Layna revenait de ça visite du parc, il faut dire qu'elle vient seulement d'arriver autant en profiter surtout qu'il faisait beau aujourd'hui. Elle se dirigea vers sa salle commune pour pouvoir lire un peu avant de dormir. En arrivant a celle-ci, elle vit plusieurs élèves entrains de se parler, rigolé ensemble. Ce sentante mise a l'écart, Layna se dirigea vers un canapé et s'avachit dessus. Elle sortit un livre de son sac et commença a lire. Elle était plus dans ses pensées que dans l'histoire, d'ailleurs, elle ne savait pas de quoi son livre parlé. Elle finit par refermer son livre et se demanda que faisait c'est parent en ce moment dans le manoir, étaient-ils entrain de ce disputé, ... Toutes ses questions lui donnèrent un mal de tête et elle décida de penser a autre chose qu'à, c'est parent.

Wilum courait dans les couloirs. Oui j'ai bien dit que "Wilum"courait dans les couloirs.
Chose qui, à l'ordinaire, est impensable pour certains et pour le serpentard lui même.
Celui-ci se surprit à penser que cela était tout à fait normal, bien que l'idée le rendait peu euphorique.

Sa respiration était saccadée.
Il arriva devant la salle commune des Serpent. Il énonça le mot qu'il a bien du mal à faire rentrer dans sa petite tête.
Il soupira. Se reprenant peu à peu à cette course effrénée. On aurait presque dit que sa vie en dépendait.

Le jeune homme scrutait la salle commune. Passant de la cheminé où le feu crépitait à l'ensemble des occupants du lieu. "J'espère qu'il se trouve ici. Sinon je me tu...
Il s'approcha sur le grand canapé où était assise l'une des leurs. Il ne la calcula même pas.
Wilum connaissait la raison qu'il l'avait poussé à déambuler dans presque tout Poudlard comme un dératé.

Celui-ci regarda sous le canapé, puis tout autour.
Et là, ce fut un feu d'artifice qui embrasait tout le corps de Kyle.
Il était là. Caché loin des regards indiscrets. Son trésor.
Il le prit. Une folle envie de l'embrasser le prit, ce qu'il ne fit pas. Un serpentard se doit d'avoir une certaine tenue n'est-ce pas...
Puis il s'assit sur le canapé en maudissant par ailleurs sa mémoire de... cracmoll.

RP avec Inis Solem



J'vais pas bien. Je sais pas pourquoi, ni comment, ni pour et depuis combien de temps. Je sais que je ne vais pas bien, dans mon moi tout profond. Un truc qui dérange, frustre, fait enrager, sans pour autant faire trop mal, un truc qui te permet de vivre quand tu pense à autre chose. Mais chaque moment passé seule, chaque instant à me perdre dans mes pensées, me rappelle que je ne vais pas bien. Et si cela perdure, colère, frustration et douleur passées, vient le vide. Le vide profond, terrifiant, le rien, dans lequel je sais qu'il ne sert pas d'essayer de s'extraire. Alors je reste dans ce rien, sans plus me démener, en sachant que quelque chose viendrait m'en sortir. Il n'est pas loin de onze heures, et la salle commune est, une fois n'est pas coutume, presque vide. Des murmures étouffés me parviennent, certainement des couples qui se bécotent, des élèves révisant pour un contrôle, des oiseaux de nuits comme il y en a beaucoup. De toute façon je m'en fiche. J'ai déplacé un canapé de sorte à ce qu'il se trouve en face d'une fenêtre donnant sur les profondeurs du lac, pas trop loin de l'entrée, mais le plus éloigné possible des gens. Il fait sombre, et particulièrement dans mon coin, où seule la lugubre lueur d'une bougie éclair faiblement mes traits tirés. Je suis prostrée, les genoux ramenés contre moi, le menton reposant dessus. Je suis déjà pas bien grande, et dans cette position, on ne devait même pas m'apercevoir derrière le haut dossier du canapé. Le regard fixé sur les eaux sombres sans vraiment y faire attention, je me sens sombrer dans ce vide si étrange. Je donnerais beaucoup pour dormir, pouvoir me prélasser dans un sommeil tranquille, sans rêve, sans vide non plus, seulement pouvoir ne penser à rien pendant quelques heures. Je n'y arrive pas. C'est pourquoi je sais que je ne vais pas bien. J'aimerais tant que quelque chose se passe, juste là, quelque chose qui me sortirais de cette torpeur, de cette paralysie éveillée, qui occuperait mon esprit, qui me ferait quitter ce canapé pour gagner mon lit. Et puis j'arrête de penser.

