mur, l'elfe de maison y repose toute sanglottante. S'agenouillant à ces côtés, l'hôte demande des explications à l'être. Très rapidement l'histoire est raconté. Après une rapide consolation, l'être disparait dans un claquement de doigts.

Jackson bois quelques - plusieurs - gorgées du liquide ambré puis s'approche du duo, attrapant le bras du métamorphomage.

J'organise une fête. Je t'y invite. Et tu ose faire du mal à mon elfe ? Tu ose partir avec elle au lieu de moi ? Je t'ai attendu durant des mois ! Je suis l'hôte ! J'exige de t'avoir !

Jettant la bouteille par terre, l'italien empogien d'une main de fer le cou du serpentard, plaquant son corps contre le mur, il pose son genou contre son entrejambe et l'embrasse fougueusement.

Tu mérite d'être puni mon roi.

jawn

LA de Jackson durant tout le RP

Cela faisait quelques minutes, heures ? Aucune idée ! Mais j'étais là, dans la demeure de ma famille. Aux côtés de mon grand frère de quelques minutes, les deux héritiers de la grande famille Emerenziana. De nombreuses personnes de toutes horizons étaient présentes, je pensais que cela aller être une soirée sérieuse, tel que me l'avais demander mon frère. D'ailleurs je m'étais vêtu d'une façon presque sérieuse. Pantalon noir serré et chemise mettant en valeur mes muscles, avec le haut déboutonné. Mais apparemment je me suis trompé ! Dès la venu de ce... danseur, tout a basculé ! Jackson a totalement détourné le regard du mafieux, ce n'est pas moi qui vais m'en occuper hein !

Accoudé contre mon frère, je lui donne un verre d'alcool quand je vois son visage se décomposer. Je crois bien qu'il est attaché au petit danseur. Je récupère le verre quand il s'approche de la donneuse de gage pour l'embrasser. Oula... Je ne crois pas que cela vas lui plaire... Bon... Je fais quoi moi maintenant ? J'ai pas voulu jouer à ce stupide jeux et c'est bien dommage. Que je peut-être con parfois !

Mon regard est une nouvelle fois attiré par ma cousine, notre cousine Awanne. La jeune française. Une beauté ! Qu'elle magnifique jeune femme ! Le fait qu'elle soit de ma famille ne vas pas me déranger ! Nos ancêtres ne se sont pas dérangés et cela ne vas pas commencer maintenant. Je dépose le verre de Jackson sur le bar puis en rempli 3 provenant d'une vieille bouteille. Je m'approche ensuite de ma cousine et de la femme des gages.

Awanne. Madame. Je m'excuse du comportement de mon frère. Il semble être énormément attaché à ce jeune homme. Je suis sûr qu'il regrette ces paroles et son geste. Voici un verre rempli d'un vin datant de quelques centaines d'années. Pour m'excuser. Je n'ai pas voulu jouer à ce jeux mais... Peut-être que je pourrais m'incruster dans votre duo ? Je connais quelques endroits dans cette demeure qui sont... calmes pour jouer durant 7 minutes...

Je lâche un immense sourire charmeur et passe un bras autour de ma jeune cousine.