Bon, bon, bon. Moi j'avais éteint notre feu, je commençais à me geler et ce n'etait pas le brasier qu'Azael avait fait qui suffisait à me réchauffer. A la limite si les écureuils enflammes étaient venus par ici ca aurait fait des mini chauffages portatifs. Que que pas dit que l'odeur de barbecue improvisé me plaise vraiment.

Résultat : un sourire adressé à Elius suite à ses félicitations et j'attendais de pouvoir aller me réfugier sous ma couette avant de choper la mort. Bien entendu, espérer être libéré rapidement était exclu vu qu'un abruti avait décrété que faire valdinguer notre enseignante était plus intéressant. En intérieur je dis pas. Avec les chaises, les bureaux, y'avait moyen de déclencher une réaction en chaîne. Mais la... la seule personne que ca arrangeait c'etait Ulysse. Même pas besoin d'essayer de tendre l'oreille pour imaginer ce qu'il avait pu raconter à la Cara.

D'un sourire passablement amusé -ca faisait une distraction après tout- je regardais la miss passer ses nerfs sur Azael, le blond trouver injuste de ne pas avoir de gratitude et au loin la mine renfrognee de Marjorie..

La suite des événements, je les avais pas trop suivit. J'avais juste vu l'enseignante devant notre feu éteint, pas de bons points, pas de sourire, que dalle. Limite elle trouvait ca normal qu'on mette pas 10ans a essayer avec toutes les perturbations qu'il y'avait eu. Un banc et des ecureils en feu en gros ca devait perturber personne. La prof qui se faisait quasiment peloter par Ulysse puis rhabiller par la suite par Elius non plus...

Donc.. je faisais comme tout le monde "rien à fouttre de ce qui m'entourait", me lavais, prenais mes affaires, et saluait notre enseignante un peu trop occupée par le jeune serpent pour que j'arrive à estimer qu'elle m'avais entendu. "Merci bonne journee". Avant de partir je faisais un détour pour claquer un bisou sur la joue d'Ulysse et repartais directement vers le château. Sous peu c'etait les vacances de toute évidence..

[Départ d'Elhi -Merci pour le cours]

Arty a fait trois petits tours puis est revenu. Ce qu’il s’est passé entre temps, on ne le saura jamais. Classé secret défense. Il s’est promené, gaiement, sautillant dans les méandres couloiresques de Poudlard. Enjoy l’ellipse. Puis il est revenu, comme une petite fleur qui éclot au printemps, et qui sent bon, parce que sinon, enfin bref. Une belle fleur. Jaune et noir, ça existe réellement. Vraiment. Excepté que le trou dans la mémoire du Blaireautin a pour effet direct qu’il a l’impression d’atterrir dans un tout nouveau monde, présentement. Certains élèves s’en vont frôler la neige ailleurs, les petits joueurs sont déjà fatigués, tandis que d’autres continuent de s’exercer. Cette école était vraiment à la carte, on pouvait faire ce qu’on voulait, et après on s’étonnait de certains comportements. Le gamin hausse les épaules et se dirige vers le banc en feu, peut-être qu’il remarque la famille d’écureuils qu’il avait précédemment fait flamber, terrassée, mais il a comme l’impression que c’était dans une toute autre vie.

Il se dirige vers Azaël, en train de travailler ? Ses sourcils se lèvent. Il y a une fille à côté de lui. Non, vraiment, quelque chose d’étrange était en train de se tramer. Il croirait même entrapercevoir Élius en train d’habiller la professeure d’enchantements. Il se fige, ça lui fait bizarre. Pire qu’Aza en train d’être sérieux. Remontée flamboyante, son cœur comme les cadavres d’écureuils. Bon, en meilleur état tout de même, sinon le pauvre serait déjà à terre. Le Poufsouffle tchip insolemment, exaspération personnelle avant de se rapprocher vers le couple dérangeant. Points sur les hanches qui accompagnent le regard moralisateur. « C’est vraiment une attitude de professeure ça ? » Il juge, évidemment, puis si ça avait été quelqu’un d’autre ça lui serait passé au-dessus, complètement. Mais il ne pouvait pas laisser son coup de cœur voleter ainsi, surtout autour de quelqu’un si … Il la dévisage, pour la première fois peut-être. Ennuyante, inutile, agaçante, enquiquinante, bref, sans aucune pointe d’intérêt. L’autre n’est pas loin, un simple coup d’œil « Et c’est le genre que tu kiffes toi ? » Il soupire, vexé, absolument probablement. Sa main qui volète devant son visage, mine de dire, en fait j’fais semblant de m’en fiche, vous pouvez toujours causer, avant de se diriger vers le merveilleux banc enflammé.