Je ne pourrais dire si je me suis endormie ou si je me suis trop enfoncée dans mon vide, mais ces quelques instants là, je ne m'en souviens plus. Je sais seulement qu'après ces instants, ma prière s'exauça. La porte d'entrée s'ouvrit et se referma avec fracas, me sortant d'affaire un moment. Je devais sauter sur l'occasion. Je me grandis, jetant un coup d'oeil par dessus le dossier et aperçu Inis, apparemment peu à même d'engager une conversation de courtoisie. Elle semblait prête à tuer un tigre à mains nues. Alors que j'étudiais ma position, hésitant entre attendre qu'elle soit partie pour monter me coucher et préférer me lever tout de suite, histoire de pas perdre cette chance, son regard croisa le mien.

La stupidité des élèves ne semblait pas avoir de limites. Inis aurait volontiers arraché chaque membre et enfoncé ses longs doigts fins dans les yeux de l'imbécile qui avait osé lui lancer une boule de neige dans le parc du château. Pour qui se prenaient-ils, ces petits moins-que-rien ? De quel droit se permettaient-ils de tourner la Pragoise en ridicule ? Évidemment, le coupable n'avait pas montré le bout de son nez, preuve qu'il avait tout de même un minimum de jugeote : c'était une chose de s'attaquer à la Serpentard par derrière et à visage caché, mais c'en était une autre (bien plus dangereuse) de le faire à visage découvert ! Sa vengeance aurait été disproportionnée et elle aurait sans doute était renvoyée, une fois de plus, de son école de sorcellerie du moment. Se conjurant elle-même de retrouver un semblant de calme alors qu'elle pénétrait dans la salle commune aux murs glacés de sa maison Poudlarienne, le corps encore traversé de tremblements haineux et les yeux emplis d'une colère froide, Inis rencontra le regard gris aux lueurs dorées de Shela, sa condisciple rencontrée il y a quelques temps dans le hall du château. Elle semblait hésiter entre rester là, immobile, ou bien entrer en mouvement et quitter la pièce au plus vite. Il aurait été plus sage d'opter pour la deuxième option, d'après Inis... si cette dernière avait été toujours aussi hargneuse que quelques minutes auparavant. Néanmoins, elle s'était légèrement calmée. Aussi, elle observa en silence la blondinette pendant une poignée de secondes, oscillant entre déverser sa rage contre quelqu'un qui ne lui avait rien fait, et tenter d'établir la conversation, dans le but d'oublier sa petite mésaventure.

Finalement, Inis sortit sa baguette de sous sa cape et l'orienta vers l'antre froide de la cheminée monumentale, devant les fauteuils. Elle murmura "#Incendio" et des flammes réchauffèrent instantanément l'atmosphère lugubre de la salle commune. S'avançant vers un fauteuil à l'apparence confortable (plus que les autres, semblait-il), Inis s'y laissa tomber et croisa ses bras sur sa poitrine, les sourcils froncés et l'air renfrogné.

- Tu allais partir ? lâcha-t-elle d'une voix sinistre à l'attention de Shela.

HRPG : petite note, je suis désormais blonde x)


L'échange de regard ne dura qu'un temps, et pourtant me sembla bien plus long. Je n'avais pas peur d'elle. Seulement elle venait de gâcher ma chance de m'enfuir en ayant croisé mes yeux. Me rembrunissant, je repris ma position initiale, bras autour de mes genoux. Mais Inis semblait être en train de rattraper le coup : après avoir ravivé les flammes de la cheminée, elle se choisit un fauteuil non loin de moi et s'y affala, l'air sombre.

- Tu allais partir ?

C'était servit sur un plateau d'argent, je ne pouvais refuser son offre : en parlant avec elle, je m'évitais une discussion avec moi-même.

- Non.

Le crépitement des flammes invitait à la détente. Je devais me forcer à prolonger mes phrases, ou je perdrais ce précieux auditoire. Ma réponse n'était qu'à moitié franche, mais je m'en fichais. Il fallait à tout prix continuer la discussion, c'est tout ce qui importait, pour le moment. Ma curiosité avait été piquée, mais il me semblait judicieux de ne pas aller à ce genre de conversations houleuses en me mêlant d'affaires qui ne me concernaient certainement pas. Je me sentais bien trop vulnérable, en position fœtale, serrée dans le coin de mon canap', face à cette Serpent énervée qui, en plus, s'est choisie une place de reine - dites moi pourquoi son fauteuil est justement le plus haut et grand de toute cette salle ? J'étais pas vraiment d'humeur à me soucier de mon image, mais je souhaitais encore moins paraître fragile.