L’œuvre d’Aza. Puis aussi de sa nouvelle camarade préférée, celle qui l’avait remplacé, sans pitié. Déjà, il la hait. Alors est-ce que le rapprochement dont il venait d’être témoin en était responsable ? Clairement oui. Mais peu importe. Il va pour la pousser loin du Serpentard, de son pote à lui.
Et parce que la vie lui en voulait, stupide karma, c’était ça de cramer des écureuils innocents. Le voici lui même torche brillante. D’abord, il lève les yeux au ciel. Pourquoi ce genre de choses n’arrivait qu’à lui ? Il soupire avant de s’inquiéter. Quand même, c’est qu’il prenait feu. « Mazette j’prends feu ! » Comme une impression de déjà-vu. Alors il plonge. Il n’est plus à ça près dorénavant, roule boule dans la neige avec des cris à en ressusciter cette fameuse famille d’écureuils.  
Il se vengerait. Une fois qu'il sera tout mouillé et éteint.

Le membre 'Lorelaï Peony' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

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'Dé 4 faces' :

Tu soutiens le regard de de Lanxorre sans ciller, et surtout sans te départir de ton sourire insolent. Qui s'agrandit en la voyant se détourner en t'ordonnant d'éteindre le feu. Tu l'as foutue sur les nerfs, et t'es très fier de toi. C'est ça, de jouer avec toi. Y'a de grands risques de perdre. Et oui, tu es persuadé d'avoir gagné cette confrontation. Tu n'as pas cédé. C'est elle qui est partie. Un point pour toi. Mais bien évidemment, les choses ne peuvent pas en rester là. Parce que simplement se barrer, elle pouvait pas. Il a fallu qu'elle te colle Cordell sur le dos avant. Regard noir vers la bleue et bronze lorsqu'elle ose t'adresser la parole.

A croire qu'elle ne se souvient de rien. Vous avez une histoire inachevée. Elle a un affront à te payer. Et cours ou pas, ça te paraît être la situation rêvée. Mais tu la laisses faire son exercice avant. Parce que le banc commence à brûler sacrément. Les flammes montent de plus en plus haut et la chaleur dégagée et toujours plus forte. A croire que vous allez finir par cuire au milieu de la neige fondue. Sauf qu'éteindre trois flammes, c'est trop demandé à Cordell. Elle lance le sort de la bourrasque au moment même où Arty revient. Et le voilà qui reçoit des étincelles et se met à prendre feu, exactement comme la famille d'écureuils de tout à l'heure.

Tu cours vers ton pote, prêt à l'aider. Mais il s'éteint tout seul en se roulant dans la neige. Pas bête le petit, comme quoi, des fois il réfléchit. Tu t'assures qu'il va bien d'un regard. Qu'il n'y a rien de grave, que la situation est maîtrisée. Et tu te tournes vers Cordell. Lentement. En essayant de contenir la colère qui monte à nouveau en toi. T'as déjà trop pris sur toi pour aujourd'hui, c'est visiblement la goutte d'eau qui fait déborder le vase. Enfin l'étincelle qui met le feu aux poudres plutôt. Lorsque tu plantes tes yeux dans les siens, ton regard est empli d'une colère froide. Incontrôlable. Ta conscience a sans doute pris des vacances à cet instant.

- Tu vas le payer.


Ton monocorde. Tu énonces un fait. Coup d'oeil vers Elius. Tu l'as bien vu, se rapprocher de la prof tout à l'heure. Il a l'air de l'apprécier plus que nécessaire. Alors autant que ça te serve et que le morveux s'occupe de la distraire. Et ta baguette se lève dans la foulée. Elle a failli cramé Arty. Elle mérite une punition. Tu vas la brûler à ton tour. Et elle ne pourra pas s'éteindre dans la neige. Elle s'en souviendra. Elle doit hurler de douleur. Elle doit comprendre qu'on ne joue pas avec la vie de ton pote. Surtout pas quand t'es dans les parages. En une demie-seconde, le #Fitilla est lancé. A pleine puissance. Et il la frappe de plein fouet. Il n'y a plus qu'à regarder le spectacle qu'offre son corps sous la brûlure ressentie. Et à profiter de ses cris.

Une fois encore, le sortilège lancé par Jade fut une totale réussite. Et à nouveau, sa surprise n'en fut que plus grande encore. Euh, c'était vraiment elle qui faisait tout ça ? Qui parvenait à faire ce qu'elle voulait sans galérer ? Il y avait un soucis là, forcément. Ça ne lui arrivait jamais, comprenez qu'elle soit surprise. Bouche-bée, la préfète observait ce qu'il restait du feu, des braises à peine incandescentes, soufflées par la force du vent.

D'accord, il s'agissait là de sorts relativement simples, qu'elle avait déjà pu plus ou moins croiser au cours de ses études, mais quand même. Quand les choses n'allaient vraiment pas dans son esprit, elle était parfaitement capable de louper un Lumos. Et là, à un cours, avec des idiots qui se prennent des animaux de zoo et au beau milieu de la neige, elle arrivait à faire ce qu'elle voulait ? Incompréhension totale, quelque chose ne tournait vraiment pas rond chez elle. Regardant sa baguette comme si celle-ci l'avait insultée, la blondinette finit par hausser les épaules. Boh, elle n'allait pas se plaindre d'avoir réussit quand même. C'était juste totalement incompréhensible mais pour une fois, elle ferait avec hein. Au fil des secondes, la fierté envahit le coeur de l'adolescente. Pour les autres c'était peut-être banal, mais pour elle, tout réussir signifiait beaucoup. Un sourire indéfectible était né sur ses lèvres et ne semblait pas pouvoir s'en détacher.

- Bravo Jade! Tu as vraiment bien réussi ces deux sortilèges. Ahah moi j’ai tendance à devoir me reprendre et travailler fort pour maîtriser parfaitement les choses…
- Merci Alicia... mais nous sommes dans le même cas, je dois travailler beaucoup aussi. Et avoir réussit aussi bien est... plutôt inédit.

Seul hic dans l'histoire, Alicia n'avait pas eu l'occasion de s'entrainer, elle. Et ça, ça la dérangeait quand même. La pauvre ne pouvait pas s'entrainer par sa faute. Si elle reproduisait un feu à nouveau, ça ne devrait pas déranger l'enseignante n'est-ce pas ? D'ailleurs, au moment même où l'Italienne se tourna, Miss De Lanxorre arrivait.

- Mademoiselle, vos performances à ce cours sont impressionnantes. J’accorde 5 points supplémentaires à votre Maison pour ce sans faute.

Pourpre aux joues, d'un seul coup. Alors là, elle ne pouvait pas être plus comblée. La réussite était une chose particulièrement importante pour elle et ce cours était jusqu'alors un petit puits de bonheur. Pour elle, en tout cas. Alors pour continuer sur ce bon chemin, la blondinette fit sa demande, bien vite approuvée par la professeure. Ouiiiii ! Jade était tellement joyeuse qu'elle aurait pu en sautiller sur place, remerciant l'adulte avec un grand sourire avant de revenir vers Alicia.

- Allez à toi, on ne va pas partir comme ça tout de même !