- En fait, j'étais en train de m'installer. J'ai entendu quelqu'un arriver - quel euphémisme - et je me suis redressée.

Quel mensonge pourri. Si mal façonné, si mal raconté... Mais peu importe. Je parle, elle m'écoute. Je pense à quelque chose. Mais il me faut un sujet. Pour contrer ma bourbe, pour avancer dans la discussion, pour forcer mon cerveau à réfléchir. Pas parler des cours. Ni du passé d'une d'entre nous. Ni de ce qu'on a fait aujourd'hui... Trouver quelque chose, une idée, une bribe de trucs à raconter, presque n'importe quoi, tant que ça alimente nos dires, tant que ça m'occupe l'esprit, jusqu'à tomber dans un sujet assez intéressant pour ne plus devoir penser à penser. En vain. J'espérais seulement qu'Inis aurait la brillante idée de ne pas rebondir su mon mensonge, pour passer à autre chose, un truc qui lui passerait par la tête, une toute petite idée sur laquelle je pourrais méditer.

La blonde lui répondit mais Inis n'entendit même pas ses paroles. Elle sentit que sa condisciple se rasseyait, avant de se murer à nouveau dans le silence. Pourquoi la Pragoise s'était-elle adressée à elle, déjà ? Bornée dans sa vengeance inassouvie, la sombre jeune fille ruminait toujours intérieurement contre son humiliation publique. Où avait-elle atterri ?! Cette école regorgeait visiblement de piètres sorciers qui n'avaient ni ambition ni grandeur, c'était évident ! Diverses idées de torture à infliger aux impudents qui avaient osé s'en prendre à elle par derrière s'immiscèrent dans son esprit. Une volée de flèches, non mortelles mais drôlement douloureuses, plantées méthodiquement dans leurs poignets, leurs chevilles, leurs cuisses, leurs épaules... Des débris de verre fichés dans leurs yeux ternes. Des oreilles découpées par un Diffindo lancé avec précision. Un maléfice de Videntrailles bien placé. Des chaînes à aiguilles entourées autour de leur cou dégoulinant de sang pourpre. Puis son maléfice préféré. Le Sortilège Doloris. Une bonne et saine douleur qui les remettrait tranquillement à leur place. Une souffrance qui durerait le temps qu'il faut, ni plus, ni moins. Juste assez pour leur faire ravaler leur témérité déraisonnable. Et pour finir, un magnifique Imperium qui les obligerait à se mettre à genoux pour demander son pardon... Qu'elle leur accorderait avec un Sortilège de Mort parfaitement exécuté, sans tâche, et indétectable à souhait.

Oui mais... Ce château de malheur interdisait aux élèves d'utiliser toute forme de torture, et plus encore les trois impardonnables. Quelle bêtise manifeste ! Comment s'y prenaient les professeurs pour faire régner l'ordre dans leurs cours s'ils n'avaient même pas le moindre moyen de pression sur leurs étudiants ?!

Quoi qu'il en soit, il valait mieux pour les fourbes qui s'en étaient pris à elle que leurs noms ne remontent jamais à ses oreilles. Même si s'attaquer à un élève de manière douloureuse était proscrit, Inis trouverait une alternative pour leur infliger la correction de leur vie... sans se faire prendre.

De retour à la réalité, la Pragoise se souvint de la présence proche de Shela. Elle se redressa, décroisa ses bras sur sa poitrine et tourna lentement son beau visage de glace vers la blonde. Une idée lui était soudain venue. Elle l'observa un moment dans un silence calculateur et jugea que la jeune fille serait, peut-être, apte à satisfaire ses ambitions.

- Que dirais-tu d'aller faire un tour dans le parc, histoire de se dégourdir les jambes et de se défouler sur quelque chose qui le mérite ?

Bien sûr, Inis n'avait pas besoin de Shela pour cela, mais un peu de compagnie pourrait lui faire le plus grand bien. Pour une fois. En outre, cela lui permettrait de se rendre compte des capacités magiques de la Serpentard...

- Que dirais-tu d'aller faire un tour dans le parc, histoire de se dégourdir les jambes et de se défouler sur quelque chose qui le mérite ?

Première pensée : elle n'avait absolument rien dit sur mes déblatérations. Tant mieux. Je portais ensuite attention au sens concret de sa phrase. Un tour dans le parc ? Je n'avais rien contre cela, étant souvent dehors de nuit. Mais se défouler sur quelque chose qui le mérite ? Avait-elle attaché ses ennemis dans la Forêt ? J'étais certainement loin de la vérité, mais je cherchais une raison valable à cette sortie inattendue. Sa proposition était étrange. Infondée. En réfléchissant, je me dis qu'elle pouvait avoir besoin d'une distraction, de quelque chose qui l'aiderait pour je ne sais quoi comme ce quelque chose m'oblige à faire tourner mes méninges. Ca m'allait. Ma méfiance était trop profondément endormie pour m'avertir d'un danger, inexistant ou non, et je n'allais pas refuser cette offre d'échappatoire - et ainsi éviter de passer pour une lâche.

- Je te suis, laisse moi une minute.

Je me levais, étouffa une grimace de douleur en soulevant mes membres endoloris et me dirigeais vers ma chambre. C'est dans un noir quasi total que je me mis en quête de mes bottes et de ma veste fourrée. On est en plein hiver, tout de même. Avant de sortir, je m'arrangeais les cheveux de quelques coups de brosse, histoire de pas avoir l'air d'un zombie, bien que cela n'eut absolument aucun sens. Personne ne nous verrait. Je n'oubliais pas mes baguettes, une dans chaque manche : ma baguette nouvellement acquise frémis à mon contact. Vérifiant leur invisibilité aux yeux des autres, je sortis sans bruit, retrouvant Inis près de la porte.

Dehors, l'air était très doux, et non glacé comme je l'imaginais. Un silence tranquille, troublé parfois par quelque son venant du château ou du bois, m'apaisa. Ce n'était pas un silence grave, pas de ceux qui précèdent les combats, ni pesant, de ceux qui cachent mal une présence ennemie. Je me demandais ce que la Serpent souhaitait faire ici. Mais c'était une curiosité toute simple, sans besoin de réponse. J'étais surtout contente d'être loin de la salle commune, loin de la civilisation qui me portait sur les nerfs. Nous nous dirigions sans but, mais la Forêt se rapprochait inexorablement. Autant vous dire que pour se défouler, les bêbêtes qui l'habitent sont les mieux placées. Je décidais de garder ce cap, et Inis ne sembla pas s'en formaliser.

- Tu as une idée précise de ce que tu veux ?

Parlais-je d'une proie potentielle, d'un endroit où aller, d'un but qu'elle cherchait à atteindre ? Peut importait. Tant qu'elle me donnait quelque chose à faire pour éveiller mes sens.

Allan avait passait une bonne journée et il voulait maintenant se reposer, et quoi de mieux que sa salle commune sur les canapés ? Il n'avait jamais vraiment beaucoup était dans celle ci, il passait le plus clair de son temps avec Helena une serpentard de un ans plus jeune et Andy son petit copain à Griffondor qui était en septième année. Il avait toujours une légère peur en lui du fait que Andy le quitte mais il avait confiance en son griffon.

En ce moment il était donc assit sur un des canapé de la salle commune avec un livre de la bibliothèque sur ses cuisses, il lisait la même page depuis plusieurs minutes déjà étant longuement dans ses pensées. Ses yeux se fermèrent peu a peu jusqu'à s'endormir la tête légèrement penché.

Julie revenait de sa douche, après avoir longuement couru dans le parc, et autour du lac. Elle était rentrée se doucher, et le doux parfum qui se dégageait maintenant de son corps et de ses cheveux était envoutant. Elle se dirigea donc dans la salle commune, espérant se retrouver enfin seule, et pouvoir se détendre dans les canapés moelleux.
Sa journée avait été bien remplie, elle avait pu faire tout ce qu'elle avait prévu, et un petit sourire satisfait s'affichait sur son doux visage. Ses cheveux posés lourdement sur son épaule, elle était tout simplement naturelle, et ce tout petit sourire la rendait irrésistible.
Elle pensa alors à son petit frère Ilan. C'était son anniversaire aujourd'hui. Elle lui avait envoyé un hibou dans la matinée, avec un petit paquet emballé dans du papier kraft. Un livre, choisi avec soin. Elle avait également envoyé une partition de piano, espérant qu'il travaillait avec intelligence.