Et après s'être concentrée à nouveau, la blondinette réussit à refaire un feu. La tâche était bien moins difficile en plus, puisque le bois n'était plus humide et même encore brûlant. N'empêche que ça faisait vraiment plaisir et que Jade n'avait qu'une envie: que sa camarade soit également récompensée. Alors, elle l'observa faire avec attention. Malheureusement, malgré la bonne volonté d'Alicia, son sort ne produisit aucun effet. La moue de déception qu'elle faisait rappelait sans peine à l'Italienne ce qu'elle ressentait lorsqu'elle-même échouait. Et c'était bien plus courant que ce cours ne le faisait croire. Alors, elle posa sa main sur l'épaule d'Alicia.

- Ne t'en fais pas, tu vas y arriver. Concentre toi, fais le vide, ignore le reste. Ne pense à rien d'autre qu'au sort que tu veux lancer, à ce que tu veux qu'il fasse. Quitte à imaginer que ça se produit, que le feu disparait sous l'effleurement du souffle.

C'était ce qu'elle faisait elle. Avec plus ou moins de réussite, mais elle espérait tout de même que cela aiderait la Poufsouffle à réussir. Après tout, elle était douée elle aussi, elle avait les capacités pour faire ce genre de sort et Jade n'avait aucun doute quant à ses progrès. Alors, elle lui sourit, rassurante. Prête à la soutenir. Malheureusement, si la jeune fille avait réussit à faire abstraction des autres jusqu'alors, ce ne fut pas le cas cette fois-ci. Pour ne pas changer, Artemis était en train d'hurler comme un goret et était... en feu. Non mais vraiment hein, il cramait le gamin. Levant un sourcil, Jade soupira ensuite. Non mais qu'il était con, c'était pas possible autrement clairement. Bien sûr sa nounou ne tarda pas à se ramener, bien que le gamin ait réussit à se rouler dans la neige pour éteindre les flammes. Pour une fois qu'il était pas trop bête...

Les choses auraient pu en rester là, mais l'expression d'Azaël donna des frissons d'horreur à Jade. Il semblait furieux, plein de haine contre... Olivia ? Pourquoi ? Comme elle n'avait pas suivit les évènements précédents, la préfète ne comprit aucunement ce déferlement de haine... et encore moins ce qui se produisit ensuite. En une demi-seconde, un sort fut lancé et frappa la Serdaigle de plein fouet, coupant par la même la respiration de la Poufsouffle. Non mais...

- Mais t'es totalement TIMBRÉ ma parole !

Poings serrés et regard incandescent en direction du Serpentard alors que Jade rejoignait Olivia en courant. Bon sang mais il avait perdu la tête ou quoi ? Elle avait très bien entendu le nom du sort lancé et il s'exposait à de graves conséquences. Foutre le bazar en cours était une chose, blesser une élève en était une autre. Regardant Olivia sans savoir quoi faire, la préfète en tremblait de rage alors qu'elle ne

- Qu'est-ce qui te prends au juste, t'as aucune conscience ou quoi ?

Appel à l'aide du regard vers la professeure, Jade craignait que l'autre idiot n'en reste pas là et qu'il fasse pire encore. Le cours de Métamorphose l'avait déjà persuadée qu'il était temps qu'elle agisse, mais cette fois, c'était bien au delà de ce qu'elle pensait. Ces deux là étaient tout simplement fous et n'avaient rien à faire dans une école, de véritables dangers publics.

Malgré la double pression exercée par sa génitrice et le regard sans compassion de la verdoyante académicienne, il parvint à jeter son sort, avec panache qui plus est. Cara de Lanxorre ne tarit pas d'éloge et le gratifia même de 5 points pour sa Maison. Il n'en croyait ni ses yeux ni ses oreilles. Voilà que la distinguée professeure, dont l'armure se brisait manifestement pour lui, tombait en évanouissement devant son talent. Dans vos rêves, ô Fils... Qu'il ne savait si grand d'ailleurs. Il devait bien avoir une bonne dose de chance derrière tout ça.  A moins qu'un mauvais blagueur n'avait lancé coup sur coup les sorts derrière son dos, à son entière insu. Il se détourna, cherchant un éventuel coupable mais force lui fût de constater que chacun paraissait suffisamment occupé pour penser à l'importuner. Son regard revint vers la Dame, ceinture noire de Kung-fu quand il s'agissait des bonhommes de neige. Il en perdit immédiatement son verbage. Émanait-il d'elle constamment et naturellement un sortilège de Confusion ?

Il s’apprêtait à s'agenouiller devant sa Muse et lui prêter une allégeance à perpétuité mais Ally, sentant venir la chose, le tira vigoureusement par la manche. Elle la gratifia d'un aimable sourire et lui tint à peu près ce langage (oui, le jeune aiglon n'était pas sûr de ce qu'il entendit) :

- « Merci Professeure ! Nous vous souhaitons de bonnes vacances également ! », et tirant un peu plus énergiquement sur l'habit de Guéthenoc, « Allez, viens, je t'offre une bièraubeurre pour t'en remettre, abruti ! ».

Éperdu et tiraillé par des sentiments nouveaux, il se laissa tirer par sa consœur, saluant d'une main molle le nouveau sujet de son admiration. Était-ce un mince filet de bave que l'on pouvait apercevoir à la commissures de ses lèvres? Mais non voyons...

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— Vous me donnerez mon cadeau de Noël après les vacances, c'est pas grave. Réplique ponctuée par l'énorme agitation dans mon dos, que je ne peux décidément plus couvrir. La préfète des jaunes accourt déjà, ajoutant une confusion idéale pour brouiller la piste. Vous voici transformée en enquêtrice, Madame, bonne chance ; le criminel est un professionnel.

Tu regardes Cordell sans la moindre émotion sur le visage. Tu te contentes d'observer les effets de ton sortilège. Tu ne pensais pas qu'il serait si puissant. Qu'il couvrirait tellement de surface. Qu'il renverrait autant de douleur. Mais t'es satisfait. Parce qu'elle l'a mérité. Elle a failli cramer Arty, c'est un juste retour des choses que tu lui envoies. Bien sûr, tout le monde n'est pas de ton avis. La préfète Poufsouffle et la première aux côtés de la blessée. Et elle t'engueule. Te demande si t'as une conscience. Tu hausses les épaules. Elle est absente pour le moment, veuillez rappeler plus tard.

Et tandis que tu allais te détourner de la scène puisque Cordell a perdu connaissance et donc que tout cela n'a plus le moindre intérêt à tes yeux, de Lanxorre semble soudain se réveiller. Le morveux a fait ce qu'il a pu. Et voilà qu'une nouvelle salve d'insultes s'envole vers toi. Entre timbré, déséquilibré et merdeux, t'en prends pour ton grade. Mais tout ça te glisse dessus. Elle ne te veut plus à ses cours ? Tant mieux. De toute façon, t'en as assez qu'on te fasse t'exercer avec des sortilèges que tu connais depuis des années. A ce rythme là, t'apprendras largement plus tout seul de ton côté.

Tandis qu'elle te balance tout ça, tu te contentes de la regarder avec un je m'en foutisme éloquent. Nouveau haussement d'épaules tandis que son visage, déformé par la colère, te semble légèrement différent de d'habitude. Mais vu que tu l'as jamais vraiment regardée, t'es pas bien sûr. Faudrait demander au morveux, il pourrait sans doute remarquer ce genre de détail vu la relation ultra rapprochée qu'il semble avoir établie avec elle. Tu te détournes de tout cela. Du fait que Cordell soit amenée à l'infirmerie après avoir reçu les premiers soins. Elle aura sans doute compris la leçon. On ne déconne pas avec toi ou Arty sans en payer les conséquences.

Tu te diriges enfin vers ton pote, pour l'aider à se relever. Cette fois, tu t'assures qu'il va vraiment bien. Qu'il n'a rien, aucune trace de ce que l'autre lui a fait. Parce que le fait que tu t'attaques à Cordell fait de toi un grand méchant dans l'histoire. Personne ne semble avoir remarqué qu'elle s'en est pris à Arty en premier lieu en le faisant presque flamber vivant. Qu'on vienne pas te dire que le favoritisme n'existe pas après ça. Et puis vous vous barrez de ce cours sans un regard en arrière.

Départ Azarty, merci pour le cours !