Rentrant dans la grande salle commune, elle vit que les canapés n'étaient pas libres. Un jeune homme était déjà installé confortablement.
Soupirant à l'idée de devoir discuter, elle s'approcha du jeune homme, et le voyant somnoler, elle s'installa sur le canapé de droite, et se surprit à sourire. Elle pencha sa tête sur le dossier du canapé, et rapprocha ses jambes vers son torse.

Le corps du vert et argent se tendit. Il sentait la présence d'une personne non loin de lui. Mais qui avait bien pu le dérangé alors qu'il dormait paisiblement ? Puis peu à peu ses souvenirs revinrent et il se rappela qu'il était dans la salle commune et que donc c'était de sa faute et que la personne n'avait rien a voir la dedans. Ses yeux papillonnèrent et s'étira faisant tomber son livre à terre qu'il s'empressa de ramasser. Une effluve de parfum lui fit remonté la tête vers une demoiselle, il pouvait voir qu'elle souriait malgré le fait que ses yeux soient encore embués de sommeil. La demoiselle lui disait quelque chose mais il ne savait pas quoi... Son cerveau tournait a plein régime malgré sa lenteur de se réveille forcé.

Il la regarda encore quelques instants puis se remit a sa lecture qui l'endormait. Pourtant ce n'était qu'un simplz livre qur l'Histoire... HISTOIRE !! Voilà d'où il la connaissait, Andy les avaient présenté, et bien il semblerait que elle l'avait oublié. Au moins ce n'était pas plus mal, il n'avait pas du tout aimé ce petit quelque chose qu'il y avait entre les deux et il ne savait pas ce que c'était, ce qui lz mettait en rogne. Il n'avait rien dit a Andy car il ne voulait pas faire une crise de jalousie mais bon... Cette fille ne lui plaisait pas et plus loin il se portait d'elle mieux il serait.

Il se plonga donc de nouveau dans son livre priant qu'elle l'oublie et ne lui adresse pas la parole.

Perdue dans ses pensées, Julie n'avait pas remarqué le regard embrumé que venait de lui jeter le Serpentard assoupi dans les canapés. Que pouvait bien faire Ilan? La jeune femme ne l'avait pas vu depuis plusieurs mois, et les seuls hiboux qu'il lui avait envoyé n'avait pas encore reçu de réponse. C'est vrai que Julie aurait pu trouver le temps de lui écrire quelques mots, mais elle s'en excusait suffisamment platement avec ce hibou envoyé un peu plus tôt dans la journée.

Reportant son regard sur le jeune homme assoupi, Julie ne put s'empêcher de dévisager celui qui avait séduit Andy. Qu'est-ce qui plaisait tant à son ex chez cet homme? Il ne semblait pas très grand de taille. Et il ne semblait pas très gentil, plutôt très froid. En même temps, Julie paraissait glaciale à tout inconnu osant la regarder ou lui sourire tout simplement. Détaillant le jeune Serpentard de bas en haut, Julie s'arrêta sur un début de tatouage naissant. Elle stoppa ensuite sur la musculature peu développé du vert et argent.

'En fait, c'est tout l'opposé de moi.' pensa silencieusement Julie.

Elle ne savait pourquoi, mais elle ne pouvait s'empêcher de se comparer au jeune homme. Le fait de savoir qu'Andy avait succombé à un garçon ne l'avait pas gêné, mais de se retrouver avec lui était comme si on la mettait au défi d'affronter la réalité.
Julie décida donc de partir ailleurs, avant que le dialogue ne se lance et explose.

Elle déplia délicatement ses jambes, s'étira longuement, et se releva d'une façon majestueuse. Sans bruit, elle s'approcha des fenêtres et en observa l'obscurité naissante sur l'étendue du parc et du lac.

Allan n'avait pas du tout apprécier les regards scrutateur de la demoiselle sur sa personne, comme si elle le prenait de haut et cela lui déplus fortement, il grinça des dents et s'empecha de cracher son mécontentement à cette pimbêche. Il se demandant comment Andy avait fait pour être attirer par elle, elle était trop masculine, mais où était le port gracieux des jeune fille ? Sa mère était très gracieuse et venait d'Angleterre, elle lui avait dit que tout jeune fille de bonne famille recevait une éducation des plus formel, mais il semblerait que celle qui ce trouvait devant lui ne l'avait pas reçu. Sont corps était trop musclé ce qui en devenait disgracieux pour la demoiselle, elle était grande aussi, trop grande, se dit Allan mais ça c'était de mauvaise fois car lui était vraiment petit, il aimait être petit quand il était dans les bras de Andy mais avec les autre cela ne lui plaisait guère.

Sa langue claqua contre son palé quand il vit la Sullivan se levé, même pas capable d'affronter les autres celle là ! Allan passa une main dans ses cheveux blond et sourit méchamment à son livre, il mordilla ses lèvres pour s'empêcher de sourire plus et reprit sa lecteur TNT bien que mal étant totalement déconcentré à cause de la présence de la Serpentard.

Admirant chaque parcelle du parc où l'ombre de la nuit déclinait peu à peu, Julie entendit du mouvement derrière elle. Suivi d'un bruit très agaçant de claquement de langue contre un palais. Elle se dit que cela venait du vermisseau assis dans le canapé.
Mais lorsqu'elle l'entendit grincer des dents, le Serpentard, qui avait décidé d'ignorer pour mieux renfrogné son interlocuteur, se tourna alors vers Allan et redémarra son inspection. Pas du tout son style.
Avec sa puissante beauté, Julie excellait en la matière concernant les hommes hétéros. Elle pouvait les embobiner, avant de les laisser tomber comme des chaussettes, avant même d'avoir tenté quoi que ce soit. Mais là, c'était différent. Différent parce qu'il ne l'intéressait pas du tout physiquement. Différent parce qu'il était le petit ami de son ex, Andy. Différent parce qu'elle sentait monter en elle une ébullition de jalousie, qu'elle savait très bien contenir.

Ayant horreur de parler pour ne rien dire, Julie n'engagea pas la conversation. Réchauffée par la température de la pièce, elle ôta sa cape, laissant apercevoir un jean bleu délavé, ainsi qu'un t-shirt blanc. Ses proportions se voyaient beaucoup mieux ainsi, et elle espérait qu'il retirerait ses pensées immédiatement. Julie était musclée, oui, mais elle prenait un soin fou de son corps, pour être parfaite.
Ayant perdue sa mère très tôt, elle s'était réfugiée dans le sport, et avait trouvé une énergie nouvelle grâce à l'adrénaline procurée.

Levant un sourcil, elle sourit ironiquement au serpentard, et plia sa cape avec soin.

* Nan mais pour qui elle se prend cette... Cette Graah !* voilà les pensées de Allan à ce moment, son corps bouillonnait de rage, ses joue chauffaient, cette fille se permettait de le jugeait mais elle ne le connaissait pas, bon lui aussi ne la connaissait pas mais bon.

Il regarda la demoiselle discrètement car elle ne l'était pas le moin du monde, elle enleva sa cape pour exhiber ses formes, elle était jolie, très jolie même c'est pour cela qu'il était jaloux, il savait qu'il était petit, qu'il ressemblait à un enfant * Mais je l'embouse celle la ! * ce qu'il avait envie de se lever, là, et de l'encre un sort des plus vicieux sur cette * Faut vraiment que je l'appelle fille ?* personne, en plus sa baguette la démangeait fortement de plus il n'avait pas beaucoup l'occasion d'utiliser sa baguette.

Il n'aimait pas cette fille, ce regard supérieur qu'il avait vu il y a de cela quelques années et qui lui rappelait de mauvais souvenirs, il détestait se sentir inférieur, surtout face à une personne de la gente féminine. Non ! Il ne voulait pas se rappeler ces moment, il regarda son livre tristement et ferma les yeux pour faire partir la douleur de ces souvenirs qui le hantaient. * Dire que tout était devenu un peu plus calme grâce à Andy...* il passa une main rapide sur son visage qui redevient peu à peu neutre et froid, très froid, ses yeux turquoise étaient eux aussi devenu terne presque sans vie, il ne fit plus attention à toi et se remit à lire son livre t'ayant totalement oublier.

Allan fut surprit de sentir un poid à côté de lui puis sur ses cuisses, il leva son bouquin et remarqua que c'était Helena, il reprit des couleur et sourit tendrement à la demoiselle. Il ferma son livre et caressa les cheveux de la Collins.

" Bonjour princesse. Tu sais que tu t'incrustes la ? "

Il sourit tendrement a Helena, sa voix était elle aussi douce, il caressait de maniera tendre les cheveux noir de la demoiselle.

" Si tu t'ennuie ce n'est pas moi qu'il faut venir voir Princesse, tu devraitaller embêter quelque Poufsouffle de première année."

Il ricana à ce souvenir. C'était à leur première sortit à Pré-au-Lard quand ils étaient aller chez Honeyduck, c'était aussi ce jour ou il c'était vraiment rapprocher de la jeune fille art aussi le jour où il l'avait rencontrer.